Jurandes

dans son article 17, et la Constitution de l’an III, dans son article 355, affirment respectivement : « Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l’industrie des citoyens » et « Il n’y a ni privilège, ni maîtrise, ni jurande, ni limitation à la liberté de la presse, du commerce et à l’exercice de l’industrie et des arts de toute espèce On pourrait faire une démonstration similaire avec le la liberté de contracter. Toutefois, il est important de noter aussi que d’autres

crainte (sans doute) puisqu'on a très vite légifèré ces mouvements. Par crainte de voir les salaires des ouvriers augmenter, les lois chapelier (1791) interdisent les assemblées d'ouvriers et d'artisants, elles suppriment aussi les corporations, les jurandes et les compagnonnages. Robert Owen (1771-1858) est considéré comme le père fondateur du mouvement coopératif moderne. Ce Gallois qui avait fait fortune dans le commerce du coton souhaitait améliorer les conditions de travail et de vie de ses salariés

divorce, les enfants naturels ont les mêmes droits que les enfants légitimes, nés d’un mariage > L’absolutisme du droit de propriété est affirmé. > La liberté contractuelle, et la liberté du commerce sont proclamées. Suppression des corporations jurandes maitrises par la loi Allard, la loi Le Chapelier qui interdit toute forme d’action sociale collective. Dès 1790, une décision de l’assemblée constituante engage un processus de codification. 4 projets de lois furent présentées, dont 3 par Cambacérès

générale de tous les maîtres est une assemblée électorale. C’est par la que les règles de métiers sont élaborées, sur le plan du travail, les matériaux, les salaires… on est en quelque sorte dans une assemblée mixte. Une fois la jurande désignée, les métiers est certifié. La jurande assure la discipline et le contentieux entre les maîtres. Les principes sont simples. Ce principe du moyen âge va perdurer car personne ne le discute. Les maîtres sont devenus de plus en plus exigeants. On définit le nombre

métiers vont créer une structure parallèle qui va encadrer le métier lui même. Certains métiers s'organisent de manière obligatoire = métier juré, car pour exercer ce métier il faut prêter serment et intégrer la corporation. Ça peut s'appeler une jurande, guilde … C'est le stade le plus aboutit sous l'ancien régime. D'autres métiers vont s'organiser sur des manières moins contraignantes, ce sont les métiers réglés , c'est-a-dire ,qu'il existe des règles et ceux qui n'y si plient pas sont soumis a

des mines d’Anzin occupe 4 000 ouvriers en 1789. On trouve également de petites concentrations dans le textile, la papeterie, la verrerie. Des groupements professionnels, composés de petites unités dispersées se multiplient. On les appelle guildes, jurandes ou Corporations. Leur rôle consiste à la fois à préserver les producteurs de la concurrence et à assurer la fabrication « bonne et loyale » aux consommateurs. A l’intérieur du métier, il existe une hiérarchie stricte des fonctions : • Les maîtres

l‘industrialisation à la Française est-elle celle des métiers ( charpentiers, selliers, tonneliers…). * La tradition corporative dans le régime de liberté du travail. Formes anciennes d’organisation du travail encore à l’œuvre. Abolition des corporations, jurandes et maîtrises, ainsi que des manufactures à privilège par la loi d’Allarde du 2 mars 1791. Mais n’équivaut pas à la disparition des règles sociales et professionnelles qui sont à la racine de la puissance de l’esprit et des pratiques corporatives

telle communauté est organisée dans une ville, on doit faire partie de cette communauté pour exercer le métier en question. Le travail est réparti entre les différents ateliers de la ville – les maîtrises –. La communauté est dirigée par une jurande. 1. La maîtrise C’est un atelier, un lieu de production et de vente, dirigé par un maître, propriétaire de l’outillage et de la matière première. Seul le maître appartient à la communauté proprement dite. Pour devenir maître, il faut remplir

guerre avec leurs épées. C’est un déroulement de comiques de situations, un récit de vives railleries. Le renard, animal rusé, sournois et preste, est le plus souvent le principal acteur. On le voit successivement apprenti, garçon, maître, chef de jurande, apothicaire, chirurgien, avocat, juge, moine, pape, mais ne cessant jamais d’être renard, toujours gambadant, toujours sautant, en quête de méfaits et de drôleries. Toute la ville vient l’applaudir. Jusqu’au soir il se démène ainsi, déchaînant l’ivrognerie

telle communauté est organisée dans une ville, on doit faire partie de cette communauté pour exercer le métier en question. Le travail est réparti entre les différents ateliers de la ville – les maîtrises –. La communauté est dirigée par une jurande. 1. La maîtrise C’est un atelier, un lieu de production et de vente, dirigé par un maître, propriétaire de l’outillage et de la matière première. Seul le maître appartient à la communauté proprement dite. Pour devenir maître, il faut