Jeune Fille Au Balcon Balla

: ARTS, RUPTURES, CONTINUITES PROBLEMATIQUE: Comment les artistes rendent-ils compte de l'évolution de la société? SUJET 1 : Le XXème siècle. Un monde en mutation, des arts qui évoluent. L « Bambina che corre sul balcone/Jeune fille courant sur son balcon » -par Giacomo Balla- Peinture à l’huile sur toile- 1912 "Pont Mirabeau" de Guillaume Apollinaire écrit en 1913, dans le recueil de poèmes "Alcools". Indications: "Le pont Mirabeau" a été publié en 1912. Apollinaire a été inspiré par

sourire pudiquement voilé de la femme de gauche sur le tableau, le regard plus appuyé de la jeune fille à sa gauche (son œil droit regarde tandis que le gauche envie !), me laisse penser qu'elles observent toutes deux une scène qui ne les laisse pas indifférentes. • Un monde s'ouvre sur la rue: celui de cette jeune fille et de cette femme. Ce monde est fait de rien (noir total) sinon ces deux personnes. La jeune fille tient une attitude dominante et se montre en plein jour et la sensualité qu'elle exhibe

pour l’emperatrice totalement nue. Manet ironise avec la mitologie et un corps nu réaliste et individualisé. – inspiration de Titien, Venus d’Urbino. Ex: Le balcon. 1868. Sujet banal, attitude perdue, scène sans anectdote, sans action. Chaque spectateur doit penser qu’est qui ce passe, si passe quelque chose. Inspiration: Goya, Majas au balcon, 1808. C2. Impressionisme (2) Les artistes refusées veulent etre acceptées, pourquoi le rare n’est pas acceptée par l’academie? Ex: Henri Fontain la Tour

Matisse laisse entendre { Signac qu’il a fait quelques tableaux pas très importants mais qui laissent voir des expressions. Signac pense lui avoir fait quelque chose de très important. Ils rentrent à Paris pour exposer au salon d’automne (tout jeune 1903), cela va faire scandale. C’est le scandale de la salle VII stigmatisée par la critique dont louis Vauxcelles, comme la cage aux fauves. Le salon d’automne donne une section { l’art étranger, il est dit moderne. Il s’ouvre l{ au grand palais

avec son contexte, notre perception de cette interaction est infinie, une couleur pure n’existe pas, elle est toujours en interaction avec une autre, une couleur appelle toujours sa complémentaire. Georges Seurat : • • • 1859-1891 Dessine très jeune et ses parents acceptent très vite sa vocation. Veut mettre la couleur et le dessin ensembles. Il entre en 1877 à l’école des Beaux-Arts. A comme prof Henri Lehmann, peintre néo-classique, peintre d’histoire. Portraitiste, veut donner à Seurat le culte

cloche rageuse y aboie vers midiLes inscriptions des enseignes et des muraillesLes plaques les avis à la façon des perroquets criaillentJ’aime la grâce de cette rue industrielleSituée à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des TernesVoilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfantTa mère ne t’habille que de bleu et de blancTu es très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René DalizeVous n’aimez rien tant que les pompes de l’ÉgliseIl est neuf heures le gaz est baissé tout bleu

s’agit du mariage de Marie et de Joseph. Le vieillard est le prêtre qui célèbre leur union. Les jeunes femmes sont les amies de l’épouse et les jeunes gens les camarades de l’époux. Plusieurs signes symboliques enrichissent le sens de l’image. Le jeune homme au premier plan à droite brise un bâton sur son genou: parmi les prétendants de Marie, c’est lui le plus déçu; les autres jeunes gens tiennent eux aussi un mince bâton, mais seul celui que porte l’époux est fleuri. Selon une pieuse légende, tel

rageuse y aboie vers midi Les inscriptions des enseignes et des murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J'aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l'avenue des Ternes Voilà la jeune rue et tu n'es encore qu'un petit enfant Ta mère ne t'habille que de bleu et de blanc Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n'aimez rien tant que les pompes de l'Église Il est neuf heures le gaz est baissé tout bleu

aboie vers midi Les inscriptions des enseignes et des murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J'aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l'avenue des Ternes Voilà la jeune rue et tu n'es encore qu'un petit enfant Ta mère ne t'habille que de bleu et de blanc Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n'aimez rien tant que les pompes de l'Église Il est neuf heures le gaz est baissé tout

rageuse y aboie vers midi Les inscriptions des enseignes et des murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J’aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n’aimez rien tant que les pompes de l’Église Il est neuf heures le gaz est baissé tout bleu