Johnny Stecchino

Olvidados (Pitié pour eux) • 1970 : Tristana Scénarios : • 1928 : La Chute de la maison Usher de Jean Epstein • 1935 : Don Quintín el amargao de Luis Marquina • 1950 : Si usted no puede, yo sí de Julian Soler • 1971 : Johnny got his gun (Johnny s'en va-t-en guerre) de Dalton Trumbo (non crédité) • 1972 : Le Moine de Adonis Kyrou

une expérience américaine dans "Down by Law" sous la direction de Jim Jarmusch, il revient à la réalisation avec "Le Petit Diable", puis "Johnny Stecchino" et "Le monstre" , trois films dont il est également scénariste et interprète. Il remportera le Prix David Di Donatello 1988 du meilleur acteur pour "Le petit Diable" en 1991 et ce même prix pour "Johnny Stecchino". En 1997, Roberto Benigni connaît un triomphe international avec "La vie est belle" qui devient le plus gros succès de toute l'histoire

2003 : Pinocchio, de Roberto Benigni 1999 : Astérix et Obélix contre César, de Claude Zidi L 1998 : La Vie est belle, de Roberto Benigni 1995 : Le Monstre , de Roberto Benigni 1993 : Le Fils de la panthère rose , de Blake Edwards 1991 : Johnny Stecchino, de Roberto Benigni 1990 : Night on Earth, de Jim Jarmusch Gino, 1990 : La Voce della luna, de Federico Fellini 1988 : Le Petit Diable , de Roberto Benigni 1986 : Down by Law , de Jim Jarmusch 1986 : Coffee and cigarettes I, de Jim Jarmusch

pour nous faire comprendre ce que c'est que la liberté et la vie". Son film y est parvenu, magistralement. La plupart de ses films réalisés par lui-même sont des comédies. Par exemple Le Monstre, réalisé en 1994 qui met en scène un quiproquo, Johnny Stecchino réalisé en 1991, Le Petit Diable en 1988. Or La vie est belle traite d'un sujet dramatique où l'humour n'est qu'un outil pour « masquer » l'atroce réalité

Braschi (que l'on retrouvera dans l'ensemble de ses œuvres). 1997 : consécration internationale avec « La Vie est Belle ». Quelques œuvres de Roberto BENIGNI : 1977 : Berlinger ti voglio bene 1983 : Tu mi turbi 1988 : Le petit diable 1991 : Johnny Stecchino 1995 : Le Monstre 1997 : La Vie est Belle 2002 : Pinocchio Autres œuvres sur le même thème : Beaucoup de films ont relaté plusieurs périodes de la 2nde guerre mondiale mais de façons différentes. J'en ai choisi certains sortis avant et après

Cinématon n°801 de Gérard Courant 1986 : Down by Law de Jim Jarmusch : Roberto 1988 : Le Petit Diable (Il Piccolo Diavolo) : Giuditta - aussi scénariste et réalisateur 1990 : La Voce della luna de Federico Fellini : Ivo Salvini 1991 : Johnny Stecchino : Johnny Stecchin / Dante - aussi scénariste et réalisateur 1991 : Night on Earth de Jim Jarmusch : chauffeur (Rome) 1993 : Le Fils de la panthère rose (Son of the Pink Panther) de Blake Edwards : Jacques Clouseau Jr. 1994 : Le Monstre (Il Mostro)

à l'Académie d'art dramatique de Rome avant de faire ses débuts au cinéma dans Tu mi turbi de Roberto Benigni. Elle deviendra son épouse huit ans plus tard. Elle tourne ensuite dans la plupart des films de son mari comme Le Petit Diable, Johnny Stecchino, Le Monstre et La vie est belle. Giorgio Cantarini : Giorgio Cantarini est né le 12 avril 1992 en Ombrie, c’est un acteur italien. Il a fait ses débuts à l'âge de 5 ans dans le film La Vie est belle, dans lequel il joue le rôle de

l'histoire des juifs et pour ceux qui veulent découvrir les conditions de cette guerre et les camps de concentrations, il est idéal pour tous... La filmographie du réalisateur 1983 : Tu mi Turbi 1988 : Le Petit Diable (Il Piccolo Diavolo) 1991 : Johnny Stecchino 1994 : Le Monstre (Il Mostro) 1997 : La vie est belle (La vita è bella) 2002 : Pinocchio 2005 : Le Tigre et la Neige Nos sources http://www.cinemapassion.com http://www.allociné.fr http://fr.wikipedia.org/ http://www.bacfilms.com/site/vita/

peu maladroits, Le Petit Diable est une grande réussite en Italie, mais bénéficie d'une (discrète) distribution internationale. La grandeur comique du comédien Benigni ne peut masquer les failles du metteur en scène. Ses deux films suivants, Johnny Stecchino, intéressant par certains aspects, et Le Monstre, véritable avalanche de vulgarités, pouvaient faire douter le plus généreux de ses admirateurs. Mais l'homme qui affirme " Plutôt que le Groucho Marx italien, je préférerais être l'Anna Magnani