Je Pense Donc Je Suis

personne ("je pense que"). Penser peut être conçu, de manière plus précise, comme l'acte de celui qui cherche à fonder, à justifier ce qu'il avance, comme celui qui tente de penser rationnellement. NON: c'est une négation. Mais, il faudra peut-être distinguer entre: une négation d'opposition. une négation de doute, de remise en question.. DIRE: Ce terme peut paraître anodin. En fait, ce que l'on peut remarquer c'est que dire, ce n'est pas faire. Faut-il en déduire que la pensée n'a rien

n’est pas immédiatement possible, la conscience thétique apparait au alentours de 6 mois, au travers de ce qu’on appelle le stade du mirroire. L’enfant reconnait l’image, il ce reconnait dans le reflet face à lui. . Le « je » philosophiquement désigne donc le sujet en tant qu’il est source d’activité, en tant qu’il est condition de toutes les représentations. Le moi sera l’image (la représentation) que le sujet à lui de lui-même à un moment donnée. Le « je » ne suppose pas le dédoublement de la conscience

L’homme possède la capacité de dire «je». «Je pense donc je suis» Descartes. Penser est une activité psychique consciente. Par lequel l’individu peut concevoir d’apprendre et de créer ce qu’il veut être. L’être humain est sujet conscient capable de penser par lui même et de faire ses propres choix. Mais selon Rimbaud et Nietzsche, «Je est un autre». C’est la où ce trouve le paradoxe, l’homme serait libre de faire ces propres choix et de penser par lui même, mais autrui interviendrai dans la décision

indépendante de tout facteur extérieur. Cela lui confère un caractère autonome, donnant à la pensée la possibilité de se construire seule, c'est-à-dire libérée de toute influence exercée en dehors du sujet lui-même. Mais, si l’homme ne pense pas par lui-même, alors comment pense-t-il ? Comment bien penser ? Et pourquoi ne pense t-il pas systématiquement par lui-même ? L’homme a tendance à croire que ses pensées lui sont propres, qu'elles lui appartiennent, qu'elles doivent rester libres de toute censure

l’état juridique de l’homme libre par rapport à l’esclave. L’homme libre agit à sa guise, il n’a pas de maître. C’est donc l’absence de contraintes. Mais toute société est régie par des lois, des restrictions, des compromis, voire des sacrifices. Définir la liberté comme absence de contraintes, c’est en donné une définition factuelle qui se réfère à l’action. Mais qu’en est-il de la pensée ? Ne sommes-nous pas libres de penser, c’est-à-dire de concevoir des notions, des opinions qui nous sont propres

définition rapport au monde extérieur, et constituée par lui? -C'est un texte qui s'oppose donc à l'idéalisme (problématique!) cartésien. Plan : 1) L. 1 à 3 : position du problème 2) l.3 à 11 : développement : énoncé des différentes sortes de vérité, et ce que sont les vérités premières dans chacune 3) l.11 à 15 : conclusion et thèse de l'auteur : élargissement du cogito cartésien, et donc de la conscience elle-même I- Position du problème -Porte sur le cogito cartésien

Le mot « silence » possède de nombreuses significations. Le premier est de ne pas parler, donc de se taire. Le silence est ainsi l’absence de parole, le fait de ne pas s’exprimer. Il s’agit de savoir si le silence a un sens ou non. S’il possède des significations, des explications cachées. Le silence comme absence de parole veut-il dire quelque chose ? Ces questionnements nous rapprochent donc de la notion de langage et de la communication. Le silence fait-il partie du langage et veut dire

contrairement à un esclave. Penser signifie d’être apte à former et combiner des idées ainsi qu’à construire des raisonnements. Quand l’on pense par nous-même, nous pouvons nous créer notre propre image de la vie, de nos sentiments et nos moraux. De plus, cela nous permet d’explorer le monde et voir plusieurs perspectives et opinions pour en arriver à notre pensée libre. Quand c’est la religion, la culture, l’éducation ou même le gouvernement qui essaie de nous dire comment penser, ça devient de la

sanglantes, l’oppression d’un peuple, etc. sont alimentés et soutenus par la multitude de pensées négatives qui entourent actuellement le globe terrestre. Ces pensées ont pu, au départ, avoir été dirigées sur des individus précis : un voisin, un rival… Mais par la suite, ces mêmes pensées se sont accumulées sur le plan de la matière de faible densité pour y former de puissantes centrales de forces. Les nombreuses pensées de haine, de vengeance, d’envie sont l’origine véritable des guerres qui ont lieu

Plan Sujet : Quelle importance doit-on accorder à l’histoire de la pensée humaine? Problématiques : Est-il important pour mieux se connaître apprendre l’histoire de la pensée humaine? À quel age devrait-on commencer à étudier l’histoire de la pensée humaine? Est-ce que notre société serait aussi évoluée si nous n’avions pas étudié l’histoire de la pensée? Thèse : À mon avis l’histoire de la pensée humaine est fondamentale à notre évolution individuelle et sociale. AP1 : C’est pour