Je Déteste Vos Idées Mais Je Mourrais Pour Que Vous Puissiez Les Exprimer

Octave ! Viens à mon secours. OCTAVE.—  J’aime ton amour, Coelio ! Il divague dans ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne-moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l’air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m’avoir jamais vu. C’est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO.—  Fais ce que tu voudras, mais ne me trompe pas, je t’en conjure ; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier d’une action

Octave ! Viens à mon secours. OCTAVE .mdash ; J’aime ton amour, Coelio ! Il divague dans ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne-moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l’air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m’avoir jamais vu. C’est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO .mdash ; Fais ce que tu voudras, mais ne me trompe pas, je t’en conjure ; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier d’une

Octave ! viens à mon secours. OCTAVE. – J’aime ton amour, Coelio ! il divague dans ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne-moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l’air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m’avoir jamais vu. C’est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO. – Fais ce que tu voudras, mais ne me 15 trompe pas, je t’en conjure ; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier

Octave ! viens à mon secours. OCTAVE. − J'aime ton amour, Coelio ! il divague dans ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne−moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l'air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m'avoir jamais vu. C'est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO. − Fais ce que tu voudras, mais ne me trompe pas, je t'en conjure; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier d'une action

Octave ! Viens à mon secours. OCTAVE .mdash ; J’aime ton amour, Coelio ! Il divague dans ta cervelle comme un flacon syracusain. Donne-moi la main ; je viens à ton secours ; attends un peu, l’air me frappe au visage, et les idées me reviennent. Je connais cette Marianne, elle me déteste fort sans m’avoir jamais vu. C’est une mince poupée qui marmonne des Ave sans fin. COELIO .mdash ; Fais ce que tu voudras, mais ne me trompe pas, je t’en conjure ; il est aisé de me tromper, je ne sais pas me défier d’une

viens de commencer ! On se rappelle quand j’ai terminé Roger. PAUL − C’est la guerre vous évacuez le quartier ? LE POMPIER − Non pourquoi ? C’est pour les œuvres ! La coutume je viens de vous le dire. PAUL − Ecoutez mon vieux cessez de vous exprimer par énigmes. Surtout s’il y a le feu quelque part ! LE POMPIER − Ben non y a pas le feu c’est pas le jour ! Quoique avec les sapins, les bougies gens qui boivent ! (Apercevant la bouteille de Scotch) −−Je ne dis pas ça pour vous, c’est histoire

devoir n° 1 : ........................................................................................45 I) Remarques sur les copies .......................................................................................45 II) Plan possible : les idées majeures pour traiter le personnage de la nourrice. .......45 1. La nourrice, confidente privilégiée de l’héroïne ................................45 2. La nourrice, agent de l’action...............................................................

trembler. Est-ce que vous avez perdu monsieur votre père ou madame votre mère? N Je pensai lui répondre, en me jetant entre ses bras « Eh! plût à Dieu! » je me contentai de m'écrier « Hélas! je n'ai ni père ni mère; je suis une malheureuse qu'on déteste et qu'on veut enterrer ici toute vive. » Elle laissa passer le torrent; elle attendit le moment de la tranquillité. Je lui expliquai plus clairement ce qu'on venait de m'annoncer. Elle parut avoir pitié de moi; elle me plaignit; elle m'encouragea

bord du gouffre. Je pourrais mourir là maintenant, tout de suite dans tes bras. Car tu m'aura rendus heureuse, et qu'après toi je ne serais plus capable d'aimer qui que ce soit. Je pourrais mourir en te regardant, sans n'avoir aucun regret. Je mourrais pour toi mon amour. Le contraire de l'amour, c'est pas la haine. C'est l'indifférence. Si tu me hais comme tu dis, c'est que pour toi je compte encore, qu'il existe encore un lien entre nous. Combien de rencontres as-tu gâchées ces trois dernières

vous aime, seigneur, de plus d'amour que n'en peuvent exprimer les paroles ; plus chèrement que la vue, l'espace et la liberté ; au delà de tout ce qui existe de précieux, de riche ou de rare. Je vous aime à l'égal de la vie accompagnée de bonheur, de santé, de beauté, de grandeur. Je vous aime autant qu'un enfant ait jamais aimé, qu'un père l'ait jamais été. Trouvez un amour que l'haleine ne puisse suffire, et les paroles parvenir à exprimer ; eh bien ! je vous aime encore davantage. CORDÉLIA