John Coltrane

«A Love Supreme» a été enregistré en 1964, Coltrane était entouré de McCoy Tyner au piano, Elvin Jones à la batterie et Jimmy Garrison à la contrebasse. Il est l’album le plus vendu du saxophoniste. Les albums qu’il avait publiés précédemment chez Impulse se vedaient assez bien, environ trente mille exemplaires par album, ce qui est plûtot pas mal selon ls normes propres au Jazz. «A Love Supreme» s’était vendu à un demi-million d’exemplaires en 1970, c’est dire le succès incroyable qu’a rencontré

sein desquels se sont révélés les talents de nouvelles générations et les nouveaux horizons de la musique moderne ; notamment Sonny Rollins, Julian « Cannonball » Adderley, Bill Evans et John Coltrane durant les années 1950. De 1960 aux années 1980 ses sidemen se nomment Herbie Hancock, Wayne Shorter, Chick Corea, John McLaughlin, Keith Jarrett, Tony Williams, Joe Zawinul, Dave Liebman et Kenny Garrett ; c'est avec eux qu'il s'oriente vers la « fusion » du rock et du jazz, dont il reste l'un des pionniers

du peuple, le saxophone est immédiatement adopté par d’excellents jazzmen tels Sydney Bechet (1897-1959), Coleman Hawkins (1904-1969) et Lester Young (1909-1959). Ensuite arriveront Charlie Parker (1920-1955), Cannonball Adderley (1928-1975), John Coltrane (1926-1967), Sonny Rollins (1930-), Wayne Shorter (1933-), Michael Brecker (1949-) et d’autres. c) Le saxophone « classique » Entre-temps, Marcel Mule et Sigurd Rascher, chacun de leur côté, font du saxophone un instrument qui n’a rien

retour à un jazz plus musclé. Musiciens :Art Blakey (1919-1990) Sonny Rollins (1930- ) John Coltrane (1926-1967) * Le Free Jazz (À partir des années 60)* Souvent lié à des revendications anti raciales des années 60 (cf. black Panters), il réclame la suppression de toute contrainte rythmique et harmonique, c'est l'improvisation absolue. Musiciens : Ornette Coleman (1930- ) John Coltrane (1926-1967) Pharoah Sanders Cecil Taylor * Le Jazz Rock ou Jazz Fusion (À partir de 1970)*

d'années plus tard, pour que l'engagement politique des musiciens deviennent plus fort, que le jazz se «radicalise» avec l'émergence d'un courant totalement «free», symbole de la lutte pour la liberté. Le free-jazz À la fin des années 1950, John Coltrane et Ornette Coleman impulsent une nouvelle évolution qui ouvre la voie au Free jazz, illustré par Archie Shepp, Albert Ayler, Pharoah Sanders, L'Art Ensemble of Chicago et de nombreux autres. Le free jazz se démarque par rapport à la plupart des

esclaves chantés des worksongs. Worksongs : chant de travaille cappella Le rythme des chants de travaille aide a synchronisé leur mouvement. Les paroles ne sont pas fixées mais peuvent être adaptées selon l’improvisation. Audition: « lightning long john » (worksongs) Réponse entre un soliste et un groupe. Rythmé par les coups de pioche. Les blancs interdisez les instruments de musique et les chants africains. Il n’avait donc accès a la musique populaire. L’accompagnement des chants été généralement

découvert par Dizzy Gillespie en 1946 qui lui offre une place dans son sextet. Milt acquiert rapidement une solide expérience en jouant avec les plus grandes figures du jazz de l'époque : John Coltrane, Woody Herman, Howard McGhee, Thelonious Monk, et Charlie Parker. Dans le Big band de Gillespie, il joue en quartet avec John Lewis, Percy Heath, et Kenny Clarke quand la section cuivre prend des pauses. Ce groupe deviendra le Modern Jazz Quartet (MJQ) qui suivra une belle et longue carrière indépendante de

desquels se sont révélés les talents de nouvelles générations et les nouveaux horizons de la musique moderne ; notamment Sonny Rollins, Julian « Cannonball » Adderley, Bill Evans et John Coltrane durant les années 1950. De 1960 aux années 1980 ses Sidemen se nomment Herbie Hancock, Wayne Shorter, George Coleman, Chick Corea, John McLaughlin, Keith Jarrett, Tony Williams, Joe Zawinul, Dave Liebman et Kenny Garett ; c'est avec eux qu'il s'oriente vers la «fusion» du rock et du jazz, dont il reste l'un des

fondamentaux de la musique noire : l’énergie, le son brut, l’improvisation . C’est le jazz "libre".Le saxophoniste Ornette Coleman (1930) en fut le précurseur. D’autres musiciens ont contribué à l’essor du free-jazz : le saxophoniste-ténor John Coltrane (1926-1967), le pianiste Bill Evans (1929-1980) qui proposa une nouvelle approche du piano-jazz. Après 1960, le jazz connaît d’autres courants issus de fusions avec d’autres styles et influencés par de nouvelles techniques : le Jazz-Rock, le

Messengers) Free Jazz 1960-1970 • Nouvelle révolution associée à une révolte de la communauté noire Abandon de toutes les structures conventionnelles • John Coltrane (saxophone ténor) Charlie Mingus (contrebasse) • Oleo par Sonny Rollins Jazz rock 1970-1980 • Réaction commerciale devant l’impasse qu’était la free music Le jazz fleurte avec le rock • John McLaughlin (guitare) Chick Corea (piano) • Street smart par Eddie Gomez Le jazz en 1998 une musique universelle • Maintien des divers styles précédents