Jean Luc Marion

La Défense. Ma gratitude va tout particulièrement à Jean-Yves Masson pour la générosité et la bienveillance avec laquelle il nous a dispensé ses conseils et ses encouragements. Ce collectif n’aurait pu voir le jour sans la constance qu’il nous a manifestée dans son soutien. Je souhaite exprimer ma reconnaissance à Maryvonne Saison pour l’aide décisive qu’elle nous a apportée dans ce projet, ainsi qu’aux enseignants de Paris-Sorbonne, et à Jean-Loup Bourget, Denis Guénoun, Gérard Raulet pour leur

objectifs, de ses moyens, de sa gouvernance. Jack Azoulay (IGF) et Catherine Schmitt (IGA) en étaient, avec Marie Verrando (IGF), les rapporteurs. Le deuxième, coprésidé par Annie Thomas (Secrétaire nationale de la CFDT, Vice-présidence de l’UNEDIC) et Jean-Luc Vergne (Directeur des ressources humaines du groupe PSA), traitait de la mobilisation des employeurs, privés, associatifs ou publics, pour favoriser l’emploi des personnes en difficulté. Séverine Bonne (DGEFP) et Stéphanie Dupays (IGAS) en étaient

pour tout public. Annibal et ses éléphants / La Cave à Théâtre / L’Œil du Baobab. Avec Annibal (Frédéric Fort) le patron. Roger Cabot (Thierry Lorent) le beau-frère. Bernardo (Gianni Fussi) le cousin. José (Irchad Benzine) le fils adoptif. Angelo (Jean-Michel Besançon) le cousin. Mirena (Maria Beloso) la soeur. samedi et dimanche à 21h, sur l’esplanade léo malet. durée 1 h 30 Ciné-concert la magie du cinéma muet en musique en plein air avec des musiciens d’exception Jusqu’aux années 1930, le cinéma

Pacamambo De Wajdi Mouawad Mise en scène : Marie provence En collaboration avec : Dilia Lhardit n° 113 octobre 2010 Scénographie : Francesca Giuliano Création sonore et lumière : Damien Thille Compagnie Méninas Avec : Anne Bellec, Marion Duquenne, Marie Provence, Jean-Jacques Rouvière, Dilia Lhardit, Francesca Giuliano Création : Théâtre du Jeu de Paume à Aix-en-Provence le 5 novembre 2010. Production : Compagnie Meninas. Coproduction : Théâtre du Jeu de Paume. Avec le soutien de : Système Friche

il s’agit de traiter impérativement, à cet égard — et même s’il est aujourd’hui sur le déclin et fait figure d’objet archéologique —, c’est celui de la " peinture politique ", terme de " peinture politique " que nous empruntons au critique d’art Jean-Luc Chalumeau. Cette " peinture politique ", dans le temps, avant de se diluer dans l’autocitation, œuvre de manière efficiente durant les années 60 et 70, une période de forte contestation (hippisme, gauchisme, féminisme...). Qui la représente ? Des

sinon ça dégénère ! » ; « Je vais mettre Marion, Céline et Natalia ensemble, elles s'entendent bien »). Par rapport au niveau de compétence des élèves dans les groupes de travail, les recherches réalisées en psychologie sociale tendent à montrer qu'il est préférable de privilégier une complémentarité de compétences entre les élèves pour produire de meilleures performances. Ces recherches trouvent leurs fondements théoriques dans les travaux de Jean Piaget sur le « conflit cognitif » ou de Lev

notamment des mythes de cataclysme et d'engloutissement, la mythologie propre à Poséidon et trois récits de guerre, athénien, béotien et thessalien, enfin il considère la proximité du mythe platonicien et de la trifonctionnalité indo-européenne[14]. Luc Brisson, chercheur au CNRS, traducteur, éditeur et spécialiste des textes de Platon a lui aussi repris l'analyse de Pierre Vidal-Naquet à propos du récit de la guerre entre Athènes et l'Atlantide. Il remarque "beaucoup de lecteurs sont restés insensibles

différents groupes sociaux internes et externes d'une ville se font d'elle, de son passé, de son présent et de son avenir, et ceci à un moment donné de l'histoire. Il conçoit donc l’espace à travers l’identité, les structures et les significations. Jean Remy veut donner à l’espace un statut théorique en lui donnant un statut explicatif isolé mais en liaison avec d’autres déterminants sociaux. Pour lui l’espace peut influencer la formation de réseaux d’interaction mais également la représentation de

Prédal (universitaire et essayiste), je 13 décembre à 19h15 / Françoise Puaux (CinémAction), je 13 décembre à 19h15 / Lara Rastelli (réalisatrice), ma 11 décembre à 19h00 / Jean-Baptiste Thoret (critique de cinéma), ve 28 décembre à 19h00 / Marie Vermillard (réalisatrice et ex-présidente de l’ACID), ma 4 décembre à 18h30 / Sarah-Jeanne Ziegler (chanteuse), sa 15 décembre à 16h00. Et tous les intervenants du festival Un état du monde… et du cinéma. { 2 décembre à 15h00 et 17h00 } voir Un état du monde

d'Aubignac et avant lui par le savant italien Jules César Scaliger et furent recommandées en 1630 dans la Lettre sur l’art dramatique de Jean Chapelain, conseiller du cardinal Richelieu. Régentant une bonne part du langage théâtral de l'époque, elles sont caractéristiques de ce qu'on appela plus tard le théâtre classique. Elles sont introduites en 1634 dans le chef-d’œuvre de Jean de Mairet, Sophonisbe. Boileau, dans L'Art Poétique (chant 3, vers 45-46), (1674), résume en vers ces contraintes : « Qu'en un