José Ortega y Gasset

JOSE ORTEGA Y GASSET 1.- INTRODUCCIÓN. José Ortega y Gasset nació en Madrid, el día 9 de mayo de 1883, en el seno de una familia perteneciente a la burguesía liberal e ilustrada de finales del siglo XIX. La familia de su madre era propietaria del periódico madrileño El Imparcial y su padre, don José Ortega y Munilla, fue periodista y director de dicho diario. En 1891 el joven Ortega es enviado a estudiar el bachillerato al colegio de los jesuitas de Málaga. El que Ortega recibiese su formación

  nationalisme : 7 citations contenant le mot nationalisme   "Le nationalisme, c'est un patriotisme qui a perdu sa noblesse." Albert Schweitzer "Le nationalisme est toujours une impulsion opposée au principe même de nation." José Ortega y Gasset "Le nationalisme est une maladie infantile. C'est la rougeole de l'humanité." Albert Einstein "Le nationalisme moderne est une réaction de défense contre l'emprise brutale de la civilisation." Franz Kafka "Le nationalisme

le lecteur et peut-être de changer sa vision du monde. Viriginia Woolf a développé des théories sur le personnage romanesque. I/ Deux conceptions du personnage dans les années 20 a/ José Ortega y Gasset Dans les années 20, le changement du roman a lieu aussi en Espagne, notamment avec José Ortaga y Gasset, écrivain, philosophe, sociologue. Il s'intéresse à la question de l'art et parfis du roman. Dans La Déshumanisation de l'art (essai) il s'intéresse à l'art nouveau et aux conséquences

talento del entonces pianista en favor de la poesía; así, en 1917 escribió su primer artículo sobre José Zorrilla, en su aniversario. La España de García Lorca era la de la Edad de Plata, heredera de la Generación del 98, con una rica vida intelectual donde los nombres de Francisco Giner de los Ríos, Benito Pérez Galdós, Miguel de Unamuno y, poco después, Salvador de Madariaga y José Ortega y Gasset imprimían el sello distintivo de una crítica contra la realidad de España. Influyeron, además, en

produit automatiquement dans le public un curieux effet sociologique. Elle le divise en deux parties : l’une, minime, formée par un nombre réduit de personnes qui lui sont favorables ; l’autre, majoritaire, innombrable, qui lui est hostile. » José Ortega y Gasset (1883-1955 ) Le japonisme Le terme « Japonisme » désigne les courants artistiques de la fin du XIXe, inspiré par les estampes, motifs et objets d’art japonais. L’influence japonaise remarquable au niveau des formats des tableaux utilisés

celle qui proclamait la décadence irréversible des nations latines (Joaquín Costa, Miguel de Unamuno ou Torras i Bages) et celle qui croyait en une renaissance possible grâce à un nationalisme plus ouvert et plus cosmopolite (Eugenio d’Ors, José Ortega y Gasset ou Manuel Azaña). Le programme culturel noucentiste exposé par Eugenio d’Ors reposait en partie sur une vision idéalisée du Mare Nostrum, sorte de quintessence de l’esprit classique gréco-latin, qui devait imprégner le monde civil, artistique

UNrvERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL PHILOSOPHIE MORALE ET PENSÉE POLITIQUE CHEZ ORTEGA Y GASSET: À PROPOS DE LA DIALECTIQUE ÉLITE-MASSE MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTŒLLE DE LA MAÎTRISE EN PHILOSOPHIE PAR ALAIN LAROCHE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL DÉCEMBRE 2006 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de reproduire et de diffuser

explore les problèmes de la bibliographie. Elle expose également sa conception des catalogues collectifs, qui sont pour elle des organes de liaison entre toutes les bibliothèques du monde. Louise-Noëlle Malclès est fortement influencée par Don José Ortega y Gasset, qui considère que l'homme du XXe siècle a de plus en plus de mal à s'orienter dans la masse d'informations contenues dans un ensemble de livres, et voit la mission du bibliothécaire comme « un filtre interposé entre l'homme et le torrent des

Citations :Vladimir Jankélévitch : « Ce n’est pas le haïssable qui explique la haine mais la haine qui a priori rend les choses haïssables et redouble ensuite à la vue de cet odieux qu’elle a fabriqué ». José Ortega y Gasset : «Haïr, c'est tuer virtuellement, détruire en intention, supprimer le droit de vivre »José Ortega y Gasset : « Haïr quelqu'un, c'est ressentir de l'irritation du seul fait de son existence, c'est vouloir sa disparition radicale ». Spinoza: « la haine n’est autre qu’une tristesse qu’accompagne

irréversible et est ontologiquement forcé d’avancer toujours sur soi-même, non parce que tel instant du temps ne peut revenir, mais au contraire : le temps ne revient pas parce que l’homme ne peut revenir en arrière, être de nouveau ce qu’il a été » (José Ortega y Gasset, L’histoire comme système, VIII). La vie humaine est un gérondif et non pas un participe, un faciendum et non un factum, un « se faisant » et non un « fait »… La dimension temporelle de l’humanité n’est pas le passé, mais le futur