Jean Vautrin

jusqu'au moment où surgissent, enfin, les raisons d'un drame, la vérité d'un étrange et fascinant cadavre... » écrit Sébastien Japrisot (1931-2003) dans l'avant-propos à Compartiment tueurs, son premier polar, en 1961. Jusque-là, Japrisot s'appelle Jean-Baptiste Rossi. A 18 ans, il a publié un roman, Les Mal Partis, une histoire d'amour passionnel entre un collégien et une jeune religieuse qui l'a fait comparer par la critique au Radiguet du Diable au corps, avant de devenir le traducteur de J.D.

extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec , son extravagante héroine , dont le succès ne se fait pas attendre . Tardi adapte aussi des romans policiers , comme ceux de Léo Malet , qui mettent en scène le personnage de Nestor Burma , ou historiques comme celui de Jean Vautrin , dans une bande dessinée intitulée Le cri de peuple ( en 4 tomes , parus en 2001) , l’une des créations majeures de Tardi . Il s’agit là de l’histoire de la Commune de Paris , cette insurrection qui allait permettre au peuple de Paris , l’espace

« Grand monde ». Il y fait la rencontre de Jacques Collin, à la pension Vauquer, celui-ci se fait appeller Vautrin ( qui apparemment est homosexuelle). Celui-ci se trouve avoir une très mauvaise influence sur Eugène et le pousse hors du droit chemin. Il tente de l'entrainer dans une affaire criminelle, mais Eugène est un homme droit et honnête, il n'ira donc pas jusqu'au bout du plan de Vautrin. Il est aussi ami avec Horace Bianchon qui est medecin. Il est amoureux d'une des filles du père Goriot

Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions de mariage avec lui

Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions de mariage avec lui

Madame Vauquer, tenue par la dame du même nom, une veuve ayant perdu goût à la vie. Plusieurs pensionnaires s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, provincial venu étudié le droit à Paris, et fasciné par la vie des riches, Vautrin, mystérieux évadé du Bagne de Toulon, et Jean- Joachim Goriot, nommé Père Goriot par les pensionnaires, ancien fabriquant de vermicelles à la retraite. Eugène de Rastignac, qui n'a jamais vraiment vécu en ville est fasciné par la vie parisienne et toute sa bourgeoisie.

Paris d’abord dans une pension modeste (La passion Vauquer) où vit le père Goriot, ensuite dans les quartiers bourgeois où vivent ses filles. La famille est composée : du père Goriot et de ses deux filles chacune mariée Personnages : * Jean-Joachim Goriot : Surnommé « Le Père Goriot » pitoyable rentier de soixante neuf ans. Il a fait sa fortune pendant la Révolution. C'est un ancien fabricant de vermicelles, de pâtes d'Italie et d'amidon. Goriot fait des sacrifices pendant toute sa vie

Eugène de Rastignac Venu de Charente pour étudier le droit à Paris, il rencontre Jacques Collin, alias Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (étudiant en médecine), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen. Jean-Joachim Goriot Le père Goriot (ancien vermicellier) a fait fortune durant la révolution. Il est doté d'un amour sans limite

le plus souvent chez Balzac sont présents (Nucingen, Bianchon, Marsay, et Rastignac) Chacun des personnages renvoit a un autre Roman de Balzac. Vautrin : ancien forçat très épris de revanche sociale. Il a l’art du transformisme et sait plier les faibles à sa volonté. Il est dénoncé et envoyé en prison. Le père Goriot : Jean-Joachim Goriot, ancien négociant, ouvrier vermicellier, a fait fortune sous la Révolution. Profitant de la disette qui sévissait pendant cette période

1837-1843 César Birotteau, Illusions perdues 1838-1847 Splendeurs et misères des courtisanes 1842 La Rabouilleuse 1844 Les Paysans 1846 La Cousine Bette 1847 Le Cousin Pons Les personnages Personnages principaux : Le père Goriot : Jean-Joachim Goriot, ancien négociant, ouvrier vermicellier, a fait fortune sous la Révolution. Profitant de la disette qui sévissait pendant cette période, il a pu vendre ses farines en décuplant leur prix. Resté veuf avec deux filles qu’il idolâtre, il