John Fitzgerald Kennedy

Commentaire sur le discours de J.F Kennedy à Berlin-Ouest le 26 Juin 1963 Le discours étudié du président américain démocrate John Fitzgerald Kennedy a été prononcé, le 26 Juin 1963, lors de sa visite officielle dans la partie Ouest de Berlin. Elu en 1960, il a impulsé au sein des Etats-Unis une dynamique nouvelle au sujet des tensions du monde bipolaire. D'une part, dans la nuit du 12 au 13 août 1961, l'URSS décide de construire un mur qui aura pour vocation de séparer les quartiers Est, des

John Fitzgerald Kennedy est le trente-cinquième président des Etats-Unis. Elu en 1960, il ne restera que trois ans à la tête du pays car il sera assassiné en 1963 au cours de son mandat. Cet homme a marqué le vingtième siècle en faisant preuve d'énergie, de charisme et de style en prônant une coexistence pacifique au cœur de la guerre froide, en s’efforçant de relancer l’économie et en se battant contre la ségrégation raciale. Dans sa citation : « Les gens voient les choses et disent pourquoi

président américain John Fitzgerald Kennedy prononce lors de son voyage à Berlin-Ouest. Ce discours, prononcé depuis le balcon de l’hôtel de ville en juin 1963 (soit moins de deux ans après la construction du mur) dénonce vivement la construction de ce mur. • Deux raisons expliquent la construction du mur. La première est évoquée dès le début du discours de Kennedy : « nous n’avons jamais eu besoin d’ériger un mur pour empêcher notre peuple de s’enfuir ». Par cette phrase, Kennedy sous-entend qu’une

érigé à Berlin un des symboles de la Guerre Froide : le Mur de Berlin. Les soviétiques construisent un mur pour éviter la fuite des Allemands de l’est (fuyant la dictature communiste) vers l’ouest. Le 26 juin 1963, le président américain John Fitzgerald Kennedy prononce un discours à Berlin-Ouest dans lequel il déclare "Ich bin ein Berliner" : "je suis un Berlinois". Le président américain entend par cette phrase choc faire savoir aux habitants de l'Ouest de Berlin que l'ensemble de l'Occident, appelé

I. Un parcours de vie qui rejoint les attentes des Etats-Unis. John Fitzgerald Kennedy, Martin Luther King, Franklin Delano Roosevelt, président, noir, jeune, brillant, melting-pot, audacieux, esprit pionnier, chrétien, Kenyan, musulman et prix Nobel de la paix sont des personnages et des mots qui pourraient définir Barack Obama et expliquer pourquoi il s’est placé au rang de mythe pour les Etats-Unis . (Événement de campagne à Chicago, 14 avril 2011, (source : www.facebook.com/barackobama))

Debré de rédiger une nouvelle Constitution. C'est le début de la Ve République. La guerre du Biafra (1967-1970), guerre au Mozambique, en Angola, en République démocratique du Congo, au Liberia La crise des missiles de Cuba (1962) L'assassinat de John F. Kennedy (1963) La guerre du Viêt Nam (1964-1975) Grèce, Dictature des colonels (1967-1973) La révolution verte avec l'accroissement des ressources agricoles et le recul de famine La croissance économique. Miracle économique allemand Miracle économique

créée aux États-Unis en faveur des descendants d'esclaves mais aussi pour tous les citoyens discriminés a cause de leur sexe ou de leur origine ethnique. De nos jours, certains cherchent à l'étendre en Europe. C'est le président américain John Fitzgerald Kennedy qui décida de mettre en place la discrimination positive, qu'il appellera aussi l'affirmative action. Cette expression fut ensuite reprise par son successeur à la Maison Blanche : Lyndon Johnson. Leur idée était que, malgré les lois en faveur

Arkansas ou il abolira la ségrégation dans les écoles de Little Rock. En 1961, John Fitzgerald Kennedy s'installe à la Maison Blanche, ce président fût beaucoup apprécié par le personnel de la Maison Blanche pour son combat contre la discrimination par exemple , il instaurera un décret consistant à lutter contre les discriminations à l'embauche , et en 1963, il imposera la déségrégation dans les écoles. Lors de la mort de Kennedy, Cecil apparaît anéanti, il ne comprend pas que l'on puisse tué quelqu'un

l'URSS jusqu'à sa mort. La victoire de l'URSS aux côtés des Alliés contre l'Allemagne nazie renforce le prestige de Staline. Après 1945, il impose le régime communiste dans les pays d'Europe centrale et orientale. Kennedy Trente-cinquième président des Etats-Unis, John Fitzgerald Kennedy est resté à la tête du pays à peine trois ans. Prônant une coexistence pacifique au cœur de la Guerre froide, il a su faire face à la crise avec agilité. Malgré sa courte présidence, il laisse derrière lui l’image

de l’ironie, par des codes vestimentaires qui permettent d’appuyer le discours et de le rendre, parfois, plus crédible. Le lieu choisi permet également d’accentuer le discours, de lui donner de la puissance ou pas. Par exemple, lorsque John Fitzgerald Kennedy, président des Etat-Unis, a prononcé la phrase « Ich bin ein Berliner » (= Je suis un Berlinois), il a tout fait pour que cette phrase prenne de l’importance. Tout d’abord, pour la dire, il s’est rendu directement à Berlin-Ouest depuis le