Jeff Koons Versailles

orient et occident 2 • S et C sont les plus grosses maisons de ventes aux enchères du monde • La majorité est chinoise • Liu Xiaodong rentre dans le club très fermé des artistes vendant à plus de deux millions de dollars, comme Jeff Koons • Multimillionnaires : Wang Guangyi a une villa de 10000 m2 à Pékin. • Galeries : les occidentales signent avec des chinois, même inconnus, Pompidou et Guggenheim vont p-ê ouvrir des branches en chine. 798 : galeries, mais aussi

collections de New York et de Venise. La majorité des œuvres d'arts exposées proviennent d'ailleurs du musée Guggenheim de New-York. Parmi les œuvres principales, on peut citer « Puppy », sculpture très kitsch et monumentale d'un chien crée par Jeff Koons et « Maman », l'araignée géante réalisée par Louise Bourgeois qui accueillent les visiteurs ou encore les installations géantes de Richard Serra V) Conclusion : D'après moi, l'architecture de ce musée est très avant-gardiste, innovatrice et surprenante

expositions : Parmi les œuvres importantes du Guggenheim Bilbao, on peut citer les sculptures gigantesques de Richard Serra, les installations de Jenny Holzer, une Araignée de Louise Bourgeois, ou bien encore le chien géant habillé de fleurs de Jeff Koons situé à l'entrée, que les Basques nomment affectivement « Puppy ». Les peintures et les sculptures traditionnelles sont en minorité par rapport aux arts plus académiques. Les expositions du musée changent souvent (quatre à six expositions différentes

ennuyé de moy, Et moy pareillement de luy. » Charles d'Orleans Jeff Koons venait de se lever de son siège, les bras lancés en avant dans un élan d'enthousiasme. Assis en face de lui sur un canapé de cuir blanc partiellement recouvert de soieries, un peu tassé sur lui-même, Damien Hirst semblait sur le point d'émettre une objection ; son visage était rougeaud, morose. Tous deux étaient vêtus d'un costume noir – celui de Koons, à fines rayures – d'une chemise blanche et d'une cravate noire. Entre

distribution. Quant aux couleurs utilisées, elles sont vives jusqu’à saturation pour certains des portraits. De toute évidence, les couleurs sont utilisées pour attirer – voire choquer – l’oeil. POSTÉRITÉ – ART AS BUSINESS Ils s’appellent Jeff Koons, Damien Hirst, Takashi Murakami et l’on dit d’eux que ce sont les héritiers d’Andy Warhol. On les appelle volontiers « artistes néo-pop » : ils ont en commun de partager avec Warhol ce goût de la célébrité et du business. « Gagner de l’argent est

société de consommation dominée par l’argent, la misère sexuelle de l’homme occidental, la désillusion et la fragilité des relations sociales. 3 1. RÉSUMÉ Un 15 décembre, le peintre Jed Martin est occupé à l’élaboration d’un tableau intitulé « Jeff Koons et Damien Hirst se partageant le marché de l’art », tableau auquel il s’attarde depuis longtemps et qu’il ne parvient manifestement pas à terminer. Trouvant qu’il s’agit finalement d’un « tableau de merde » (p. 30), il le détruit sauvagement. Accessoirement

France, il est représenté par la galerie Emmanuel Perrotin mais l’œuvre que nous avons choisi ici est détenue par le collectionneur français François Pinault. C’est à l’heure actuelle un des artistes contemporains les mieux côtés du marché parmi Jeff Koons et Damien Hirst. L’œuvre dont nous traiterons ici, est une installation de 101*41*53 cm que l’artiste a choisi de montrer dans un coin, à l’angle d’une pièce et orientée d’une manière telle à être dos au public. Or Him est une sculpture hyperréaliste

ainsi que des comics (bandes-dessinées). Il décrira lui-même son style comme étant « aussi artificiel que possible ». Il continue d'être une riche source d'inspiration pour les générations suivantes d'artistes contemporains, comme Richard Prince, Jeff Koons, Raymond Pettibon, John Currin ou Elizabeth Peyton. Œuvres de Roy Lichtenstein : * 1956 : Ten Dollar Bill, collection privée. * 1961 : * Girl with Ball, au Museum of Modern Art, à New York. * Mr. Bellamy, collection privée

appartiennent à des musées ou sont en mains privées), les prix augmentent automatiquement. Les grands acheteurs veillent à maintenir eux-mêmes le niveau du marché Reste que ces sommets n’en demeurent pas moins des exceptions. Si les cotes de Picasso, Jeff Koons, Gerhard Richter se maintiennent à des niveaux stratosphériques, nombre d’autres artistes doivent se contenter de destins bien plus modestes. En cela, ils sont tributaires d’un marché où tout le monde se tient par la barbichette, la plupart des

l’art contemporain est très visible. Il est dans la ville, dans les musées et il est surtout très médiatisé. Quelques exemples seulement. Les colonnes de Buren noires et blanches au Palais Royal, le Pont-Neuf emballé par Christo, le chien-ballon de Jeff Koons, la tête de mort incrustée de diamants de Damien Hirst, l’araignée géante de Louise Bourgeois, le sapin gonflable vert de Paul McCarthy qui a été saccagé ce week-end à Paris. Tout cela nous parle car l’art contemporain est partout. Marché en expansion