Je Pense Donc Je Suis

Chapitre 1 : PARLER EST-CE seulement COMMUNIQUER ? "La parole est à moitié à celui qui parle, à moitié à celui qui écoute." Montaigne, Essais (FR, Renaissance) (Peut on se faire justice? Tout être humain veut se venger mais vengeance ≠ justice donc disparait.) Parler = communiquer (→ mettre en commun cô partager une salle de bain et pas un gâteau : ≠) = outil puissant/efficase pour communiquer qqch à qqun par sa souplesse. MAIS, communiquer ≠ échanger. On peut échanger sans communiquer

1) Le langage traduit la pensee. a) Selon hegel, pensee et langage sont indissociable. La pensee se fait donc avec le langage, donc la pensee sans les mots est impossible. En effet, au niveau de l’en soi, les pensees sont indisicbles a l’interieur du sujet, au niveau du poursoie, les pensee s’exprime et se formul grace au langage. Enfin, le sujet prend conscience des pensee qu’il a b) La langue et la pensee sont aussi lier pour Saussure, comme le recto et le verso d’une feuille de papier. Benveniste

arbitraire de signes propres à une communauté. Faculté d'expression que possède l'homme. Elle lui permet de communiquer sa pensée grâce à la parole ou l'écriture permettre : donner la liberté de tout : chaque choses exprimer : manifester sa pensée par ses dires. Le langage au sens commun à tous est la faculté d’expression que l’homme possède. Il lui permet de communiquer sa pensée par la parole. Nous pouvons aussi définir le langage comme un système de signes propres à une communauté. Le fait qu’un

la capacité de penser par lui-même. Mais qu'implique exactement le fait de « penser par soi-même » ? Il pourrait en effet paraître curieux de se dire que l'on pense par quelqu'un d'autre, ou plus exactement que quelqu'un pense à notre place. Penser par soi-même serait donc une sorte de liberté intellectuelle par opposition à la pensée collective ? Quant à sa valeur, serait-elle purement intellectuelle, voire morale ? Nous sommes tous des êtres complexes, dont la conscience est ballotée entre les

comptons sur le langage pour nous permettre de communiquer entre nous . Nous nous trouvons donc là devant un problème: Ou bien nous considérons que le langage est seulement une fonction fondamentale pour nous permettre de communiquer , et donc ne sert qu'à ça , ou bien nous élargissons notre vision sur le langage et nous acceptons qu'il puisse avoir d'autres fonctions que celle de la communication. Nous pouvons donc nous demander si le langage n'est qu'un moyen de communication . Dans un premier temps

Dissertation de philosophie : « Nos pensées sont-elles en notre pouvoir ? » Les pensées sont une activité ou dynamique cérébrale, qui consiste à réfléchir, raisonner, imaginer, méditer ou encore concevoir. Cette énergie directement produite par le cerveau et néanmoins essentielle aux travaux des philosophe sur la complexité et la simplicité de la pensée. Les pensées se regroupent dans un lieu intime où l’esprit interprète tout ce qui s’offre à lui à travers le domaine où l’inconscient domine

l'esprit est indépendant de la matière et elle pourrait subsister après la mort ? L’expérience de G. Walter est intéressante car elle montre que le cerveau peut s'activer avant de prendre une décision consciente. La décision consciente ne serait donc pas la cause du mouvement contraire mais la véritable cause serait le cerveau lui-même c'est à dire la matière. Ainsi nous ne serions pas libre malgré une impression contraire, c'est le cerveau qui déciderait à notre place. Il n'y aurait pas d'âme

Peut-on dire tout ce que l’on pense ? « Il y a dans les souvenirs de chacun des choses qu’il ne révèle pas à tout le monde, mais seulement à des amis. Il y a des choses qu’il ne révèlera pas à ses amis mais seulement à sa propre conscience, et encore, sous le sceau du secret. Et il y a enfin des choses que les hommes craindront de révéler même à leur propre conscience, et ces choses, même chez les hommes les meilleurs. » En disant cela, Dostoievski nous fait part de son opinion à propos de

quotidienne (je peux, je pense, je veux) est en réalité plus complexe qu’elle ne parait. Elle induit une interrogation fondamentale : sommes-nous maitres de notre volonté et de nos pensées ; jusqu’où s’étend la liberté de notre conscience ? Ces questionnements touchent d’une part à la définition de notre essence humaine, caractérisée par nos désirs et notre conscience, mais aussi à la notion de liberté individuelle et collective. Tout d’abord, quelle relation y a-t-il entre pensée et sujet ? Par ailleurs

l’être humain par rapport à la place qu’il occupe dans l’univers. (L’être humain, 4e édition, Jacques Cuerrier, p. 47). Quelques philosophes se sont intéressés à l’être humain et à l’animal, à leur manière de fonctionner, de penser, etc. Nous allons donc nous poser la question suivante : « Qu’est-ce qui distingue l’être humain de l’animal? Répondez en comparant les conceptions de l’être humain de Descartes et de Rousseau. ». La première partie portera sur la comparaison des ressemblances et des différences