Journalisme citoyen

journaliste, de s’adapter à un nouveau support participatif, que de maîtriser le support sans connaître le 3 Alexandre Cabanis – Thèse professionnelle – Décembre 2006 métier. A moins que le journalisme, tel que nous le connaissons, disparaisse au profit d’un nouveau type de journalisme, le journalisme citoyen, avec ses nouveaux codes. Médias et acteurs du Web 2.0 co-existent aujourd’hui, et poursuivent les mêmes objectifs, mais leurs moyens diffèrent. Peuvent-ils durablement co-exister, en jouant

"L'iPad exige qu'on réinvente complètement notre métier", a dit M. Murdoch lors d'une conférence de présentation au musée Guggenheim à New York, en promettant de marier le meilleur de la presse avec les nouvelles possibilités de l'informatique: "journalisme de terrain compétitif, bonne coordination, un regard sceptique, combinés avec la technologie". Une équipe de 100 personnes pour un quotidien 100% iPad Le quotidien, sans support papier, est réalisé par une équipe d'une centaine de personnes, recrutées

en charge l'information des citoyens et l'exercice du débat démocratique. De véritables « empires » s'édifient dans le secteur de la presse écrite, bientôt relayés et concurrencés par les grandes chaînes de radio et de télévision (le principe de la liberté de communication audiovisuelle est reconnu par la loi du 29 juillet 1982). Les progrès techniques permettent une transmission des informations de plus en plus rapide et complète. De nouvelles formes de journalisme apparaissent, fondées sur l'objectivité

assimilablescelles autres à des acteurs sociaux enfin,si le journalisme une est ; activitéprofessionnelle on doit examiner conditions dont les d'exercice, c'est aussi une forme d'écrituresocialequi se distinguedes autrespar des formelles caractéristiques spécifiques dont on devrait pouvoir identifieries fondateurs leseffets principes et sociaux. Deuxconséquences résulteraient de la nature alors de profondément double la presse du journalisme. et D'une part, les problèmes posés par l'un ou par l'autredesniveaux

ce métier n'est-il pas menacé ? C’est ce que présente le dossier constitué de trois documents, le premier étant un texte non identifiable quant à sa source et son auteur, le second un article intitulé « images truquées » à la rubrique « Journalisme et vérité » extrait de « Le Monde diplomatique » par Edgar Roskis en janvier 1995 et le dernier article intitulé « Attention photos chocs » par Régis Le Sommier. Il s'agit à travers ces documents, d'identifier les menaces et d'analyser la

suivit de l'examen de la rivalité sportive exploitée qui se donne comme débat politique, en passant par l de la lutte idéologique que celui-ci cautionne, pour se dénouer sur les aspects idéologiques des discours antagonistes. Dans sa thèse sur le journalisme sportif, Normand Bourgeois définit le travail de ce type de journaliste, travail qui « consiste à faire la spectacularisation d'une marchandise, c'est-à-dire du sport-spectacle[7] ». Qui dit marchandise dit de facto commerce. En effet, selon l'auteur

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL TRISTE TOPIQUE: VIOLENCES POSTCOLONIALES ENTRE LITTÉRATURE, JOURNALISME ET DEVOIR DE MÉMOIRE CHEZ GIL COURTEMANCHE ET HANS CHRISTOPH BUCH MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉTUDES LITTÉRAIRES PAR MARIE-PIERRE BOUCHARD FÉVRIER 2011 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé

Ecrivains du quotidien: Journalistes et journalisme en France au XIXème siècle: Résumé: Au début du XIXème siècle, les journalistes - rédacteurs de quotidiens et au quotidien – se définissent comme des littérateurs. Dès les années 1830, beaucoup sont toutefois accusés de participer à l’élaboration d’une littérature industrielle alors qu’à partir des années 1880 (au plus tard) les tenants d’un «nouveau journalisme » valorisent les aspects techniques d’un métier en voie de professionnalisation

du titre devient l'exception. Si la collaboration du journaliste se limite à certains supports du titre, ce point doit alors être expressément mentionné dans le contrat de travail. II. La carte d’identité professionnelle de journaliste Tout citoyen est libre d’écrire dans la presse, il n’y a pas de conditions pour exercer le métier. En revanche, si l’on veut être considéré comme journaliste professionnel aux yeux de la loi et de l’administration, il faut posséder la carte de presse, plus exactement

LA SYNTHESE DE TEXTE : “LA TYRANNIE DE LA COMMUNICATION (Ignacio Ramonet) La presse écrite pert sa viralité et subit une dépersonalisation. On peut trouver les causes dans la modification des bases du journalisme. D’abord le mot “informer” a changé de sens, au départ, il signifait decrir précisement le fait ainsi que son contexte. Aujourd’hui, informer c’est diffuser les images. Cette mode aboutit a la superstition que ces images suffisent, l’illusion que voir c’est comprendre, or on ne fait