Jeanne Duval

dont il ne cite pas le nom, peut-être la mulâtresse Jeanne Duval car, selon le poète, cette femme était « couchée [sur un] divan », or nous savons que Banville, un poète parnassien contemporain de Baudelaire avait composé une pièce poétique pour Jeanne Duval s’intitulant « le Divan ». On sait par ailleurs que Baudelaire a vu dans sa maîtresse la femme sensuelle, la « muse vénale ». Il existe pourtant une difficulté d’interprétation : Jeanne Duval était haïtienne et donc noire de peau, ce qui est en

mélancolie. C'est un sonnet formé de deux quatrains et deux tercet, le registre est lyrique. Le poème est dédié à Jeanne Duval, maîtresse de Baudelaire pendant une longue partie de sa vie. Les thèmes principaux sont la mort et la femme traitresse qui ne satisfait plus le poète. La mort Baudelaire dans ce poème montre la peur universelle de la mort, mais il s'adresse à Jeanne Duval qui est en fait la "belle ténébreuse" (vers 1), qu'il tue dans le second quatrains. Baudelaire nous fait comprendre

confondais l'odeur de la fourrure avec l'odeur de la femme. Je me souviens... Enfin j'aimais ma mère pour son élégance. J'étais donc un dandy précoce.1 » De l'amour qu'il porte à sa mère, Caroline Archimbaut-Dufaÿs, pour son élégance jusqu'à Jeanne Duval (il l'a faisait s’asseoir devant lui dans un grand fauteuil; il la regardait avec amour et l'admirait longuement, ou lui disait des vers écrits dans une langue qu'elle ne savait pas2 nous raconte Th. de Banville), en passant par Apollonie Sabatier

Baudelaire considère son amour à Jeanne Duval comme étant sensuel et de ce fait, qu’il est une cause à sa déchéance. Premièrement, l’auteur ressent l’amour sensuel de sa maitresse; Mme Duval, comme étant une fête des sens. D’un côté l’odorat, et de l’autre, l’ouïe et la vue. La représentation des sens est très importante pour bien transmettre au lecteur la proximité qu’avaient Baudelaire et Mme Duval. En effet, sans cette représentation des sens apportent beaucoup de profondeurs à ses textes. Il

poète et le « tu » est Jeanne Duval, Charles Baudelaire s'adresse donc directement à elle et le tutoiement indique une intimité. Il y a donc une proximité dans le vécu mais aussi une proximité spatiale. -Baudelaire charme la femme comme un charmeur de serpent charme son serpent description des actions que fait le serpent quand il est charmé, Baudelaire métaphorise la femme ) II : Une femme dangereuse 1. Baudelaire hypnotisé a) La danse de Jeanne hypnotise le poète. Jeanne est assimilée par

publication. Nombreuses dans ses poèmes sont les reprises des figures féminines. Dont Jeanne Duval, métisse, qu'il surnommera sa Vénus noire. Dans Le Serpent qui danse, il évoque l'amour charnel et passionnel entre lui et Jeanne. Charles Baudelaire donne de Jeanne une image changeante : c'est une femme qui se donne et se refuse, c'est une femme sensuelle et une enfant, elle apporte le plaisir et le danger. Jeanne Duval est une véritable fleur du mal. Dans ce poème, on peut voir une déclaration d'amour

tensions intérieures, allant du spleen, état dépressif chronique, à l'Idéal, aspiration vers un ailleurs. 2, « Une charogne » présente une situation atypique : un couple en promenade, Baudelaire et une femme, représentant peut-être sa maîtresse Jeanne Duval, la Vénus noire, qui « au détour d'un sentier » rencontre un cadavre d'animal en décomposition. 3, Comment Baudelaire s'éloigne-t-il du poème d'amour traditionnel dans ce texte ? 4, Dans un premier temps nous analyserons le contexte de

bourgeoise qu'incarnaient sa mère et son beau-père. -Son beau père jugeant sa vie scandaleuse l'envoie vers un voyage dans les Indes, son voyage prend fin en 1841. -Il commence a rédiger les premiers poèmes des Fleurs du Mal en 1842, grâce a Jeanne Duval dont il est tombé amoureux. -Sa première Œuvre Les Fleurs du Mal est très mal accueillit dans la presse en 1857, qui donneront lieu a un Procès. -Il est mort de la syphilis le 31 août 1867, il est mort sans avoir put terminer le travail de

que le suggère le titre "Recueillement", nous avons un certain nombre de connotations religieuses et mystiques. Le titre contraste avec l'état d'esprit de Baudelaire qui, àcette période de sa vie souffre de solitude extrême, il ne vit plus avec Jeanne Duval, Mme Sabatier ou Marie Daubrun. Le poète est désespéré, seul, en détresse et malade. Il tente à travers ces vers derestituer l'intensité de sa souffrance et de son désespoir.

temps la puissance surhumaine Oui C'est pas mal Laura, des réflexions intéressantes sur les symboles qu'on peut trouver dans ce poème En effet il fait partie de ce qu'on appelle "le cycle Jeanne Duval" mais il dépasse le cadre d'une seule femme. Femme stérile, peut-être parce que celle-ci (Jeanne Duval) prostituée et syphilitique (MST qu'elle a transmise à Baudelaire et qui a contribué à sa déchéance) n'a jamais eu d'enfant ? En fait je en sais pas, et je crois qu'il faut garder des questions