Jeu Japonais Proust

(Arasse) 2 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 2 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 2 Autres remarques 2 Synesthésie et signification des sensations (Kandinsky) 2 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 2 Sensibilité et résonance (Proust) 2 Le rire 2 Autres thèses 2 Illustrations et références 2 Exemples 2 Citations 2 Bibliographie 2 Sujets de dissertation 2 Documents et commentaires 2 Un peu de poésie 2 Charles Baudelaire 2 Arthur Rimbaud 2 Paul Verlaine 2 Nietzsche 2 Lautréamont

culture de masse ? (Hannah Arendt) 36 L’art contemporain, c’est n’importe quoi ? 36 Autres remarques 37 Synesthésie et signification des sensations (Kandinsky) 37 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 38 Sensibilité et résonance (Proust) 39 Le rire 39 Autres thèses 39 Illustrations et références 39 Exemples 39 Citations 40 Bibliographie 41 Sujets de dissertation 41 Documents et commentaires 42 Un peu de poésie 42 Charles Baudelaire 43 Arthur Rimbaud 43 Paul Verlaine 44

d'artillerie se hisse au rang d'imperator. Cet ensemble sert aujourd'hui d'écrin aux plus grands joailliers parisiens: Mauboussin, Van Cleef, Boucheron. Du Ritz, on s'attendrait à voir surgir I'un de ses h6tes mythiques : Rudolph Valentino, Coco Chanel ou Proust. CARTE DU TENDRE Rendez-vous est pris dans Ie square du Vert Galant, sous Ie saule pleureur : un pique-nique à la nuit tombée s'impose. A la pointe de I'île de la Cité, la vue est imprenable : Ie Louvre et Ie musée d'Orsay sont amarrés sur les

question de la télévision. Du temps de mon défunt mari, je m’y fis toutefois, parce que la constance qu’il mettait à la regarder m’en épargnait la corvée. Dans le vestibule de l’immeuble parvenaient des bruits de la chose et cela suffisait à pérenniser le jeu des hiérarchies sociales dont, Lucien trépassé, je dus me creuser la tête pour maintenir l’apparence. Vivant, il me déchargeait de l’inique obligation ; mort, il me privait de son inculture, indispensable rempart contre la suspicion des autres. Je trouvai

sur le plan formel avec des aplats moins marquées, moins homogènes et un jeu de déformation dans les figures représentées, comme dans Le Corsage à carreaux 1892 à Orsay, représentant sa sœur Andrée (femme du compositeur de Claude Terrasse, proche des Nabis). Jeu sur l’interaction, le côtoiement et la superposition des plages colorées. Les carreaux furent employés de façon récurrente par Bonnard. Influence des arts japonais : format vertical de l’œuvre, absence de modelés, et motif de carreaux récurrent

le chemin, il faut qu’une fois encore j’arrache, de mon pays, toutes mes racines qui saignent… Séquence 8: L’éloge du monde dans la littérature des XIXème et XXème siècles EL 19 : « Du côté de chez Swann », A la recherche du temps perdu, Marcel Proust, 1913 Mon pays : en Bourgogne 25 Ténu : très fin 26 Digitales : grandes fleurs sauvages colorées 271-1 & 1-4 Dans cet extrait, le narrateur évoque les sensations éprouvées lors de la dégustation d’une madeleine accompagnée d’une tasse de

________________________________________________________ 37 Synesthésie et significat ion des sensations (Kandinsky) _____________________________________37 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) ________________________________________38 Sensibilité et résonance (Proust) _______________________________________________________39 Le rire ____________________________________________________________ ______________39 Autres thèses ____________________________________________________________ _________39 Illustrations

proposé d’étudier le pré – romantisme du XVIII° siècle en Europe avec des citations empruntées à des poètes chinois de la période pré - chrétienne. On peut prendre le thème de la jalousie dans le roman de DOSTOÏEVSKI, l’Eternel Mari, et le roman de PROUST, un Amour de Swan. Le thème de la ville de DOS PASSDOS à CELINE, Voyage au bout de la nuit. On peut comparer le titre qui peut – être un genre. La littérature épistolaire est un sous – genre. RICHARDSON, Pamela, avec LAKLOV, Les Liaisons dangereuses

presentee sur un plateau ; mais ici, la tete d’Harold a ˆ ´ ´ pris la place de vulgaires « pates de crevettes » ! La presence de ˆ ´ ´ « sang » et de « persil » porte a sourire ! Sujet grave, la mort est ` traitee de facon comique : elle est un jeu de farces et attrapes ¸ ´ pour Harold. ´ Seance no 2 bis : exposition et incipit On propose ici deux prolongements a l’etude de la premiere ` ´ ` scene d’Harold et Maude. On peut choisir soit d’approfondir la ` notion d’exposition et d’initier

JeanBaptiste, pre´sente´e sur un plateau ; mais ici, la teˆte d’Harold a pris la place de vulgaires « paˆte´s de crevettes » ! La pre´sence de « sang » et de « persil » porte a` sourire ! Sujet grave, la mort est traite´e de fac¸on comique : elle est un jeu de farces et attrapes pour Harold. Se´ance no 2 bis : exposition et incipit On propose ici deux prolongements a` l’e´tude de la premie`re sce`ne d’Harold et Maude. On peut choisir soit d’approfondir la notion d’exposition et d’initier les e´le`ves