Jean Maintenant Ne Trouvait Rien

L’atelier, de Jean Claude Grumberg (1979) I. Biographie de Jean Claude Grumberg Jean Claude Grumberg est né à Paris en 1939 à la veille de la Seconde Guerre mondiale, de parents juifs : son père est venu de Roumanie, enfant, avant la première guerre mondiale et sa mère (Simone dans la pièce) d'origine polonaise, est née à Paris en 1907. Dès sa naissance, ce contexte va figer Jean Claude Grumberg dans une identité qu'on ne cessera de lui rappeler. La guerre lui vole son

CAMUSphilosophe et écrivain français [1913-1960](1947)LA PESTERécitUn document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole,professeur de sociologie au Cégep de ChicoutimiCourriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca[->0] Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ Dans le cadre de: "Les classiques des sciences sociales"Une bibliothèque numérique fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de ChicoutimiSite web: http://classiques.uqac.ca/Une collection

118 Chapitre III Héroïsme de l’obéissance passive ...................... 123 Chapitre IV Détails sur les fromageries de Pontarlier ............ 131 Chapitre V Tranquillité ........................................................... 136 Chapitre VI Jean Valjean ........................................................ 139 Chapitre VII Le dedans du désespoir ..................................... 146 Chapitre VIII L’onde et l’ombre ............................................. 155 Chapitre IX Nouveaux

118 Chapitre III Héroïsme de l’obéissance passive ...................... 123 Chapitre IV Détails sur les fromageries de Pontarlier ............ 131 Chapitre V Tranquillité ........................................................... 136 Chapitre VI Jean Valjean ........................................................ 139 Chapitre VII Le dedans du désespoir ..................................... 146 Chapitre VIII L’onde et l’ombre ............................................. 155 Chapitre IX Nouveaux

Moi je ne veux pas comprendre un peu. ANTIGONE Moi, je ne veux pas comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille. (Elle achève doucement.) Si je deviens vieille. Pas maintenant. ANTIGONE -Rien, nounou. Je suis seulement encore un peu petite pour tout cela. Mais il n’y a que toi qui dois le savoir. ANTIGONE Je veux bien mourir, mais pas qu’ils me touchent ! CREON Et si je te fais torturer

autocorrectifs qui vous ont entraîné(e) à la technique de la lecture analytique, avoir lu et assimilé les Fiches méthode. Texte : Guy de Maupassant, Extrait de Une vie (1883) Une vie ou l’humble vérité est un roman de Guy de Maupassant paru en 1883. Jeanne Le Perthuis des Vauds, personnage central, est, au début du roman, une jeune fille de 17 ans, généreuse, heureuse et pleine d’espérance. À peine sortie du couvent1, elle tombe amoureuse de Julien de Lamare et se marie avec lui. Ce mariage est très

Omar : Et au sujet des siths, nous avons d'autres renseignements ? Kevin : Et bien, nous savons que les siths ont installés des bases sur deux planètes proches de Maltar : Hoth et Mustafar. Le général Jean croisa les bras et regarda Kevin, comme s'il avait lu dans ses pensées. Jean : Vous comptez donc envoyer des troupes sur ces deux planètes, je me trompe ? Kevin : C'est exact, nous allons envoyés des troupes. Cependant, nous sommes les derniers jedis assez entrainé pour mener à bien

écrivain français [1913-1960] (1947) LA PESTE Récit Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ Dans le cadre de: "Les classiques des sciences sociales" Une bibliothèque numérique fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une

d'arborer face au monde, c'était exaspérant, depuis longtemps d'ailleurs les photographes exaspé¬raient Jed, en particulier les graruls photographes, avec leur prétention de révéler dans leurs clichés la vérité de leurs modèles ; ils ne révélaient rien du tout, ils se contentaient de se placer devant vous et de déclen¬cher le moteur de leur appareil pour prendre des cen¬taines de clichés au petit bonheur en poussant des gloussements, et plus tard ils choisissaient les moins mauvais de la série, voilà

boucle , j'avais hérité de la bouche pulpeuse de ma mère Erika Stone et des beaux yeux vert de mon défunt père Henri Stone , il est mort dans des conditions tragique me dit maman c'est pour cela qu'elle préfère ne jamais me parler de lui. J'enfilai mon jean slim Donna Cardona , mes bottine à talon noir de chez Jimmy Chou et un grand tee-shirt gris inscrit dessus « I love NY ». Bien sur j'adore New-York , j'y vis depuis toute petite , à Hanskew , en face du parc d'où j'en ai une belle vue depuis ma chambre