Joséphine Baker

CP CE1 Séquence 1 – Le corps Du Picasso au modelage Tête de femme, Pablo Picasso, 1957 Du dessin à la sculpture L’hôtesse et Joséphine Baker Alexander Calder, 1928 1928 , Picasso est un peintre espagnol très connu. Il a fait beaucoup de dessins et de peintures où il représentait un visage comme personne ne l’avait jamais fait auparavant : on y voit en même temps le visage de face mais aussi le visage de profil, ce qui donne cet aspect étrange. Il a ensuite inventé un nouveau style de

la Revue Nègre a été réalisée en 1925 par Paul Colin, artiste art déco, sur une demande d’Andrés Daven, directeur artistique du théâtre des Champs Elysées. C’est durant la première répétition de la troupe à Paris que Paul colin a pu rencontrer Joséphine Baker et s’inspirer pour l’élaboration de l’affiche. On raconte que le personnage féminin de l’affiche aurait été imaginé par Miguel Covarrubias, à qui Caroline Dudley avait au départ confié la réalisation de l’affiche et des décors du spectacle, mais

photographies en compagnie de son bouledogue français appelé Peter. Le bouledogue français fut également la coqueluche de Mistinguett, Colette et Yves Saint-Laurent. La race connut un succès fracassant jusqu'aux États-Unis où des personnalités comme Joséphine Baker s'entichèrent de leur petit animal. Avec les difficultés et les affres des guerres mondiales, beaucoup d'éleveurs de chien abandonnèrent leur élevage, si bien que cette race a progressivement perdu sa notoriété. On remarque cependant à partir

logement où sont placées les étrangères et l'trottoir car beaucoup d'immigrées lorsqu'elle ne trouve pas de travail ou comment se faire de l'argent , elles finissent souvent dans la prostitution. - Des bananes autour d'la taille en référence à Joséphine Baker qui est une meneuse de revue afro américaine qui a fait le buzz dans son show en portant une ceinture de banane autour de sa taille. - Ni complètement français , ni étrangers , des genres de prototypes. - C'est foutu , plus l'droit d'taffer

voyage dans le temps et se retrouve dans les années folles, l'époque dans laquelle il aurait adoré vivre, il rencontre dans les premières nuits dans lesquelles il est là énormément de célébrité, comme Picasso, F.Scott Fitzgerald, Ernest Hemingway, Josephine Baker et Gertrude Stein, qui va jeter un coup d'oeuil sur le livre que Gil est en train d'écrire. On peut parafaitement voir dans ce film, combien il y avait d'artistes, qui deviendront célèbres après, à cette époque, qui se rassemblaient à Paris.

non pas hirsute, elle véhicule une harmonie, une musique d’ordre, de calme et de volupté. Le rythme est abandonné, apprêt d’une écriture nue, de cette nudité qui n’est pas une concession, mais une communion ardente. Une formule, attachée à Joséphine Baker m’a fortement marqué : « son immobilité profonde et l’immobilité générale de tout son corps. » Cette formule paraît fort bien rendre compte de l’écriture elle-même, car derrière sa fluidité, son écoulement prolifère, elle recèle une intensité

Joséphine BAKERPour commencer, Joséphine Baker, du vrai nom Freda Joséphine McDonald, est né le 3 juin à Saint-Louis, ville appartenant à l’Etat de Missouri localisé en Etats-Unis. Elle est décédée le 12 avril 1975 à Paris et fut enterrée au Panthéon (signe de reconnaissance et d’importance). Elle est d’origine espagnole, afro-américaine et amérindienne. Cette dernière occupait comme métier chanteuse, actrice, meneuse de revue et fut une résistante française durant la Seconde Guerre mondiale. Elle

de la population : une femme d’âge mur, un jeune homme et une jeune fille. Cette campagne sera affichée dans les métro, sur les bus et dans la rue. L'engagement humanitaire des vedettes n'est pas récent. En 1940, la chanteuse et danseuse Joséphine Baker s'engageait déjà aux côtés de la Croix-Rouge. Désormais, toutes les organisations d'envergure internationale comptent au moins une célébrité parmi leurs "ambassadeurs", "porte-paroles" ou autres "parrains". Des acteurs hollywoodiens ont fondé

nord-américaine sur la vieille Europe. Paris devint, pour certains, le centre des plaisirs et d'une vie au luxe ostentatoire, où le goût de l'excentricité se conjugua avec celui de la nouveauté, qui fit le succès du jazz et du charleston, de Joséphine Baker et de sa Revue nègre, comme celui de la "croisière noire", lancée en Afrique par André Citroën. Limitée surtout, en fait, à une élite fortunée, cette période d'exubérance vestimentaire — et parfois sexuelle —, dont le peintre Van Dongen ou le Paul

lorsqu'il dit « comme une tribu des premiers âges. Chacun croyait retrouver un chant qui remontait de l'aube. » et ça n'est pas sans rappeler le fait que le jazz est arrivé en France dans les années 20 et fut connu par La revue nègre et notamment Joséphine Baker qui dansait en pagne de bananes et aussi les affiches de concert représentaient souvent des noirs dans le stéréotype de l'africain cannibale, primitif venant de tribus lointaines. De plus, le narrateur ajoute un côté rythmé à sa description de