Je Pense à Toi Mon Lou Apollinaire

DOSSIER DE GROUPE "L'IMAGE DE LA FEMME DANS ALCOOL D'APPOLINAIRE" INTRODUCTION générale : Guillaume Apollinaire, est né à Rome en 1880. Il passa une partie de son enfance en Italie avant d’être, par sa mère, abandonnée en 1885 par le père de ses deux fils, sur la Côte d’Azur. Ils mènent alors avec sa mère et son frère une vie plutôt dissolue, mais il suiva des études : C’est grâce à cette période qu'il se procurera le goût de la lecture et celui des amitiés "cosmopolites" (ce qui se ressentira

Introduction: Ce livre ma fais découvrir Guillaume APOLLINAIRE qui un merveilleux poète, j'aime beaucoup ses poème. Le fait qu'il n'y a pas de ponctuations, laisse le poème nous emmener et nous laisse libre en expression. Pour ma pars j'ai vraiment aimé se recueille de poème de Guillaume APOLLINAIRE. Dans ce recueille de poèmes il y a beaucoup de poème en calligramme (texte poétique dont les vers forme un dessin en rapport avec le thème de poème), je trouve ça amusant et cela change de la forme

changement dans la manière dont l'homme va représenter, et se représenter, le monde. Les innovations dues à l'avancée de la révolution industrielle accompagnées par l'encrage de plus en plus profonds de la République dans les mœurs françaises (malgré la défaite de 1871, de la Commune, des débuts houleux de la IIIème République) affirment un nouveau souffle à la littérature, et particulièrement à la poésie. En effet, le décadentisme, mouvement qui s'oppose au naturalisme (mis en lumière par Émile

Que veut cette horde d'esclaves,De traîtres, de rois conjurés ?Pour qui ces ignobles entraves,Ces fers dès longtemps préparés ? (Bis)Français ! Pour nous, ah ! Quel outrage !Quels transports il doit exciter ;C'est nous qu'on ose méditerDe rendre à l'antique esclavage !Aux armes, citoyens !Formez vos bataillons !Marchons, marchons !Qu'un sang impur...Abreuve nos sillons ! Quoi ! Des cohortes étrangèresFeraient la loi dans nos foyers !Quoi ! Des phalanges mercenairesTerrasseraient nos fiers guerriers

surréalistes : Guillaume Apollinaire : (1880-1918) Poète apatrit qui s’est fait engagé dans l’armée pour pouvoir obtenir la nationalité française, ce qui lui tenait énormément à cœur. Né d’un père italien peut présent et d’une mère polonaise. En Septembre 1914 il intègre l’armée française. Il fut évacué en 1916 à cause d’une blessure (éclat d’obus). Il ne sera allé au front qu’en Avril 1915. Il meurt à 38 ans de la grippe espagnole. Avant d’aller à sa caserne il passe par la maison d’un ami à Nice. Là bas

passant par des crises et des guerres. La vie quotidienne est devenu bien meilleure à vivre grâce au nombreuses innovations (téléphones, automobiles, électricité...) et aux de nouvelles méthodes de production (le fordisme). La période 1914-1929 est une étape bouleversante dans l'histoire car la première guerre mondiale éclate faisant des milliers de morts ainsi que la dégradation de plusieurs pays ruinés suite à la demande excessif des ressources économique. C'est en 1929 que la crise de

roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir.     Le 6 mars 1543, il est tonsuré au Mans. Des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui enlève tout souci matériel; ce qui lui vaut de consacrer sa vie à la poésie.     Il s'installe à Paris en 1544. C'est là qu'il contribue à former la Pléiade Oeuvres de

poésie serait que maintenant elle est considérée comme « une antiquité », elle est passée de mode. En effet, à l'époque la poésie était un des principale divertissement aujourd'hui il en existe pleins d'autres. On boucle la poésie pour se tourner vers le roman. Même la belle poésie en vers est en régression et devient de la poésie en prose. Le rap ou le slam est la poésie d'aujourd'hui, à présent on ne récite plus de vers mais plutôt des paroles de chansons. Les centres d’intérêt des générations

fleurs à mes yeux redeviennent des flammes Je médite divinement Et je souris des êtres que je n’ai pas créés Mais si le temps venait où l’ombre enfin solide Se multipliait en réalisant la diversité formelle de mon amour J’admirerais mon ouvrage » G. Apollinaire, « Les Fiançailles » (extrait), dans : Alcools [1913], in

collection Lycée – voie générale et technologique série Accompagnement des programmes Épreuves anticipées de français Annales zéro Épreuve écrite – Exemples de sujets Programme applicable à la rentrée 2001 Ministère de l’Éducation nationale Direction de l’Enseignement scolaire Centre national de documentation pédagogique Maquette de couverture : Catherine Villoutreix Maquette : Fabien Biglione Mise en pages: Michelle Bourgeois © CNDP, 4e trimestre 2001 ISBN : 2-240-00760-5 ISSN