Jec Dees

Avec son chant il peut apprivoiser les hommes, les animaux et même les végétaux. Il est capable de charmer tous ceux qui l’écoutent. Il joue de la lyre qu’il a lui-même inventée. Son chant apporte la paix, l’harmonie. Sa mère est divine, c’est une déesse, une muse qui s’appelle Calliope. Son père est le roi de Thrace et s’appelle Oeagrus. Orphée est un héros, c’est un demi-dieu (car un de ses parents est divin et l’autre est humain). Orphée a participé à l’expédition des Argonautes (c’est un groupe

reste majoritairement ponctué de références aux divinités grecques pour désigner la femme. Celle-ci est d'abord comparée à « l'Amante de Céphale », vers 1, qui n'est autre que Eos, également appelée l'Aurore, que nous retrouvons vers 13. C'est la déesse identifiée, chez les tragiques, à Héméra, la divinité du Jour. Nous retrouvons vers 5 « la Nymphe divine » (allégorie + adjectif qui amplifient), mais aussi vers 11 « l'Olympe », la résidence des dieux grecques qui fait de nouveau écho au ciel et

vers le coin droit du tableau, suit le corps de la Vénus, la fumée et les personnages sur le dauphin, la deuxième en arrière-plan croise la première et suit l'écume de la mer. Cette composition en Y, crée en grande partie la dynamique de l'image, la déesse semble surgir des eaux, de plus ces diagonales renvoient au centre du tableau et au bassin de la Vénus. L'éclairage du tableau se fait essentiellement sur la Vénus, laissant ses acolytes dans l'obscurité. L'éclairage est telle qu'il en est éblouissant

pré-rephaélistes, mouvement dont le peintre fait partie). Proserpine est représentée en reine des Enfers, on peut le deviner car elle porte une robe d'une étoffe satinée et riche. La main attrapant l'autre poignet évoque des regret quant à ce que la déesse vient de faire ou un désir de contact humain. Ce dernier point peut être lié à la relation entre le peintre et le modèle (Jane Morris), laquelle sera approfondie plus loin. L'encensoir au bas du tableau rappelle la divinité du personnage. La branche

ses parents. Mais par un stratagème, le jeune homme parvient à lui faire prononcer cette phrase : « Je jure de me marier avec Acontios ». Piégée, Cydippé décide de respecter le choix de sa famille et d'oublier ce serment. Seulement, jurer devant la déesse Artémis n'est pas sans conséquences... "Je ne dois plus y penser." se dit-elle. Puis, avec plus de fermeté, comme pour se persuader : "Je dois me marier. Père et Mère s'attendent à voir leur fille digne ! Toute cette histoire doit rester au fond de

palpable) de reconnaître l'existence d'être invisibles, angéliques, divins ou d'esprits de la nature (terme défini selon la culture ou les préférences de chacun), que d'adhérer à un dogme qui leur donne forme et explique leur existence : celui de la Déesse et du Dieu, ou toute autre représentation de la divinité donnée par un système. Et oui, un dogme. Quoi d'autre, puisque c'est manifestement une base incontournable. Que la Wicca se clame sans dogme ne semble pas réaliste, peut-il seulement y avoir

Phèdre idéalise Hippolyte, elle ne le considère plus comme un simple humain mais plutôt comme son dieu. Elle ne vit que pour lui. Elle devient même infidèle envers les autres dieux car lorsque "sa main brûlait l'encens" en implorant le nom de la déesse Vénus, elle pensait à Hippolyte, elle adorait Hippolyte (" j'adorais Hippolyte [...] même au pied des autels" ) donc on peut supposer que lorsqu'elle vénère les dieux, elle ne fait pas ca pour eux, mais pour hippolyte. On peut se demander si elle n'a

Analyse symbolique : Vénus est la déesse de la beauté. Elle était célébrée en Grèce et spécialement en Crète (Cythère) et à Chypre (Paphos). Vénus symbolise le Désir et la Fécondité. C’est l’image de l’Amour charnel et animal, du plaisir des sens. Mais Botticelli, par la douceur de sa représentation, exprime sa volonté de recréer une image de la déesse de l’Amour telle que les Anciens l’avaient créée. Vénus évoque alors l’Unité céleste et son essence spirituelle. Elle devient une allégorie

différends familiaux. Le personnage féminin est valorisé à l'opposé de Sido qui devient pour sa fille une magicienne transformant le quotidien en un conte de fées. Ses mains, ainsi que celles de Man, sont prodigieuses. Comme Man, elle est rapprochée d'une déesse mère essentielle. Ces trois extraits présentent donc une image positive de la mère. Si Jules Vallès, dans L'enfant, a fait de la mère une figure d'autorité rigide, cruelle et méchante, l'affection temoignée change les femmes en consolatrices, protectrices

discrimination. -Vénération d’un Dieu et d’une Déesse: les wiccans considèrent “Dieu” comme une chose si extraordinaire qu’on ne peut la comprendre en entier. Ils séparent donc le divin en deux parties complémentaires, et vénèrent à égalité le masculin sacré et le féminin sacré: il y a d’une part une Déesse (souvent appelée la Dame Blanche/La grande Déesse), et d’autre part un Dieu (souvent appelé le Seigneur Cornu). Les différents noms de la Déesse et du Dieu ne sont que divers aspects de la même