Je N Ai Plus Que Les Os Situation D énonciation

n'ai point tenue. Il y eut peut-être de ma faute, car à l'âge où la beauté fleurit, je passais déjà les nuits à lire et à écrire. Etant fille de deux êtres d'une beauté parfaite, j'aurais dû ne pas dégénérer, et ma pauvre mère, qui estimait la beauté plus que tout, m'en faisait souvent de naïfs reproches. Pour moi, je ne pus jamais m'astreindre à soigner ma personne. Autant j'aime l'extrême propreté, autant les recherches de la mollesse m'ont toujours paru insupportables.Se priver de travail pour avoir

d’obtenir sa bienveillance et son pardon. / nombreux verbes de demande : impératifs « n’ayez » (v.2) « garde » (v.32) « ne soyez » (v. 29… et également « priez » dans le refrain qui ferme chaque strophe. / un vocabulaire de la souffrance : = une énonciation directe qui prend l’aspect d’un discours émouvant adressé aux hommes et à Dieu B. Un appel au pardon doublé d’un avertissement à ses contemporains. Certains vers sont directement destinés à ses contemporains -Métaphore (v. 2) : « n’ayez

argumentation indirecte et directe quand les personnages essaient de convaincre et persuader. Récit à chute avec retournement de situation : lorsque le loup remarque " le col du chien pelé "= signe de servitude, il interroge pour la 2ème fois le chien qui tout à coup perd son éloquence : quelques syllabes et phrase complexe tarabiscotée : embarras. Réplique du loup la plus longue :v 38 à 40 alexandrins, "je" affirmé, absence de volonté, v39 octosyllabe cinglant assurance. V41 titre de "maître loup" :

ballotte »(l28) la situation serait catastrophique : «  le mât craque, et le vent siffle, et les voile vont se déchirer, et toutes ces brutes vont crever toutes ensembles »(31-33) Cela est mis en valeurs par la répétition du « et »(l31), (l32), (l33) qui donne un rythme .C’est l’anarchie, on est prêt de la guerre civile et certains essayent de tirer profil de la situation : « piller la cale »(l29), «  construire un petit radeau confortable »(l30).Tout n’est qu’égoïsme et lâcheté : « tirer au moins leurs os de la »(l31)

étranglant les accoudoirs 2. d'un autre temps : * La préhistoire en personne. ( autre époque alors qu'il y a le téléphone donc on c'est que sa se passe vers nos jours) * retrouvant sa fonction originelle de massue tropicale, (= le nom massue qui est plus utiliser pour le moyen age les homme préhistorique) 3. agressif : * mon géant a martelé la console jusqu'à ce que l'air soit saturé de symboles rendus à l'anarchie première des choses. * C'était le genre de furieux chez qui le geste précède toujours

d'insistance comme : valeur durative du présent et événement passé dont les effets sont encore sensibles dans le présent pour le passé composé : « La pluie nous a débués et lavés, et le soleil desséchés et noircis » ainsi que la structure comparative : « Plus becquetés que dès à coudre » vers 28. L 'évocation des suppliciés qui s'apparente à une plainte ainsi que les locuteurs présentés comme des victimes impuissantes. Locuteurs désignés par des pronoms en complément d'objet et en sujet de phrases négatives

François de Montcorbier dit Villon [vijɔ̃], né en 1431 à Paris, disparu en 1463, est le poète français le plus connu de la fin du Moyen Âge. Écolier de l’Université, maître de la faculté des Arts dès 21 ans, il a d’abord mené une vie joyeuse d’étudiant indiscipliné au Quartier Latin. À 24 ans, il tue un prêtre dans une rixe et s’enfuit de Paris. Amnistié, il doit de nouveau s’exiler un an plus tard après le cambriolage du collège de Navarre. Accueilli à la cour de Charles d’Orléans, le prince-poète

se présente avant tout comme une démonstration scientifique rigoureuse. Cette rigueur transparaît d’abord dans l’objectivité apparente du propos. Le « je » de l’auteur, bien que présent (l. 6, 31, 54) se montre cependant très discret et s’efface le plus souvent derrière un « nous » de convention, propre au traité scientifique, ou derrière le pronom indéfini « on » : « nous aurions souvent des exemples », « nous venons de rapporter » (l.39), « on peut dire » (l.41). L’emploi du pronom indéfini « on »

relais était l’endroit le plus agréable du voyage,on ressent une légèreté dans la halte car l’atmosphère est très relaxante. B. Les champs lexicaux -les différents champs lexicaux sont le voyage, avec les mots voiture, aventure, cheveux, routes… -La nature, avec les mots vallée, lilas, ruisseau, peupliers, herbe, foin… -La fatigue, avec les mots fatigué, corps engourdi, couche, sans penser à rien… -couleur avec les mots lilas, herbe, foin et vert. C. Énonciation Aucun car les mots tu

- Ah! ah! ah!SGANARELLE. - Voilà un homme que j'aurai bien de la peine à convertir. Et dites-moi un peu, le Moine bourru, qu'en croyez-vous, eh!DOM JUAN. - La peste soit du fat!SGANARELLE. - Et voilà ce que je ne puis souffrir, car il n'y a rien de plus vrai que le Moine bourru, et je me ferais pendre pour celui-là. Mais encore faut-il croire quelque chose dans le monde : qu'est-ce donc que vous croyez ?DOM JUAN. - Ce que je crois ?SGANARELLE. - Oui.DOM JUAN. - Je crois que deux et deux sont quatre