Jean de Mairet

du classicisme Dès 1630, les règles d’écriture permettant de créer un chef-d’œuvre sont élaborées, elles s’appuient sur des modèles antiques (Aristote pour le genre tragique, Horace pour l’art poétique) et assignent une fonction morale à l’art. Jean CHAPELAIN (conseiller littéraire de Richelieu et membre très actif de l’Académie) est un des principaux artisans de cette doctrine. C’est en 1630 qu’il écrit la lettre des vingt-quatre heures qui prône l’imitation parfaite du réel au théâtre. Puis

plus central et le plus facile d’accès. La première assemblée ayant fait l’objet d’un compte rendu date du 13 mars 1634. Le nom ''Académie française'' a été adopté huit jours plus tard. Les membres (on peut citer par exemple Jean Desmarets, François Le Metel de Boisrobert, Jean Louis Guez de Balzac*..) se sont nommés « académistes », puis « académiciens » à partir de 1636. L'Académie tint ses séances chez l'un ou l'autre de ses membres comme chez le chancelier Séguier à partir de 1639, en l’hôtel de

rôle majeur joué par La Pléïade, un groupe de poètes humanistes qui veulent égaler les auteurs latins en versifiant en français. Il réunit sept personnes : Ronsard, Du Bellay, Jean Dorat (leur professeur de grec), Rémi Belleau (lequel remplaça, en 1554, Jean de la Péruse, décédé), Étienne Jodelle, Pontus de Thyard et Jean Antoine de Baïf. En 1549 un manifeste est publié, Défense et Illustration de la langue française. Il proclame avec enthousiasme les principes esthétiques d'un groupe d'Humanistes

précurseurs et la recherche de règles Philippe de Champaigne, le cardinal de Richelieu écrivant L'idéal proposé par le classicisme ne date pas de la seconde moitié du xviie siècle. Il avait été préparé par la génération précédente, notamment par Jean Chapelain, l'abbé d'Aubignac et Guez de Balzac. De cette première moitié du xviie siècle date en effet la règle de se référer à l'usage pour fixer les points de grammaire, cet usage étant d'ailleurs celui d'une certaine élite. En 1635, Richelieu fonde

Saint-Louis du Père le Moyne, etc. Son œuvre rhétorique, Discours du Poème héroïque, était traduit par jean Baudin. Dans le genre théâtral, l'influence de l'Aminta du Tasse et du Pastor Fido de Guarini se produit une fécondité du genre pastoral. Ils se traduisent en France sous la forme des bergeries et de la pastorale dramatique dont nous les voyons dans les bergeries de Racan et la Sylvanire de Mairet. Mais, nous trouvons les origines du pastoral du Tasse dans l'Arcadia de Jacopo Sannazzaro au Moyen

Littérature médiévale -L’histoire et les mentalités du M-Â. -Intro aux grands textes médiévaux. (Bibliographie : Michel Zink, Introduction à la littérature française du M-Â Et Jean-Charles, Histoire de la littérature française du M-Â) Les repères généraux -M-Â = terme péjoratif car âge entre 2 grandes périodes (l’Antiquité et la Renaissance) = Le médiéval -Période historiquement vaste : du Vème (chute de l’empire romain d’occident) au XVème

réconcilier, y vivent des épopées et enfin, c’est le lieu de l’épilogue. La « querelle du Cid »En 1636, Corneille fait jouer Le Cid. La pièce remporte un énorme succès. Richelieu protège Corneille, et le fait anoblir par le roi en 1637. Cependant, Jean Mairet et Georges de Scudéry, deux dramaturges vont attaquer Corneille, en l’accusant de ne pas respecter les règles du théâtre classique, entre autres la règle des trois unités, règle instaurée en 1630 à la demande de Richelieu. Ils l’accusent également

culturels font concurrence dans cette époque. Afin de contrôler et optimaliser la gestion de l’Etat et du térritoire, les rois prêtent une grande attention sur le courant classique et accordent une aide financière aux écrivains classiques. En 1662, Jean-Baptiste Colbert charge Chapelain de dresser la liste des écrivains et savants dignes de recevoir des gratifications du roi et qui avaient droit aux libéralités de Louis XIV. Le roi soleil nomme Racine comme son historiographe (responsabilité : écrire

Bibliographie BONCOEUR J., THOUÉMENT H., Histoire des idées économiques, Nathan, Circa, Tome 1 et Tome 2. BRAUDEL F, 1985, La dynamique du capitalisme, Artaud Denis CLERC, Déchiffrer l’économie, Syros Alternatives, Collection de poche. Pascal COMBEMALE et Jean-Paul PIRIOU, Nouveau manuel de sciences économiques et sociales, La Découverte. GADREY J., JANY- CATRICE F, 2005, Les nouveaux indicateurs de richesse, La Découverte MEDA D, 1999, Qu'est-ce que la richesse ? Aubier. PIRIOU JP, 2001, La comptabilité

Lope de Vega Tirso de Molina Alarcón John Ford Christopher Marlowe William Shakespeare Ben Jonson Robert Greene John Webster Thomas Kyd John Lyly Pierre Corneille Théâtre classique Pierre Corneille Robert Garnier La Chaussée Molière Jean Racine Jean de Rotrou Jean de Mairet Théâtre duxviiie siècle Marivaux Beaumarchais Goldoni Théâtre romantique Alexandre Dumas Victor Hugo Alfred de Musset Alfred de Vigny Lord Byron Johann Wolfgang von Goethe Friedrich von Schiller Edmond Rostand Alexandre Pouchkine