Julien Gracq Commentaire

lacunes et de manques, véhiculent tous une même question s’imposant à l’être humain, à laquelle qui cherche toujours à répondre : « Qui suis-je ? » 1 2 RAYMOND, Marcel, op.cit., p. 38. LE CLÉZIO, J.-M.G., in Sur Lautréamont, BLANCHOT, Maurice, GRACQ, Julien, LE CLÉZIO, J.-M.G., Bruxelles : Éditions Complexe, 1987, p. 67. 20 Lautréamont, par sa lucidité vertigineuse, essaie de nous offrir une réponse : l’homme est la coincidentia oppositorum1. Troisièmement, le fait d’étudier Baudelaire,

est nouveau, c'est la manière dont ce thème est illustré. Forme dialogique / dialoguée. –: o Pratiquement on est en présence de la disparition du narrateur, puisque presque tout nous est présenté sous forme de dialogues; o presque pas de commentaires faits par le narrateur. Une autre conséquence: le lecteur est mis en présence directe du personnage: le temps de l'histoire coïncide avec le temps de l'écriture. o Les dialogues sont présentés comme nécessaires: on a le plus souvent la confrontation

de résultats de cette poursuite que le temps écoulé eût dû rendre sans espoir, c'est à cela qu'est allée tout de suite Nadja. Elle est étonnée et déçue du fait que le récit des courts événements de cette journée m'ait paru pouvoir se passer de commentaires. Elle me presse de m'expliquer sur le sens exact que je lui attribue tel quel et, puisque je l'ai publié, sur le degré d'objectivité que je lui prête. Je dois répondre que je n'en sais rien, que dans un tel domaine le droit de constater me paraît

volonté commerciale [faire combattre des héros provenant d'univers disjoints], qui a été lancée par le film italien ‘’Hercule contre Maciste’’) ; - surtout, des continuels anachronismes qui sont annoncés dès le début lorsque le duc d’Auge, dans un commentaire métatextuel qui est un procédé de déstructuration du récit, ose remettre en cause l’auteur, montre le dessous des cartes : « Tant d’histoire pour quelques calembours, pour quelques anachronismes. » (pages 13-14), en quelque sorte tant d’histoire

volonté commerciale [faire combattre des héros provenant d'univers disjoints], qui a été lancée par le film italien ‘’Hercule contre Maciste’’) ; - surtout, des continuels anachronismes qui sont annoncés dès le début lorsque le duc d’Auge, dans un commentaire métatextuel qui est un procédé de déstructuration du récit, ose remettre en cause l’auteur, montre le dessous des cartes : «Tant d’histoire pour quelques calembours, pour quelques anachronismes.» (pages 13-14), en quelque sorte tant d’histoire pour

ABDELKEFI, Hedia. C.A.R. Problématique du récit dans Un été africain de Mohammed Dib. Tunis, Kamel GAHA, 1987. Dernier contrôle : 17/04/1996. ABDELOUHAB, Mehdi. D.E.A. Dîwan de Mohamed Ibn Guîttoun : Recueil, translittération, traduction et commentaires. Lyon 3, Charles BONN, 1984. Index : Oralité Histoire. ABDOUN, Abdelkrim. Magister. Le livre à travers la presse : le cas de l'hebdomadaire national "Algérie-Actualité" de 1965 à 1985. Alger, 1992. Index : Réception Media Critique Lecture

est nomm sous-lieutenant au sein du 6e rgiment de Dragons. Revenu Paris, il essaie de se faire une place, dans le ngoce, dans le succs littraire ou en sduisant des femmes. Ces annes dapprentissage auront une grande influence sur le personnage de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir. A partir de 1810, il participe ensuite ladministration et aux guerres napoloniennes. Lors de la chute du Premier Empire, en 1814, il part en Italie o il sinstalle Milan. Pendant cette priode, il crit plusieurs uvres

 Pichois, Études baudelairiennes, III, p. 262 à 289. 99. P. Bénichou, "À propos du Guignon. Note sur le travail poétique chez Baudelaire", Études baudelairiennes, III, p. 232 à 240. Pour la traduction voir Le Guignon, note 185. 100. Voir les commentaires de J.-P. Richard, "Profondeur de Baudelaire", dans Poésie et Profondeur, p. 93-94, et de J.-P. Sartre, Baudelaire, p. 220-221. 101. Richard Wagner, Pl II, p. 803. 102. Notes nouvelles sur Edgar Poe, Pl. II, p. 332. Cf. les images voisines du

errant dont la voix occupe la plus grande partie de la strophe (pp.206-209) : Tremdall est le spectateur de la scène et commente chacun des mouvements du combat ; l’omniprésence de son commentaire lui permet de rapidement se substituer à la voix de Lautréamont et de n’être plus simplement relayé par celle-ci. Son commentaire est d’ordre principalement affectif : il y a identification de Tremdall avec le dragon Espérance, de la même façon qu’entre celui-ci et le lecteur bourgeois et partisan du bien. On

il n’y eut pas d’affrontement direct sur le front occidental . Pendant neuf mois, les armées françaises et allemandes restèrent face à face, sans rien tenter. On retrouve l’attente de l’ennemi, lancinante, dans Un balcon en forêt (1958), de Julien Gracq dont l’action se situe en 1940 dans un blockhaus des Ardennes. Dans un récit intitulé les Grandes Vacances, F Ambrière= le commandement de son régiment interdit même toute action contre une pièce d'artillerie ennemie qui plus tard se révéla meurtrière