Jean Molino

(SFIO) apparaît en 1905 avec Jean Jaurès. Il ne fonctionne pas comme les partis vus précédemment puisqu’il fonctionne à l’international. En effet, la SFIO réunit la classe ouvrière du monde entier contre le capitalisme et la bourgeoisie, eux aussi internationaux. Celui-ci a même comme projet de faire échouer le commencement de la 1ère guerre mondiale avec le vote et la menace de faire une grève ouvrière générale. Ce projet est un échec du fait notamment de l’assassinat de Jean Jaurès mais aussi car la

grecque qui connaît son apogée au 5ème siècle avant JC. Les auteurs les plus connus sont Sophocle avec Œdipe-Roi, Corneille avec le Cid, Racine avec Phèdre, Molière avec Le Tartuffe ou encore Shakespeare et Roméo et Juliette. Nous avons une citation de Jean Anouilh, célèbre dramaturge et scénariste français du 20ème siècle, qui nous livre son sentiment sur la tragédie. Pour lui, dans la tragédie tout est déjà prévu, il n’y a pas de suspens. La tragédie se déroule aussi dans un cadre familial, on est

à gauche sur Rue Paul Chenavard  0,2 km 3. Tourner à gauche sur Rue Longue  95 m 4. Tourner à gauche sur Rue du Président Edouard Herriot  77 m 5. Tourner à droite sur Rue du Bât d'Argent  0,3 km 6. Tourner à gauche sur N6/Quai Jean Moulin Continuer de suivre N6  0,6 km 7. Continuer sur N83/Quai André Lassagne (panneaux vers Périphérique) Continuer de suivre N83  0,7 km 8. Tourner légèrement à droite sur Cours d'Herbouville  0,2 km 9. Continuer sur Autoberge

l'atmosphère dégager par se coeur de verdure. I ) b. Le Parc Selon la volonté des donateurs Jean et Geneviève Masurel, le Musée a été édifié au cœur d’un parc ouvert au public dans lequel se déploie une importante collection de sculptures. Le noyau initial de la collection qu'on peut admirer aujourd'hui s’est d’abord constitué d’œuvres en pierre d’Eugène Dodeigne et de Jean Roulland, collectionnées par Jean Masurel. De nouvelles acquisitions et des dépôts significatifs ont progressivement enrichi

Beaucoup de romans se concentrent généralement sur la description de destins d’êtres remarquables. Les portraits des personnages apportent au lecteur de précieuses indications sur leur ressenti et leur évolution. Ce texte est un extrait du roman Les Misérables, écrit en 1862 par Victor Hugo, un écrivain français très engagé dans la lutte pour de meilleures conditions du peuple. Dans ce passage, V. Hugo dresse un portrait réaliste, celui de Fantine, une femme du peuple qui se bat pour vivre et assurer

les regards de Calypso et la colère de Dieux mais préfère à toutes les tentations possibles honorer sa patrie et retrouver sa famille. On retrouve également cette adaptation de l'enseignement homérique dans la fable " Les compagnons d'Ulysse " de Jean de LaFontaine, dédié, comme le texte de Fénélon, au duc de Bourgogne. Cette dédicace montre, comme pour " Les Aventures de Télémaque " que les textes classiques peuvent suivrent leur principe d'instruire et de plaire, retranscrit ici par LaFontaine

plus la langue est longue." Proverbe Italien "De toutes les perversions sexuelles, la chasteté est la plus dangereuse." George Bernard Shaw "L'amour c'est comme le potage, les premières cuillerées sont trop chaudes, les dernières trop froides." Jeanne Moreau "L'amour est aveugle, mais le mariage lui rend la vue." Proverbe Allemand "La célébrité m'apporte beaucoup. Les femmes qui me disent non sont beaucoup plus belles qu'avant." Woody Allen "Un diplomate, c'est un homme qui se souvient toujours

abandon à l'irrationnel, et les abstraits par ses fonds musicaux qui ne sont que taches de couleur et suggestion de mélodie. Durant la Première Guerre mondiale; il sert dans l’armée allemande. Après celle-ci, rempli de nouvelles idées, il fonde avec Jean Arp et l'activiste social Johannes Theodor Baargeld le groupe Dada de Cologne mais deux ans plus tard, en 1922, il retourne à la communauté d'artistes de Montparnasse à Paris. En 1925, Max Ernst invente le frottage : il laisse courir une mine de crayon

LE LOUP ET L’AGNEAU – COMMENTAIRE Le Loup et L’Agneau est une fable de La Fontaine écrite au XVIIIème siècle sous le règne de Louis XIV. Cette fable présente un loup qui essaye de justifier son envie de manger l’agneau, la morale est donnée dès le début, on sait donc que l’agneau est contraint à mourir quoi qu’il dise. La Fontaine veut mettre en évidences les inégalités de sa société, il utilise une morale oppressive pour faire prendre conscience au lecteur de l’injustice de ce raisonnement.

Son miroir lui disait : Prenez vite un mari.Je ne sais quel désir le lui disait aussi ;Le désir peut loger chez une précieuse.Celle-ci fit un choix qu’on n’aurait jamais cru,Se trouvant à la fin tout aise et tout heureuseDe rencontrer un malotru. Jean de La Fontaine