Julien Sorel Et La Relation Avec Les Femmes

Premier regard de Julien sur Mathilde · Le passage s’ouvre sur le pronom impersonnel « on » qui désigne toute la tablée, le marquis, son épouse, leurs deux enfants et Julien · Le verbe « Aperçut » annonce le thème de la première rencontre· La découverte est d’abord physique ; la périphrase « une jeune personne » décrit Mathilde par son âge, tandis

(romantisme) -> Julien : tristesse, contrariété -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue Première phrase : focalisation zéro => le narrateur est omniscient A) Portrait de Julien par Mme de Rênal

Merteuil est alors en accord avec son époque. Dans Le rouge et le noir de Stendhal écrit en 1830, le personnage Julien Sorel nous dresse un portrait de son époque et de sa société. Il vient d'un milieu modeste. Son père, scieur travaille en compagnie de ses 3 fils, dont Julien. Un milieu que que nous décrit le personnage de viril, violent, et qui répond aux valeurs traditionnelles. Cependant Julien est un garçon fragile, son physique ne lui permet pas de travailler dans des conditions de virilité tel que

très ironiques et satiriques des grands (haute noblesse) mais aussi des courtisanes et l’ensemble de cette société. Son sens de l’observation tant des humains que des animaux apporte un certain pessimisme dans ce texte : les relations humaines sont donc réduites à des relations d’intérêts.T5 :INTRO Durant la seconde moitié du 17ème siècle, le mouvement Baroque dominait la culture littéraire française. Mais, par l’intermédiaire d’auteurs précurseurs classiques, le mouvement du classicisme

surhumaine. En même temps, ils veulent voir clair en eux. C’est cela que l’on appelle le beylisme : ce besoin de voir clair et cette volonté surhumaine. Il y a une scène très célèbre dans les premiers chapitres du roman Le Rouge et le Noir : Julien Sorel est le précepteur des enfants d’une famille bourgeoise et il a décidé de faire la conquête de la maîtresse de maison. Au départ, il n’en est pas vraiment amoureux, mais il veut se prouver à lui-même qu’il pourra être l’amant de la patronne. Si

M. de Rnal. Chapitre 3 Le cur est le vieil abb Chlan. M. de Rnal dcide dengager comme prcepteur de ses enfants Julien Sorel, le fils dun charpentier. Chapitre 4 Prsentation du charpentier et de Julien, jeune homme instruit par de nombreuses lectures et qui, nourri des rves napoloniens, aurait voulu devenir soldat, mais qui, par ambition, se destine ltat ecclsiastique. Chapitre 5 Julien, dont la conduite est hypocrite, fait une visite lglise. Chapitre 6 Il est timide devant la jeune et belle Mme

Chapitre 3 : Le curé est le vieil abbé Chélan. M. de Rênal décide d'engager comme précepteur de ses enfants Julien Sorel, le fils d’un charpentier. Chapitre 4 : Présentation du charpentier et de Julien, jeune homme instruit par de nombreuses lectures et qui, nourri des rêves napoléoniens, aurait voulu devenir soldat, mais qui, par ambition, se destine à l’état ecclésiastique. Chapitre 5 : Julien, dont la conduite est hypocrite, fait une visite à l'église. Chapitre 6 : Il est timide devant la jeune

bourgeois, notamment les banquiers qui sont au pouvoir sur la monarchie de Juillet (régime politique du royaume de France entre 1830 et 1848). En outre, Stendhal nous propose dans ses romans sa propre expérience de vie et donc ses personnages (Julien Sorel, le marquis Fabrice del Dongo et Lucien Leuwen) c’est Stendhal, avec son tempérament à la fois passionné et lucide, avec ses hésitations entre l’armée (le rouge) et l’Église (le noir), ses rêves, ses ambitions, son désir d’une vie différente

]heurtant les épaules, poussant les gens" et obsédé par l'argent. Cependant Georges Duroy apparaît aussi comme séduisant "les femmes avaient levé la tête vers lui" ligne 7 et "regard de joli garçon" qui est une description subjective qui montre le changement de point de vue du narrateur qui est interne ici. Le personnage est également montré avec un regard méprisant envers les femmes "mal peignée, négligée [...] d'une robe toujours de travers" ligne 8-9. Il apparaît comme "un mauvais sujet des romans populaires"

rapprochant de Julien. Elle compte sur son amie pour l’empêcher de faire des folies. Julien voit en Madame Derville une amie. Il décide alors de faire découvrir aux deux femmes une partie de son paradis, une vue époustouflante depuis de grands précipices. Il cherche à les impressionner sans compter qu’à cet endroit il ne se sent pas inferieur à leur rang, au contraire il est dans son élément, la nature. • Page 74 ; « C’est sur les sommets de ces rochers coupés à pic, que Julien, heureux, libre