Jean-Marie Le Pen

du conformisme est pire encore, comme il ressort de cette anecdote également racontée par l’éminent historien, qui en garantit l’authenticité : un haut fonctionnaire, par ailleurs grand bourgeois, alla voir en famille le spectacle sur le procès de Marie-Antoinette monté par Robert Hossein et Alain Decaux et à l’issue duquel le public votait « soit l’acquittement ou la déportation, soit la mort ». Le lendemain, le personnage, « un peu embarrassé quand même », avoua à une collègue : « J’ai voté la mort

er ministre, Lionel Jospin est socialiste. • A retenir : deux mandats successifs de Mitterand (1981-1988 et 1988-1995) puis élection de Jacques Chirac : 1995-2002 et à nouveau 2002-2007, l’élection de 2002 étant marquée par la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour (Chirac a donc bénéficié du soutien des électeurs de gauche hostile au Front national). 2007-2012 : présidence de Nicolas Sarkozy • Une révision constitutionnelle réduit le mandat du président de la République à 5 ans ce qui

mainmise de la télévision sur les campagnes électorales. C’est par exemple le cas de janvier à mars 2002, ou l’on observe que pas moins de 212 reportages de la chaine tf1 ont été consacré à l’insécurité, alors argument majeur de la campagne de Jean marie LE PEN qui s’est ainsi vu accordé une place au second tour des élections présidentielles. La diffusion de l'information Le grand intérêt que présentent les médias, que ce soit la presse écrite, la télévision, l'Internet ou encore

d’Algérie 13 Mai 1958 : Coup de force de l’armée en Algérie qui finit de fragiliser la IV République 1964 : Loi créant l’ORTF Mai 1968 : Grève de l’ORTF 1982 : Loi sur l’audiovisuel 2002 : élections présidentielles accession au second tour de Jean Marie Le Pen (Front National) 3) I) Le développement des médias et de l’opinion publique à travers les grandes crises en France de 1894 à 1939 A) L’affaire Dreyfus : des médias et une opinion publique divisée 1) Explication de cette crise

génération de jeunes auteurs, parmi lesquels figuraient Ionesco et Beckett. Son père, juriste roumain, de religion orthodoxe, s'appelait également Eugen Ionescu. Sa mère, fille d'un ingénieur français luthérien, venu travailler en Roumanie, s'appelait Marie-Thérèse Ipcar. Thérèse se convertit à la religion orthodoxe en se mariant et le petit Eugen est baptisé et reste, malgré ses doutes métaphysiques, orthodoxe pratiquant jusqu'à sa mort. Peu de temps après la naissance d'Eugen, la famille s'installe

campagne présidentielle qu’il était contre la peine de mort. Le 30 septembre 1981 la loi contre la peine de mort est adoptée. Elle est promulguée le 9 Octobre 1981. Il faut noter que certains hommes politiques étaient et sont encore pour, comme Jean-Marie Le Pen ou encore Phillipe De Villiers ; et désormais elle ne peut plus être rétablie. En effet : de nombreux textes européens comme le traité de Lisbonne l’interdisent. 1) Pour la peine de mort La peine de mort est une peine empêchant la récidive

se demander si l'utilisation de l'imagerie populaire religieuse ou, au moins, mythique, ne tient pas des traits d ela domination traditionnelle... Quand on s'habille en blanc sur proposition des conseillers en communication pour rappeler la Vierge Marie, symbole de la protection par excellence, quand on se présente et que l'on se fait présenter comme l'image la plus proche de "Marianne", ne peut-on pas considérer qu'il s'agit de ce ressort? Surtout que, comme Nicolas Sarkozy, elle aussi s'est dite

plus à l’est que à gauche. - 2 janvier 1956 : élection législatives anticipé marqué par une poussée contestataire (française arasé par la politique) = les Poujadiste (pierre Poujade) (contestataires) obtiennent 11% des suffrages et élection de Jean marie Le Pen (27 ans). = La contestation vient des poujadistes et des communistes. * Problème Algérien. 1958 : 4ème année de guerre pour la France. 16 mars 1970 : loi voté par le gouvernement socialiste de Guy Mollet et adopté par assemblée

l'espèce, de défendre la Vérité démocratique libérale. C'est ainsi qu'en France la loi Fabius (PS)/Gayssot (PC) n° 90-615 du 13 juillet 1990, encore dite loi anti-Le Pen, interdit toute expression ainsi que tout acte raciste, antisémite ou xénophobe. Les tribunaux ont appliqué cette loi à de nombreuses reprises, par exemple M. Jean-Marie Le Pen, président-fondateur du Front national, a été condamné par la cour d'appel de Versailles en 1991 à verser des dommages et intérêts aux associations anti antisémites

Jacques Chaban-Delmas 3 857 728 12,61 15,11 Source : Bulletin officiel du Ministère de l'Intérieur, mai-juin 1974. Jean Royer 810 540 2,65 3,17 Arlette Laguiller 595 247 1,95 2,33 René Dumont 337 800 1,1 1,32 Jean-Marie Le Pen 190 921 0,62 0,75 Emile Muller 176 279 0,58 0,69 Alain Krivine 93 990 0,31 0,37 Bertrand Renouvin 43 722 0,14 0,17 Jean-Claude Sebag 42 007 0,14 0,16 Guy Héraud 19 255 0,06 0,08   Giscard d'Estaing est élu le 19 mai 1974 Président