Jeunesse Lève Toi

Guernica de Pablo picasoo Je vais vous présenté un tableau de pablo Picasso nommé «  Guernica » une huile sur toile meusurant 349 x 777 cm Picasso est né en 1881 a malga il passe sa jeunesse en espagne en 1891son pere peintre accepte le poste d'enseignant a l'école de dessin « la corogne » picasso a ses 10 ans s'exerce au dessin alors qu'il ne sait a peine lire . En 1895 , il s'installe avec sa famille a barcelone , son pere enseigne à l'ecole tres académiquedes beau art et grace a lui picasso

désenchanter non plus. Chaque élément qui les constitue met le doigt sur tel ou tel sujet, parfois on en tire du beau, parfois non.  La religion par exemple, pour moi, n'est en rien source d'enchantement. Pour avoir été fervent croyant dans ma jeune jeunesse, je peux faire part d'une expérience tout sauf enchanteresse. Des morts qui hantent les vivants, un dieu qui vous surveille partout, jusque dans vos pensées, le remord, la culpabilité, les histoires de sacrifices, de vengeance, de fin du monde..

Titre : LE ROI DU JAZZ Descriptif physique de l’ouvrage Auteur GERBER Alain Illustrateur ROCA François Editeur Bayard jeunesse Collection Je bouquine Nombre de pages 76 ISBN 2-7470-0688-3 Forme littéraire Roman Genre littéraire Société Note de présentation Ministère : La vie d’un jazzman noir Américain au début du vingtième siècle. Elle n’est pas sans faire penser à la biographie de grands noms de la musique, la chanteuse Billie Holliday en particulier, avec moins de détails

A.DE MUSSET ,ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR. ACT III ,SCENE 3 ROSETTE VOUS ME DONNEZ VOTRE CHAINE D'OR ? PERDICAN REGARDE A PRESENT CETTE BAGUE. LEVE-TOI, ET APPROCHONS-NOUS DE CETTE FONTAINE. NOUS VOIS-TU TOUS LES DEUX, DANS LA SOURCE, APPUYES L'UN SUR L'AUTRE ? VOIS-TU TES BEAUX YEUX PRES DES MIENS, TA MAIN DANS LA MIENNE ? REGARDE TOUT CELA S'EFFACER. (IL JETTE SA BAGUE DANS L'EAU. ) REGARDE COMME NOTRE IMAGE A DISPARU ; LA VOILA QUI REVIENT PEU A PEU ; L'EAU QUI S'ETAIT TROUBLEE REPREND SON

devaient être bien coiffée et chaussée on est sur une jeune fille qui ne respecte pas les règles = rebelle « assise » (v.2) Adjectif apposé Insiste sur la façon dont est placée la jeune fille pour pouvoir ensuite mettre en lien avec le moment où elle se lève « pieds nus » Simplicité de la jeune fille + sensualité « Moi qui passais par-là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t’en venir dans les champs ?» (v.3)2 premières = propositions juxtaposées3ème = proposition coordonnée4ème = proposition

de départ et la condition du personnage principal. Le récit démarre par « Quand la caissière lui rendit », ceci annonce que l’on va entrer dans la vie quotidienne de Georges Duroy, le personnage principal au moment le plus important de sa vie. La jeunesse du personnage n’est pas racontée. Le récit commence donc « in medias res ». Plusieurs indices répartis dans l’incipit nous renseignent sur le cadre spatio-temporel de l’histoire. Les indices renvoyant à la monnaie de l’époque sont mis en valeur

SEQUENCE 2, Texte 1,Le Fou et la Vénus, Baudelaire. Quelle admirable journée! Le vaste parc se pâme sous l'oeil brûlant du soleil, comme la jeunesse sous la domination de l'Amour. L'extase universelle des choses ne s'exprime par aucun bruit ; les eaux elles-mêmes sont comme endormies. Bien différente des fêtes humaines, c'est ici une orgie silencieuse. On dirait qu'une lumière toujours croissante fait de plus en plus étinceler les objets ; que les fleurs excitées brûlent du désir de rivaliser

roi Arthur, de Michael Morpurgo Présentation Illustration Henri Galeron Une version moderne de la légende du roi Arthur Résumé : un jeune garçon décide, lors de la grande marée d’équinoxe, d’aller dans les îles du Levant. Or le brouillard se lève, l’empêchant d’avancer. Malgré l’appel d’une cloche, la mer se referme sur lui. Il se réveille chez un homme qui affirme être Arthur, celui de la légende, et qui entreprend de raconter sa vie : son enfance, Merlin, son couronnement, Guenièvre, ses

poeme inuit Dors, dors, je suis là près de pour veiller sur tes rêves Dors, dors, dans la paix de la nuit car demain l'aube se lève toujours plus loin, toujours plus loin, dans cette immense neige glacée toujours plus loin, toujours plus loin dans cette immense pays glacé Dors, dors, tu as le temps de grandir et d'avoir à chasser Dors, dors, tu as le temps de grandir et d'avoir à pêcher toujours plus loin, toujours plus loin dans cette immense forêt de givre toujours plus

révélé qu’à l’origine la tête de la Vierge était plus penchée, la main droite plus courte, et que son petit doigt n’était ni relevé, ni plié. De plus une chaîne à pendentifs ornait son front. Tous ces repentirs ont accrédité la thèse d’une œuvre de jeunesse d’un Léonard encore hésitant. On relève également sur le tableau des frottages à la main des couleurs, caractéristiques de la manière de Léonard. On le date en général à des années 1473-1475, alors que Léonard travaille toujours dans l‘atelier de Verrocchio