Joual

mont-royal et l’endroit ou il a grandi est le lieu de prédilection pour l’histoire de ses livres. Monsieur Tremblay c’est toujours basé sur ses racines dans son écriture. Ce qui la vraiment rendu populaire a été d’être un des premiers qui a osé écrire en jouale dans la pièce de théâtre des Belles Sœurs. Michel a su qu’il allait écrire différemment depuis qu’il est tout jeune. Le premier livre qu’il a lu se nommait L’auberge de l’Ange Gardien et dans ce livre, les garçons parlaient drôlement bien pour des

une variété non identique aux autres et l’esprit et la façon d’aborder les questions changent. Lors les conférences et les débats de Biennale, les linguistiques québécois et les intellectuels confirment ce fait. Le français québécois est nommé le joual. La réaction au jouai mépris se traduit par une valorisation de soi et le jouai mépris devient fierté, utilisé par certains écrivains. 3. Histoire de la scolarisation Jusqu’en 1960, la population québécoise est sous scolarisée. L’Etat essaie de

marginalité Ecrite en 1965 et joué en 1968, les Belles-Sœurs constitue aux yeux de bien des spécialistes le point de départ du nouveau théâtre québécois. Cette pièce suscitera une forte polémique puisqu’on la considère comme la première écrite en joual. L’œuvre de Michel Tremblay explore le monde de la marginalité : qu’elle soit sexuelle, raciale, culturelle, l’oppression conditionne l’individu, le place en état de survie, le prive d’une existence pleine, l’aliène, le prive de la reconnaissance.

J’démolis la maison ou ben j’y mets le feu, j’égorge ton père, j’fais même pire que ça… » (l. 27-29) De son côté, la révolte de Léopold s’exprime par le contraire du silence, par ce cri de désespoir que constitue le « sacre ». Chez Tremblay, le « joual » est associé à la fois à l’aliénation et à l’expression du désir de se libérer. Le monologue de Léopold est le plus parfait exemple de ce besoin d’exprimer sa détresse poussé à sa limite : « Hostie ! toute ta tabarnac de vie à faire la même tabarnac

juger une personne sur sa façon de parler semble déraisonnable, puisque qu’il faudrait simplement mettre un bon tailleur sur le dos d’une femme pauvre pour qu’elle devienne instantanément une banquière. Finalement, certain individu n’utilise que le jouale pour parler dans certaines circonstances, puisque dans d’autre, ils savent prendre la peine de parler correctement. Dans diverse situation, ils sont capable d’adapter leur langage, comme par exemple, si nous enregistrerions des propos dans un super

La zone de Marcel Dubé La zone a été écrite dans les années début 60. Marcel Dubé la écrite lors du festival dramatique de l'ouest du Québec. Elle se situe selon moi dans le répertoire québécois, mais sans avoir été écrite en joual avec un parfait français. Les personnages Une gang de cinq jeunes âgés de 16 à 21. Le leadeur de la bande est tarzan qui est aussi le plus vieux. Moineau qui a 20 ans est un musicien qui joue de la musique à bouche. Passe-partout est le plus extravagant mais n'ose

doivent tous se doucher dans la même eau crasseuse du bain. Une des fenêtres de la maison est cassée et elle sera remplacée par un carton; l’eau s’infiltre et il fait froid.  2e aspect choisi : le style • À l’instar de Michel Tremblay avec le joual et ses Belles-sœurs, l’auteur de Pour en finir avec Eddy Bellegueule superpose deux niveaux de langage qui donnent sa force et sa vérité au récit. Édouard Louis réussit une belle prouesse en imbriquant deux registres de langue : l’un littéraire, le

les autres variétés géographiques de français. De plus, il ne faut pas confondre le français acadien et le chiac, qui est utilisé par Radio Radio dans ses chansons. Le chiac est un particularisme propre à l’Acadie comme le joual l’est pour le Québec. Le chiac, tout comme le joual, correspond à une variété moins valorisée du français, puisqu’il est souvent associé au registre familier et à un niveau de scolarisation moins élevé. Cependant, le chiac n’est pas nécessairement associé à un niveau de scolarisation

profondeur des émotions plutôt que la qualité des décors. Le décor de vielle maison anglaise intensifie grandement l’ambiance général qui est ressentie dans la pièce. L’adaptation de cette pièce Anglaise parler dans langage québécois commun qui frôle le joual se ressent dès les premières minutes et cela a pour effet de personnifier la pièce de façon à ce que l’auditoire se sente concerné par le développement de l’histoire. Des thèmes comme le sexe, l’autisme, le suicide, l’homosexualité, l’amour et la

quelques minutes de jeu. Le niveau de langue présent dans cette pièce varie d'un personnage à l'autre. Il passe de populaire à familier, des adolescents au adultes. Le niveau de langue est populaire pour le personnage de Lee. On peut le voir à travers le joual qu'il emploie mais aussi grâce aux anglicismes qui se retrouve ici et là. Par exemple, lorsque Lee parle de faire du "Gros cash sale". Ici on peut remarquer cette expression purement québécoise avec un touche d'anglicisme. Cependant, les autres personnage