Jeu du loup

évident : Le sens se confond avec la morale de l’histoire ; c’est le sens superficiel. La petite fille qui court un grand risque de sortir du droit chemin, tombant sous les dents d’un méchant loup. Le texte apparait comme un message codé pour les besoins de la bienséance, mais nul ne peut se tromper : le loup n’est qu’un male jouisseur. Donc, la morale oriente le sens du texte dans la mesure où elle vient comme conclusion. Seulement notre curiosité et nos capacités de lecture nous poussent à voir

| | | | |4. Quand on parle du Loup... | | | | |5. Qui a mangé la galette ? | | | | |6. La maison dans la forêt | | | | |7. Un loup trop populaire

XIV. Le terme latin de fabula a désigné dès l'Antiquité le récit. Le mot français fable en vient à désigner un récit à valeur morale. C'est dans ce sens que l'emploie La Fontaine dans ses recueils. Dans le Loup et l’Agneau qui est un récit très court, il présente la rencontre entre un loup affamé et un Agneau naïf. La suite de cette rencontre ne fait aucun doute puisqu’elle est annoncée dans la morale au début de la Fable, écrite en hétérométriques. La Fontaine comme il le dit lui-même « se sert

Activités préparatoires s Raconter l’histoire qui sert de support à la fiche et, si possible, en faire écou- ter la version chantée. La faire jouer par les enfants, sous forme de dialogue : – Bâton, va battre le chien ! Il ne veut pas mordre le loup. – Non ! Je ne veux pas battre le chien. Les enfants sont ainsi amenés à faire varier la forme (affirmative ou négative) des phrases. Reprendre les phrases dont l’adverbe négatif, ne, aurait été oublié. s Faire inventer la suite de l’histoire, puis

la conduira à faire de dangereuses rencontres, l’attraction et le danger de l’inconnu - l’expérience vécue va lui apprendre à faire attention aux dangers, la faire grandir et mûrir. Elle accède à la fin de l’histoire, lorsqu’elle sort du ventre du loup, dans la version des frères Grimm, à un plan supérieur de l’existence : elle cesse d’être une enfant pour devenir une jeune fille et devient capable d’entretenir des relations positives avec ses parents. Le petit poucet est riche lui aussi en thématiques

Fiche veillée du samedi 07/11/09 La Soirée de l’Etrange ! Nom du jeu : La Soirée de l’Etrange Type de jeu : Extérieur (autour du feu) actif/passif Nombres de participants : Indéterminé, en sizaines Durée de jeu : 3h +/- Le but du jeu : Essayez de faire gagner sa sizaine pour avoir une histoire qui fait peur avant d’aller dormir ainsi que l’opportunité de ne pas devoir faire la vaisselle (car il y a que 5 repas !) Lieu : Autour du feu, à Gedinne  Matériel : • Feuilles

soi au risque de se faire prendre à son propre jeu. Les Deux Mulets : L'un transporte de la marchandise normale. L'autre de la marchandise coûteuse, riche, il va se faire attaquer pour sa marchandise et il va mourir. La morale → ne pas convoiter ce que l'on n'a pas pas au risque de se faire prendre à son propre jeu. Le Loup et le Chien : Le loup rencontre le chien, il lui propose une vie de rêve (la sienne) mais en fait il n'est pas libre. Le loup refuse car il préfère avoir sa liberté La morale

pas un modèle de vertu (sentence avec sujet indéfini, présent de vérité générale). B. Jeux de mots : double sens du mot Maître (maître du barreau = avocat ou magistrat pour le corbeau (robe noire) ou maître d'école, de rhétorique pour le renard. Jeu de mot sur le verbe se tenir (posséder le fromage/adopter un discours avec des intentions secrètes/se tenir = se sentir de joie). Discours insidieux : ironie obséquieuse (sans mentir), montrer dans le discours une image désirable du corbeau (Phénix

du corpus présentent de nombreux points communs. • D’abord ce sont des fables – en vers – qui reproduisent la structure habituelle d’un apologue : un récit, suivi (fable de Florian ou d’Hugo) ou précédé (« Le Loup et l’Agneau ») d’une morale. • La composition binaire de leur titre (« Le Loup et l’Agneau », « Le Crocodile et l’Esturgeon », « L’Ogre et la Fée ») leur donne aussi un air de ressemblance. • Ensuite les personnages – animaux humanisés, doués de la parole pour les deux premiers textes, ou

nostalgique (imparfait), d'un temps normal sans peste mais où le loup mange la douce et innocente proie. Le souvenir annonce le présage qu'on sacrifiera encore l'innocent. b. L’art du conteur : • Versification et hétérométrie (plusieurs dispositions de rimes et longueurs irrégulières), accélération • Alternance récit / discours : discours direct, indirect libre (« Manger l’herbe d’autrui ! Quel crime abominable ! »), narrativisé (« Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue ») • Différents