Jean-Paul Baudecroux

GROUP DOSSIER 2 : Quel style de direction pour Jean-Paul BAUDECROUX ? « NRJ : va, tout va ! » Revenant des États-Unis où il fit des études de commerce, Jean-Paul Baudecroux profite de l'élection de François Mitterrand pour créer sa radio libre. Ces dernières ne sont plus brouillées depuis le changement de majorité. Jean-Paul Baudecroux y voit l'occasion d'en faire une organisation rentable. Après l'idée d'une radio pour les femmes, Baudecroux opte finalement pour une radio musicale pour les

station radio : Chérie FM Acteurs (nom, fonction, statut) Propriétaire(s) : le créateur Jean-Paul Baudecroux, de NRJ groupe. Destinataire(s) : Tout le monde, tous ceux qui possèdent une radio ou un ordinateur. Type, domaine et contexte de communication Chérie FM est un réseau de radio musical privé français qui fait partie de NRJ Group. Chérie FM est créée le 28 mars 1987 à Paris par Jean-Paul Baudecroux sur la fréquence de la défunte Gilda la radiopolitaine. Chérie FM est une radio musicale

deviennent des radios libres. Presentation NRJ : |Création |1981 | |Fondateurs |Jean-Paul Baudecroux et | | |Max Guazzini | |Données clés

prévisions en 2006 est encore négatif avec une perte de 30 millions d’euros Le marché au sens large : Le groupe NRJ est déjà très présent dans le secteur des médias (radio, télévision), ainsi malgré un positionnement risqué et des tarifs élevés Jean-Paul Baudecroux n’a pas hésité à investir une somme d'argent considérable afin de mener à bien son projet de téléphonie mobile. Et ce, malgré une concurrence très rude. Le marché des opérateurs mobiles est très concurrentiel oligopole avec trois grands

: Jean-Paul Baudecroux est le créateur de Chérie fm. Chérie FM est créée le 28 mars 1987 à Paris sur la fréquence de Gilda la radiopolitaine (radio qui n'existe plus). En 1989, Chérie FM obtient une implantation nationale car NRJ rachète le réseau Pacific FM. La plupart des stations de province de ce réseau sont alors affiliées à Chérie FM. En 1992, Chérie FM se lance en Wallonie (Belgique). En 1994, le capital est entre les mains du groupe Sonopar ( détenu à 90 % par Jean-Paul Baudecroux)

La spécificité du théatre est dans la représentation d'un texte dialogué, qui permet aux dramaturges d'aborder, souvent de manière symbolique, des thèmes liès à la vie individuelle, mais plus encore à la vie de la cité.Les pièces antiques, comme celles de Sophocles, traitaient ainsi du pouvoir.Régulièrement repris au siècle classique dans les tragèdies de Ravine ou Corneille, mélant conflit politique(le pouvoir) et conflit privé(l'amour), il ressurgit au 19ème siècle.Après V.Hugo dans HERMANI ou

Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus

Biographie Boris Vian naît le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray dans les Hauts-de-Seine. Son père Paul est rentier, sa mère Yvonne Ravenez est pianiste et harpiste amateur. Son grand-père Henri Vian fut bronzier et fondeur[1], ses magasins étaient au 5 rue Thorigny à Paris, dans l'Hôtel Salé depuis le musée Picasso. Le frère aîné de Boris, né le 17 octobre 1918, s'appelle Lélio ; il y aura deux autres enfants après Boris, Alain né le 24 septembre 1921, et Ninon née le 15 septembre 1924. À douze

sur le grand-duc Serge qui règne en despote. Kaliayev doit jeter la première bombe et Voinov doit jeter la deuxieme. Ils disputent qui a lieu entre Kaliayev et Stepan exprime en fait la différence de point de vue de Albert Camus (Kaliayev) et de Jean-Paul Sartre (Stepan). Acte II[modifier]Dora et Annenkov regardent l’événement d'un appartement. Après quelque temps, Kaliayev revient et il n'a pas pu jeter deux bombes car, dans la calèche, se trouvaient le neveu et la nièce du Grand-Duc (les princes

Jean-Paul Marat est né 1743 à Boudry en Suisse et mort à Paris en 1793, est issu d'origine modeste. Il suit des études de médecine en France puis par pour l'Angleterre en 1765 pour exercer le métier de médecin. Il écrit parallélement «Les Chaînes de l’esclavage». En 1776, il revient en France et tente de comfirmer sa réputation scientifique en fesant des expériences sur la lumière entre autres et en publiant des écrits scientifiques mais échoue devant l’Académie des sciences. Il devient journaliste