José-Maria de Heredia

totale. Sur l’acte de décès figure la mention « né à Sotteville, près d’Yvetot », ce qui ouvre la polémique sur son lieu de naissance. Il est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris (26e division). En 1891, Guy de Maupassant avait confié à José Maria de Heredia : « Je suis entré dans la littérature comme un météore, j’en sortirai comme un coup de foudre ».

réagissent contre le romantisme. Le mot parnasse "assemblée de poètes" vient de l'antiquité grecque : le mont parnasse abritait les 9 muses et Apollon. Ce mouvement se prolonge dans le Symbolisme. Écrivains : Théophile Gautier, Leconte de Lisle, José-Maria de Heredia. Symbolisme (1870-1890) Le Symbolisme est né dans le prolongement de la poésie de Baudelaire et en réaction contre le naturalisme et au mouvement parnassien vers 1870. Le principe est la subjectivité de la connaissance, suggérer plutôt que

romantisme. Le mot parnasse "assemblée de poètes" vient de l'antiquité grecque : le mont parnasse abritait les 9 muses et Apollon. Ce mouvement se prolonge dans le Symbolisme. * Écrivains représentatifs : Théophile Gautier, Leconte de Lisle, José-Maria de Heredia. Symbolisme - (1870-1890) École poétique née dans le prolongement de la poésie de Baudelaire et en réaction contre le naturalisme vers 1870. Le principe est la subjectivité de la connaissance, suggérer plutôt que nommer, décrire ou raconter

en l'incitant à agir. ************* Enfin, certains poèmes ne servent ni a l'expression des sentiments du poète, ni à « éclairer » le lecteur. Certains poètes du XIXe siècle comme Théodore de Banville, Leconte de Lisle ou José-Maria de Heredia se regroupent autour d'un mouvement poétique, le parnasse, crée en réaction devant les excès sentimentaux des romantiques, qui mettent en avant l'expression des émotions aux dépens de la forme du poème. Les Parnassiens préconisent donc l'impersonnalité

paroles sublimes ; 
Dans sa flamme implacable absorbe-toi sans fin ; 
Et retourne à pas lents vers les cités infimes, 
Le coeur trempé sept fois dans le Néant divin. Soleil couchant (José María de Heredia) Les ajoncs éclatants, parure du granit, 
Dorent l'âpre sommet que le couchant allume ; 
Au loin, brillante encor par sa barre d'écume, 
La mer sans fin commence où la terre finit. 

A mes pieds c'est la nuit, le silence. Le nid 
Se

piliers (cf le temple de Correspondances) motifs classiques empruntés à l’architecture grecque quelque peu à la manière théâtrale de Claude Gelée, Vernet ou même d’Hubert Robert, proche des paysages évoqués par le poète de L’Art pour l’Art José Maria de Héredia dans ses Trophées, que Baudelaire a tant admiré. Le mot mystique suggère que la beauté a un sens transcendant, religieux. D’ailleurs tout le poème es t traversé par le thème du mysticisme : vocabulaire piliers, images des cieux, mystique, azur

froide, sans sentiments – ce qui est impt = virtuosité technique, formes très contraignantes ( sonnet ) - formalisme rigoureux cf titre d'un recueil de Théophile de Gautier Emaux et camées ( idée d'un objet ciselé, d'un travail minutieux ) José-Maria de Heredia Les trophées «  soir de bataille » = sonnet parfaitement régulier (alexandrin – alternance rimes masculines et féminines ) construction d'une véritable ekphrasis – caract très picturales ex jeux de lumières et de couleurs ( imptce de la couleur

Stendhal (Le Rouge et le Noir 1830) ; Flaubert (Madame Bovary, 1857) ;Maupassant (Une vie,1883) Leconte de Lisle (Poèmes antiques, 1852) ;Théophile Gautier (Emaux et Camées,1852). Théodore de Banville (Odes funambulesques,1857), José Maria de Heredia (Les Trophées 1893) Zola (Les Rougon-Macquart (1871 – 1893) ; Goncourt (Germinie Lacerteux, 1865)

tempête et se rit de l’archer1 ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher José maria de Heredia (1842-1905) Poète parnassien Les trophées (1893) w « Seule la beauté est la récompense, l’authentique trophée de celui qui exalte l’amour de la poésie pure et du pur langage français »,selon les propres termes de jose maria de Heredia , pour reprendre le flambeau parnassien de ses maîtres Gautier et Leconte de Lisle. Comme une nouvelle « légende des

croisière à bord de Bel-Ami II[51]. Un mois plus tard en août 1890, Guy de Maupassant commence L'Âme étrangère, qu'il ne finira jamais. Le 23 novembre 1890 il se rend à Rouen pour l'inauguration du monument Flaubert, aux côtés d'Émile Zola,José-Maria de Heredia et Edmond de Goncourt ; le soir Goncourt note dans sonJournal : « ... Je suis frappé, ce matin, de la mauvaise mine de Maupassant, du décharnement de sa figure, de son teint briqueté, du caractère marqué, ainsi qu'on dit au théâtre, qu'a pris