Johann Joachim Winckelmann

«  M. de Stendhal, officier de cavalerie » qu'il publia Rome, Naples, Florence en septembre 1817[4]. Ce nom de plume est inspiré d'une ville d'Allemagne « Stendal », lieu de naissance de l'historien d'art et archéologue renommé à l'époque Johann Joachim Winckelmann, mais surtout proche de l'endroit où Stendhal vécut en 1807-1808 un moment de grande passion avec Wilhelmine de Grisheim. Ayant ajouté un H pour germaniser encore le nom, il souhaitait que l'on prononce « Standhal »[5]. Ses romans de formation

vision plus tragique ou plus pessimiste du destin de l’humanité. Le néo-classicisme, malgré son opposition avec le romantisme, perdure dans l'art officiel de l'Espagne. Subleyras est l'annonciateur du courant néoclassique dont Mengs, peintre, et Winckelmann, théoricien, seront les deux têtes de file. Ils sont inspirés par les ruines d'Herculanum et de Pompéi. La publication de ces fouilles va marquer toute une génération d'artistes. Parlons un peu de Mengs: Anton Raphaël Mengs, né le 12 mars

d'artistes. L’apparition du concept d’histoire en histoire de l’art A. Johann Joachim Winckelmann Winckelmann incarne la naissance de l’histoire de l’art moderne. Winckelmann est fils de savetier, né en Prusse, dans le village de Stendal (Stendhal aura pris ce surnom en hommage à Winckelmann). Il étudie la théologie et la médecine à Halle puis devient bibliothécaire pour un duc à Leibniz. Très vite, Winckelmann va se montrer sceptique envers le domaine des antiquités (à cette époque on

historiens d'art de nos jours, car il offre une mine de sources biographiques des artistes de ce siècle.[2] 5) Le XVIIIe siècle, les musées L'histoire de l'art se développera au XVIIIe siècle avec l'archéologie. C'est l'allemand Johann Joachim Winckelmann qui est considéré comme le précurseur de l'histoire de l'art et de l'archéologie modernes. Né en 1717 à Stendal, en Allemagne et mort en 1768 à Triestre en Italie où il est assassiné, il fut le précurseur du néoclacissisme allemand et européen

premiers vestiges de Pompéi. Au printemps 1748, Charles III de Bourbon ordonne le commencement des premières fouilles officielles ; elles révèlent plus d’une chasse au trésor qu’un véritable travail archéologique. L’archéologue allemand, Johann Joachim Winckelmann, nous apprends grâce à ses écrits, l’existence de « la cité ensevelie » au monde entier, mais il n’en est pas moins écoeuré par les méthodes employées. Malheureusement, il fut assassiné en 1768. Néanmoins ces premières découvertes sont

traditions d'écrits et de propos sur l'art[6], comme la critique d'art, les traités d'artistes, d'antiquaires, de voyageurs, etc. C'est dans le contexte du renouvellement des questions scientifiques des XVIIIe et XIXe siècles (en particulier avec Johann Joachim Winckelmann, Karl Friedrich von Rumohr[7] et Jacob Burckhardt), que l'histoire de l'art prend forme, en parallèle au développement de l'archéologie, des bibliothèques et des musées publics en Occident (dans chaque cadre national naissant[8]), comme

de mosaïques uniques, l’Art romain a prouvé son originalité au monde, même si une grande partie des spécialistes n’est pas entièrement convaincue. Bibliographie et RÉFÉRENCES Livres «L’Histoire de L’Art dans l’Antiquité», Johann Joachim Winckelmann, Editions Livre de Poche «Panorama des Merveilles de l’Art – 5000 ans d’architecture», Lionel Jianou, Edition Fernand Nathan Sites Internet (par chapitres) I. La Sculpture http://fr.wikipedia.org/wiki/Art_romain http://fr

à Paris. Il avait été fait chevalier de la Légion d'Honneur par Guizot. Origine de son pseudonyme Ce nom de plume est inspiré d'une ville d'Allemagne « Stendhal», lieu de naissance de l'historien d'art et archéologue renommé à l'époque Johann Joachim Winckelmann, mais surtout proche de l'endroit où Stendhal vécut en 1807-1808 un moment de grande passion avec Wilhelmine de Grisheim. Ayant ajouté un H pour germaniser encore le nom, il souhaitait que l'on prononce "Standhal. Ses romans Ses romans

Dans ses Pensées sur l'imitation des Grecs dans la peinture et la sculpture, Johann Joachim Winckelmann, célèbre historien de l’art allemand, impose une idée partagée par de nombreux historiens du XIXe siècle: l’art romain n’est qu’une pâle copie de l’art grec. Les grecs ont instauré des standards révolutionnaires que la civilisation décadente romaine n’a fait que spolier. Ce courant de pensée ne fait alors que reprendre des théories anciennes formulées par Cicéron ou Pline l’Ancien. Pour ses grands

L’ART DANS LA SPHERE GERMANOPHONE AUX XVIIIE ET XIXE Le Baroque Histoire, culture, lettres, musique Architecture (Johann Bernhard Fischer d’Erlach, Johann Lukas von Hildebrandt) Sculpture, peinture, objets d’art Le Baroque tardif ou les maîtres du Rococo La dynastie des Asam Les frères Zimmermann La réaction classique Redécouverte de l’Antiquité. L’apport de Johann Joachim Winckelmann Renouvellement de l’architecture Néo-classicisme Le Romantisme Culture, philosophie, musique Architecture, sculpture