Jules Laforgue Les Amoureux

CORPUS Texte A : « La Chanson du petit hypertrophique », Jules LAPHORGUE, Le Sanglot de la Terre, 1901. Texte B : « Notre vie … », Paul Eluard, Le Temps déborde, 1947. Texte C : « Toute une nuit », Louis Aragon, Le Roman inachevé, 1956. QUESTION DE CORPUS Le corpus que nous allons étudier est composé de trois poèmes qui abordent tous le thème de la perte d’un être chère. Le premier est extrait d’un recueil de Jules Laforgue, Le Sanglot de la Terre écrit en 1901 et s’appelle « La Chanson

12 - "Remords posthume", de Charles Beaudelaire (1821-1867) …............................... 14 - "Demain, dès l'aube...", de Victor Hugo (1802-1885) …......................................... 16 - "Complainte de l'oubli des morts", de Jules Laforgue (1860-1887) ….................... 18 - "Notre vie", de Paul Éluard (1895-1952) …............................................................. 21 Anthologie : Ce mot est originaire du grec, c'est un dérivé d'anthologia (florilège) et d'anthologéô

(extrait des Saisons : l'Eté, 1730) Jacques Malfilâtre : Le Soleil fixe au milieu des planètes (Odes) Victor Hugo : Les grandes lois (extrait, La Légende des Siècles, 1859-1883) Walt Whitman : Toi, globe là-haut (extrait, dans Feuilles d'Herbe) Jules Barbey d'Aurevilly : La Haine du Soleil (extrait de "Poussières", 1808-1889) Jean Rameau : Prière au Soleil (dans La Chanson des Etoiles, 1888) Konstantin Balmont : Soyons comme le soleil (trad. I.Astrow, dans Poésie Russe, La Découverte/Maspéro

Jules Laforgues | Après ces études avortées, il mène une vie relativement difficile. Il fréquente le groupe littéraire des Hydropathes, qui réunit ceux qu’on appellera plus tard les symbolistes. Sur la recommandation de son ami Gustave Kahn il devient secrétaire du critique et collectionneur d’art Charles Ephrussi, qui possède une collection de tableaux impressionnistes. Jules Laforgue acquiert ainsi un goût sûr pour la peinture. Au moment de la mort de son père, en 1881, il part

Hérodiade » de Stéphane Mallarmé, « Ballet » de Stuart Merrill. Suivent trois poèmes consacrés à d’autres femmes ~ 137 ~ Florilège fin de siècle mythiques ou légendaires : « Ottilie » de Jean Moréas, « Sur l’Hélène de Gustave Moreau » de Jules Laforgue et « Yseult » de Tristan Klingsor. Une rapide présentation des poètes s’impose ici. Lubicz Milosz, écrivain lituanien d’expression française, est l’auteur entre autres de Les Sept solitudes et L’Amoureuse initiation ; il se passionne pour les

fondamentaux de la pièceet conduisent le spectateur à s'interroger. Par ailleurs H souvent appelé le prince des comédiens. Ce motif associé au prince devient absolument fondamental dans le conte écrit par Jules Laforgue, au XIXème siècle, et qui contient des brouillages très complexes. Jules hérite du H de William qui crée l'illusion d'un personnage ayant une intériorité à travers la place qu'il accorde au monologue. On a parfois l'impression, dans la pièce du S, d'être dans la tête de Hamlet

l'évocation. Le mouvement symboliste a été marqué par de grands poètes tel que : Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire, Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, Charles Cros, Jules Laforgue, Tristan Corbière. Poèmes : Il pleure dans mon cœur (1874) Paul VERLAINE Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre

sur un fauteuil rouge. Elle porte une longue robe blanche. Cela se passe un mardi après midi On note la présence d’un autre homme Chabrillé puis un autre homme arrive. Il parle de Jules un poète alcoolique. Renoir décide d’aller le retrouver. Il va donc a son domicile et trouve le concierge qui a mis les meubles de Laforgue dehors. Il est recherché par la police. Renoir retrouve Aline effondrée car Chabrillé joue du piano depuis 5h Aline ne supportant plus cela laisse Renoir seul se coltiner le « concert

je préfère m'attarder sur le thème de l'amour, qui est abordé dans trois des poémes présents dans mon anthologie, c'est un thème qui est abordé très souvent en poésie. Dans Colloque sentimental, de Paul Verlaine, il n'y dévoile pas ses sentiments amoureux mais met en scène deux inconnus qui se retrouvent pour parler de leur ancienne passion dont les sentiments divergent maintenant. C'est ce qui est intéressant dans ce poème: l'un aime l'autre mais l'autre ne l'aime pas. Ces étrangers sont devenus

■ Chercher des idées et essayer de… faire un plan ! • Il faut d’abord identifier les différents sens que l’on peut donner au mot « mal ». Quel mal ? : mal affectif lié à des expériences douloureuses personnelles ou intimes (amoureux ? familial ?…) ; mal existentiel (ou mal de vivre) ; difficulté de la création poétique (manque d’inspiration, douleur à créer…) ; souffrance devant les injustices du monde… • Puis il faut élucider le sens de la métaphore « enchanter (son mal) ». À chaque sens