Jeremy Bentham

a un minimum d'intervention dans l'économie et la finance. John Locke : ces philosophes sont convaincus qu'il y a une harmonie David Hume : entre le profit privé et le bien public. Cela forme les cadres mentaux : l'esprit de l’époque. Jeremy Bentham : c'est un philosophe et économiste qui va formuler une règle importante. Il y a une lutte pour la survie des pensées. Adam Smith : Ils sont les fondateurs de cette économie politique anglaise David Ricardo : John Stuart Mill : 2 bases

l’antiquité on en trouve les prémices, c’est a cette époque que l’idée est systématisée : « la peine trouve certes sa justification dans l’utilité sociale mais aussi sa mesure dans cette idée d’utilité ». 2grands noms se dégagent : Beccaria et Bentham. A cause de l’influence de ces idées sur les rédacteur du CP de 1810. Beccaria : il est né en 1738 et décédé en 1809. C’est en 1764 que le marquis italien Beccaria publie son ouvrage fondamental «  le traité des délits et des peines », ouvrage

système Westphalien est-il en train de disparaitre ?  (Contexte de la mondialisation). Les rôles et les prérogatives des Etats sont remis en cause.  C) L’invention de l’international     Ce terme est inventé en 1781, par le philosophe britannique Jeremy Bentham. Il l’utilise dans un ouvrage de droit.  Il est ensuite introduit en France en 1801. J.B l’invente pour désigner le droit international, qui s’appelait auparavant le « droit des gens ». « Gens » signifie « nation », « peuple ». Il désignait les

bonheur individuel se substitue à la morale du Salut spirituel. 2) L’individualisme et l’universalisme L’individu est au centre de la pensée des Lumières, il se développe avec le libéralisme économique d’Adam Smith (1723-1790) et l’utilitarisme de Jérémy Bentham (1748-1832), «le bien commun est la somme des intérêt particulier, le droit libéral avec John Locke (1632-1704) Une ambition universaliste la raison, la liberté et le bonheur sont des valeurs universelles qui doivent permettre d’émanciper tous

spécifier « f » ? A. Deux grandes approches On distingue deux grandes fonctions de bien-être social. Elles donnent des points d’approche pour les politiques de redistribution. La fonction de bien-être utilitariste : On la doit à Jeremy Bentham (1789), John Stuart Mill (1861) et Sidgwick (1874). Cette fonction paraît a priori la plus intuitive, ici, la fonction de BES est la somme des préférences individuelles. L’idée est qu’une société juste est une société heureuse et on dit que le

d’anticipation) ont toujours existé ; elles témoignent du refus des 4 5 Discours de B.Constant “De la liberté des anciens comparée à celle des modernes” à Paris, 1819 Théorie utilitariste du "plus grand bonheur pour le plus grand nombre" selon Jeremy Bentham et John Stuart Mill entre autres, au XIXème siècle - 12 - individus à vivre au jour le jour. De nos jours, nous sommes constamment interpellés sur nos intentions et pressés par notre environnement de les justifier et de les expliciter.

acquérir. Il convient alors de définir le terme meilleur et rationnel. Un agent est considéré comme rationnel s’il prend toujours des décisions en vue de maximiser son bien-être. L’utilité est alors considérée comme une mesure du bien-être. Selon Jeremy Bentham (1748-1831) l’utilité c’est la propriété de tout objet de produire du plaisir, du bien ou du bonheur. Elle sera complétée par Jevons (1835-1982) père de la révolution marginaliste qui étend l’utilité au comportement du consommateur. En considérant

diplomatique… de tout nature des échanges de marchandises mais aussi des échanges des objets qui ont un caractère international. L’origine international, c’est un adjectif que l’on trouve pour la première fois dans les écrits d’un philosophe britannique Bentham Jeremy, emploie pour la première fois à la fin du 18 siècle au moment de la révolution française « international Law » dans cet ouvrage la distinction droit national et droit international. On employé le droit des gens encore aujourd’hui certains auteur

espagnols, juristes Lascasas et Sepuvelda (controverse de Valladolid), ouvre une réflexion : est ce qu’il est de droit, est ce que les européens ont un droit à occuper des terres qui ne sont pas les leurs ? A partir de là droit international de Jerémy Benthame. L’idée est que le droit des gens va se voir reconnu même dans les traités internationaux, ce qui va permettre un véritable droit public européen, une norme publique européenne. Tout part de la conquête des Amériques et de l’idée de guerre. La

toutes natures, matériels et immatériels, publics ou privés, dans tous les secteurs; internationales : son origine vient d’un philosophe anglais Jeremy Bentham du 18ème siècle, 1789,  parle pour la première fois de droit international. Ce concept de droit international existait bien avant mais avant le 18ème siècle on parlait de «droit des gens». Pourquoi Bentham a-t-il cherchait ce nouveau mot ? Qu’est ce qui a changé au 18ème siècle ? On constate que dans cette période, les rapports internationaux,