John Cage Hasard

les compositeurs de musique contemporaine, John Cage est probablement le plus connu de tous. Il nait à Los angeles et apprend rapidement le piano avec une de ses tantes. S’il réussit de brillante études secondaires, il est plus hésitant quant à la suite de son cursus. Il vient à Paris en 1930 pour commencer des études d’architecture qu’il abandonne au bout de six mois ; il étudie également la peinture tout en prenant des cours de piano avec Lazare Lévy. Cage commence à composer en voyageant à travers

4′33″ est une partition de musique avant-gardiste composée par John Cage, souvent décrite comme « quatre minutes trente-trois secondes de silence » (mais qui est en fait constituée des sons de l'environnement, que les auditeurs entendent lorsqu'elle est interprétée). Le morceau a été écrit en principe pour le piano et est structuré de trois mouvements principaux. Sur la partition, chaque mouvement est présenté au moyen de chiffres romains   (I, II & III) et est annoté TACET (« il se tait » en

Enfance / Etudes John Cage nait à Los Angeles le 5 septembre 1912. Son premier contact avec la musique se fait, enfant, par l’apprentissage du piano. Plus tard, ennuyé par un système scolaire, il part en 1930 pour l’Europe à la recherche de nouvelles expériences. De retour en Californie l’année suivante, il commence des études de composition avec Richard Buhlig et Henry Cowel, puis prend des cours particuliers avec Adolph Weiss. De 1934 à 1936 il étudie l’analyse, la composition, l’harmonie

qui existe entre les différents médiums artistiques recentrés autour de la télévision. La mise à profit des regroupements de séries culturelles est donc révélatrice de champs disciplinaires regroupés : la musique d'avant-garde L'influence de John Cage et de la musique contemporaine expérimentale comme l'influence du mouvement Dada sont inhérents à cette recherche du potentiel formel et électronique de la télévision dans les années 60. les assemblages Marqué par la volonté de mettre en évidence

compare la plage de fréquences vibratoires perçues par l’être humain avec la définition physique stricte que l’on doit prendre en considération pour les sciences, on peut affirmer que d’un point de vue physique le silence n’existe pas sur Terre. John Cage, philosophe, compositeur, poète et plasticien américain du vingtième siècle, est certainement la personne qui symbolise le mieux une recherche presque obsessionnelle de faire l’expérience du silence parfait. Son œuvre la plus célèbre est probablement

John Cage, Le zen créateur. John Cage fut l’élève de Schoenberg, il s’est illustré dans son art comme compositeur de musique contemporaine expérimentale et comme philosophe. Il créa des expérimentations musicales qui accompagnaient les représentations de Merce Cunningham Il inspira aussi le mouvement Fluxus En 1935, faute de place pour pouvoir utiliser des instruments de percussions pour les besoins d'une œuvre destinée à accompagner une chorégraphie de Syvilla Fort, Cage crée sa première pièce

de sa vie. Dès 1958, en avance sur son époque, il est le premier artiste à avoir intégré un téléviseur dans une œuvre d’art. Il participe ainsi au premier happening européen à Paris. En même temps, l’artiste coréen Nam June Paik travaille avec John Cage et commence à assembler des téléviseurs en marche. Paik et Vostell seront alors considérés comme étant les fondateurs de l’art-vidéo. Vostell travaille essentiellement sur le processus de communication et sur la perception qu’a le téléspectateur

4'33'' après J.C. Quel héritage pour John Cage dans la création musicale d'aujourd'hui, dans le spectacle vivant, les arts plastiques et l'esthétique ? Une rencontre et un concert autour de l'oeuvre emblématique de l'artiste américain : 4'33''. [pic]Rencontre Cage « 4'33" : portrait chinois » John Cage, le pionnier des sons complexes et du piano préparé, « l'inventeur de génie » selon son maître Schoenberg, l'instigateur du happening, de la non-intentionnalité, du non-vouloir et de l'aléa

expérimental ''Vexations'' qui sera interpréter pour la première fois par John Cage. Cette composition est formée d'un motif musical répété 840 fois de suite ce qui donne une composition total atteignant les 20 heures toujours avec un motifs répéter en boucle ! La musique occidental sera une grande source d'inspiration au milieu du 20ème siècle, notamment la musique indienne et africaine basé sur de tempo et des mélodies répétitives. Cage composa de nombreuses pièces pour piano préparé dont les ''Sonates

gélatino-argentique, 8,4 x 5,3 cm Dation 1994 - AM 1994-394(3792) Photo Bertrand Prévost © Man Ray Trust/ Adagp, Paris Le Discours sur rien tient à la fois du retour réflexif propre à la tradition discursive d’Occident et de la distanciation Zen à laquelle John Cage fait régulièrement référence à partir de la fin des années 1940.[10] La distanciation amusée de l’artiste vis-à-vis de la discipline qu’il exerce comme de sa propre production est un aspect constant de son œuvre. L’apparente légèreté qui en découle