Journalisme citoyen

CODETTA Stéphane DUPRECA 30/01/09 Culture Générale Sur la télévision suivi de l’article : L’emprise du journalisme par Pierre Bourdieu Biographie rapide de l’auteur : Pierre Bourdieu est un intellectuel français né à Denguin le 1er août 1930 et décédé à Paris le 23 janvier 2002 à l’âge de 71 ans. Il est célèbre pour son activité de sociologue et pour avoir fondé la revue Actes de la recherche en sciences sociales. Assistant à la faculté d’Alger, il devient par la suite

télévision thématique, elle complète la télévision généraliste. Troisième partie : Communication et démocratie Pour l’auteur, la communication est indispensable à la démocratie. En effet, elle permet d’informer et de guider les citoyens. Elle conditionne mieux les rapports de forces sans pour autant les supprimer. Le triangle infernal est un autre point abordé dans ce chapitre. Les trois points du triangle sont les hommes politiques, les journalistes et l’opinion publique. Or avec

de la mondialisation. Qui pose, aussi bien aux Etats qu’aux citoyens, des problèmes d’un nouveau type. Stratégies pour le cybermonde Joël de Rosnay Bataille mondiale pour le contrôle des réseaux Dan Schiller Encyclopédies multimédias Philippe Rivière Nouveaux barbares de l’information en ligne Marc Laimé L’idéologie des nouvelles technologies Lucien Sfez La presse au défi d’Internet Angelo Agostini Journalisme en ligne Bruno Giussani 2. POUR LE MEILLEUR OU POUR LE PIRE

office de journalistes sous contrôle de la censure. Ils s'opposeront peu à peu aux « écrivains de masse » jusqu’à ce que le journalisme soit reconnu en tant que métier . Nous allons d'abord faire une rétrospective du journalisme en France du 19ème siècle à nos jours. Puis nous nous interrogerons sur ce métier, son utilité et son évolution. Rétrospective du journalisme du XIXe siècle à nos jours : C'est au début du XIXe siècle que naît la figure mythique du journaliste. L'appellation « journaliste

largement débarrassée des régimes autoritaires, les censures et les manipulations, sous des aspects divers, font un paradoxal retour en force. De nouveaux et séduisants « opiums des masses » proposent une sorte de « meilleur des mondes », distraient les citoyens et les détournent de l’action civique. Dans ce nouvel âge de l’aliénation, à l’heure de la world culture, d’Internet et de la « télévision-réalité », les technologies de la communication jouent, comme jamais, un rôle idéologique central : plus on

classement. RSF établie une liste, un classement fin 2014, qui est un bilan sur une année et qui doit évaluer la liberté d’information, le droit des journalistes de faire leur métier dans des conditions de sécurité et ensuite la possibilité pour les citoyens de ces pays d’être informés. Objectif du classement, en ordre décroissant, pays avec liberté d’expression vers pays en insécurité, guerres, conflits, où l’info n’est pas possible. Echelle d’évaluation. Résultat : 1er Finlande/ 2ème Pays-Bas/ 3ème

c’est que certains journalistes se croient d’une manière arrogante des super-citoyens, au grand dam de l’article 4 de la constitution, stipulant l’égalité de tous les citoyens devant la loi, vu que les premiers font grise mine à toute poursuite judiciaire à leur encontre, sous prétexte de la liberté de la presse. Certes, je suis fondamentalement défenseur de cette liberté, il n’en reste pas moins, que les enjeux du journalisme, comme métier, sont tels que celui qui le pratique doit s’attendre durant

l’opposition au colonialisme, une sorte de riposte virulente, d’abord réformiste puis très vite nationaliste, face aux protectorats français et espagnol. Formée dans le cadre de cette lutte indépendantiste, la presse marocaine incarne avant tout un journalisme d’opposition qui, embryonnaire au début des années vingt, notamment lors de la guerre du Rif, s’impose de plus en plus dans les années trente avant d’acquérir le statut d’arme politique, durant la décennie 1940. Au-delà de l’analyse technique de

établissements de l’état. Alors que dans un temps où les services de police ne font qu’appliquer des procédures de la justice, ces journalistes continuent à croire au mécontentement sous couvert de la liberté d’expression, alors que le métier du journalisme à des devoirs comme il a des droits. Il est à noter que certaines médias ne cessent de toucher négativement au rôle des services de la sécurité et ce par divulgation d’un sentiment d’insécurité au sein des populations d’où son agitation et même

changement d’aire » qui s’effectue dans le milieu journalistique et l’explosion du Citizen journalism. Rémy Ourdan , lui expose dans son article le scandale internet en partis à l’origine de des révolutions en Sirye. D ans un 1er temps je métrais en avant la place des blogs dans le journalisme aujourd’hui puis dans la deuxième phase la place d’internet dans les débats politiques. Comme le dit Laurent Joffrin le journalisme moderne subit un changement d’air , les lecteurs ne sont plus assez en confiance