Jean-Bertrand Aristide

MAYAP BOYOM CHRISTELLE DITCHOU PEWANKEP NADIA MACKY MPONDOH ELSEY LAËTITIA DJAMENI SIANI JEAN MARIE TOUDJOU FOKAM JOELLE ESTELLE MEGOUOH SONHAKA GOINDOLINE AYONTA FOSSO RAISSA AYISSI ABENA ALPHONSE NZOGANG KONTCHOU ERVIS MBOUODI MOUPE BILKISSOU TOUKAM HUGUETTE LUDVINE BABONG JOSEPH PATRICK NGNABEU NKUIMI VANESSA NJAKOUO MOUSTHAFA ALIYOU NTONGA PAUL CHRISTIAN LE ROY TELEP ALEXANDRA OLSEN'S ESSENGUE-ESSENGUE JEAN-PIERRE LEUSSIE JULIENNE SOLANGE TUEDOM BOPDA HERMAN JOEL MECHE CHATUE CHRYSTELLE PEGGY DJOMDEU

1789, à la veille de la Révolution française, la colonie de Saint-Domingue comptait plus de 600 000 esclaves. Révoltes des esclaves et abolition de l’esclavage Révolte des Noirs dès 1791. Sous la conduite de leurs chefs (Toussaint-Louverture, Jean-Jacques Dessalines, Henri Christophe et Alexandre Pétion), les Noirs mènent une guerre de libération. Craignant « de voir passer dans des mains ennemies la propriété de Saint-Domingue », le représentant de la Convention à Paris, le commissaire Santhonax

politique. C’était toute l’idée du Conseil de sécurité des Nations Unis que de mettre un terme au concept d’immunité sélective qui permettait à certains chefs d’Etat de bénéficier d’une immunité, comme ce fut le cas pour l’ancien Président Haïtien Jean-Bertrand Aristide. L’arrestation de Milosevic offre en quelque sorte un précédent jurisprudentiel au principe d’immunité de juridiction absolue des chefs d’Etat en fonction. Cet événement confirme bien la tendance générale du droit international à ne pas respecter

8°Ex 8°Ex 8°Ex 8°Ex 14° 14°Ex 14°Ex 14°Ex 14°Ex 19° 19°Ex 19°Ex 19°Ex 19°Ex 19°Ex 19°Ex TARPAGA ABDOURAMANE KABORE S. NAZAIRE BONAVENTURE KONDE KANZA HERVE KABORE IDRISSA SAKANDE DJENEBA KABORE MICHEL OUEDRAOGO SALAMATA SABO ALASSANE ZONGO W. BERTRAND MOISE BELEMSOBGO SYLVIE BELEMBAOGO SONIA OUEDRAOGO BLANDINE W. YAMEOGO SOPHIE KABORE KARIM NIKIEMA GOMPOKO NACOULMA B. B. FANTA FLORE SAWADOGO FATIMATA NIKIEMA GILBERT GUIGUEMDE G. BENEDICTE OUEDRAOGO GNANDE ZIO DIAKITE Y. EMELINE ZIO OUMAROU SONDO

l’unipolarité La seconde inquiétude tient au fait que, même si l’on admet que l’unipolarité n’est pas souhaitable, elle apparaît inévitable. En effet, a priori on refuse qu’une puissance se retrouve la seule à dominer, qui plus est le monde entier : Jean-Jacques ROCHE, professeur à l’I.E.P. de Grenoble parle de « refus instinctif ». L’unipolarité est ainsi source de craintes de la part des nations dominées mais aussi de la part de la nation dominante. Cette idée-là n’est pas nouvelle et dès le XIX

deux fois1: d’abord le 19 décembre 1869 sous la présidence de Sylvain Salnave et ensuite le 8 Août 1912 sous la présidence de Cincinnatus Leconte. L’Esplanade des Héros de l’indépendance abrite les statues des pères fondateurs d’Haïti : l’Empereur Jean-Jacques Dessalines le fondateur de la patrie, Pétion le premier président d’Haïti, le roi Henri Christophe le bâtisseur, le général Toussaint Louverture le précurseur de l’indépendance et le marron inconnu (1967), l’esclave rebelle brisant ses chaînes

condition que « chaque pas » soit négocié et accepté par l’autre. HAÏTI : Le président ARISTIDE signe un accord avec les militaires. Le président Haïtien, JEAN-BERTRAND ARISTIDE, a signé un accord avec les militaires déstiné à rétablir la démocratie dans son pays et prévoyant son retour au pouvoir. La première étape prévue par le plan consiste en un « dialogue politique » aboutissant à la nomination, par le président ARISTIDE, d’un nouveau premier ministre. Ce n’est qu’ensuite que le conseil de sécurité

chaque pas » soit négocié et accepté par l’autre. HAÏTI : Le président ARISTIDE signe un accord avec les militaires. Le président Haïtien, JEAN-BERTRAND ARISTIDE, a signé un accord avec les militaires déstiné à rétablir la démocratie dans son pays et prévoyant son retour au pouvoir. La première étape prévue par le plan consiste en un « dialogue politique » aboutissant à la nomination, par le président ARISTIDE, d’un nouveau premier ministre. Ce n’est qu’ensuite que le conseil de

plantation à Saint-Domingue au XVIIIe siècle, Karthala, 1987. Dorigny Marcel, Gainot Bernard, Atlas des esclavages, Traites, sociétés coloniales, abolitions de l’Antiquité à nos jours, Autrement, coll. Atlas/Mémoires, 2006. Dorigny Marcel, Zinq Max-Jean (dir.), Les traites négrières, Histoire d’un crime, Editions Cercle d’Art, 2009. Dorigny Marcel, Gainot Bernard, Atlas des esclavages, Traites, sociétés coloniales, abolitions de l’Antiquité à nos jours, Editions Autrement, 2006. Dubois Laurent, Les

AEP 7 Bis Rue Parmentier 65 Quai Blanqui ALFORTVILLE 1 Rue du capitaine Dreyfus 74 Quai Blanqui 33 Quai Jean Baptiste Clément 189 Rue Vaillant Couturier Rue Félix Mothiron ALFORTVILLE 46 Boulevard Carnot 2Bis Allée Jean Baptiste Preux ALFORTVILLE ALFORTVILLE 15 GAZ HOP 2 Rue Félix Mothiron 8 Rue Felix Mothiron 71 Rue Etienne dolet Allée Jean Baptiste Preux 31 Quai Blanqui 16 GECOP 10 Rue Volta ALFORTVILLE 3 AMBIANCE LUMIÈRE 4 AMBIUS 5 ARTOLUX