Jean Maintenant Ne Trouvait Rien

… Dumenil, ainsi que sa femme … du même nom descendaient leur fille Jeanne dans leur jardin.Une balançoire trônait, seule, au milieu d’un magnifique assortiment de roses rouges et de Lilas légèrement humidifiées par la rosé du matin.Ils ne se doutaient pas de la maladie qui pesait sur leur jolie et jeune portée.Ils avaient invité Arthur, un ami de classe de Jeanne, ils s’amusaient comme des enfants, insouciants, heureux, sans se douter une seule seconde que le futur leur réservait un bien triste

banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. - Oh! dit-elle, regarde un peu, Jean! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir

banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. - Oh! dit-elle, regarde un peu, Jean! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir

banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. – Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir

: Romans / Nouvelles DENISE était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin

banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. - Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir

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curé interdit aux gens du pays de porter des offrandes et de venir danser autour de la source. Il prétendait qu'ils y perdraient leurs âmes, et que la fée était un diable. Les villageois savaient bien que ce n'était pas vrai ; cependant, ils n'osaient rien dire, parce qu'ils avaient peur du curé. Mais les plus vieux d'entre eux continuèrent de venir, en cachette, pour déposer leurs dons près de la source. Quand le curé s'en aperçut, il se fâcha tout rouge. Il fit dresser en cet endroit une grande croix

extrait de Pierre et Jean, la situation du passage, c'est-à-dire après la déclaration de l'héritage et la famille Roland va partir pêcher pour fêter la nouvelle installation de Jean, et après avoir acquis la certitude que Jean est le fils de M. Maréchal, Pierre tombe dans un abîme de souffrance. Cette souffrance vient non seulement de la jalousie d'une grosse somme d'héritage de Jean, mais aussi du fait de l'infidélité de sa mère et la préférence de Mme Rosémilly pour son frère Jean. Dans cet épisode

La vie errante Guy de Maupassant Pierre et Jean Chapitre X Un jour seulement loin de son fils, et déjà Mme Roland s'inquiétait énormément . Pendant ce temps , Pierre sur la Lorraine avait été présenté à tous les officiers du bord . Dans son travail en tant que médecin de bord, il était assisté par deux personnels infirmiers. Gustave, la quarantaine, marié et père de cinq enfants faisait les traversées transatlantique depuis maintenant près de quinze ans. Brun les cheveux courts, portant