Jurassique

volcanisme sud alsacien -320 MA : forêts carbonifères → Alsace sous l'équateur -251 MA : extinction majeure :90% espèces marines disparues → ère secondaire (Mésozoïque) -250-240 MA : Trias : grès vosgiens, galets, sables,argiles -200 MA : monde du Jurassique → dinosaures, reptiles → mollusques (bélemnites et ammonites) -155 MA : émersion de la région -65 MA : crise majeure -50 MA : Rift Rhénan -32 MA : potasse d'Alsace -1 MA : irruption du Rhin Musée : -logements construits avant Guerre : 4409

petite minorité de la matière « morte » sédimente. Ce phénomène concerne des environnements particuliers, tels que les endroits confinés (lagunes, deltas…), surtout en milieu tropical et lors de périodes de réchauffement climatique intense (comme le jurassique et le crétacé), où le volume de débris organiques excède la capacité de « recyclage ». Conditions favorables à une accumulation de matières organiques : position proche de l’équateur, apport important de M.O. , milieu relativement confiné, période

laquelle est situé le stratotype (ex: Oxfordien, Maastrichtien, Lutétien…). Plusieurs étages/âges forment une série ou une époque (ex: Lias, Crétacé supérieur, Eocène…). • Plusieurs séries/époques forment un système ou période (ex: Carbonifère, Jurassique, Paléogène…). • Plusieurs systèmes/périodes forment un érathème ou ère (ex: Paléozoïque ou Primaire, Cénozoïque ou Tertiaire…). • L'échelle des temps géologiques est donc tout à la fois une échelle de chronologie relative (chronostratigraphique)

dénomination agréée par les instances ad hoc de l'Organisation Hydrographique Internationale. FEUILLE "STRUCTURALE" TERRES ÉMERGÉES L'océan Indien résulte de l'éclatement du supercontinent Gondwana, qui a commencé à se produire au début du Jurassique (en gros vers 200 Ma) et conduisant à la dispersion ("dérive") de blocs continentaux de tailles diverses : Afrique, Inde, microcontinent des Seychelles[5], Madagascar, Australie, Antarctique, Arabie (et aussi Amérique du Sud, qui ne concerne pas

|On trouve aussi des sédiments marins qui diffèrent en fonction de leur âge : | | | |De –220 à –110 MA, au jurassique : sédimentation marine mais il ne s’agit pas d’un océan, car les sédiments reposent sur un | | | |socle continental. Les sédiments témoignent d’une invasion marine

limite entre le Paléozoïque et le Mésozoïque, la crise de la limite Permien-Trias (-250Ma), crise la plus importante ou de nombreuses espèces marines ont disparu, 95% des espèces marines ont été touchés; au Mésozoïque, la crise de la limite Trias-Jurassique (205Ma) et à la limite entre le Mésozoïque et le Cénozoïque, la crise Crétacé-Tertiaire (-65Ma). Les géologiques se sont rendu compte de nombreux petit changements faunique (disparition/apparition des espèces) qui a permis de faire un découpage

celui-ci, selon le principe d'actualisme. Sur ces dépôt sédimentaire venaient s'en ajouter d'autre et cela en continu. Ainsi plus un fossile se trouve sous une épaisse couche de sédiments et plus il est âgée. En effet il y a 160 millions d'années au  Jurassique, le département de l'Ardèche, mais aussi une grande partie de la France se trouvaient sous l'océan, du fait que les Alpes n'étaient pas encore élevé. Ainsi, on trouve de nombreux fossiles d'êtres vivants marins

(permettant les corrélations), - avoir existé pendant une courte durée à l'échelle des temps géologiques, - avoir été abondante (condition nécessaire pour qu'on en retrouve à l'état fossile. Ex : Les ammonites permettent de dater des roches du Jurassique et du Crétacé.   La datation relative permet d'ordonner les uns par rapport aux autres des structures (strates, plis, failles, minéraux) et des événements géologiques variés (discordance, sédimentation, intrusion, orogenèse). Toutefois ces

grande zone de par- cours pour les populations transhumantes d’origine berbère ainsi qu’un domaine forestier de première importance pour le pays. I. Les données géologiques et structurales A. Les affleurements géologiques Les terrains anté-jurassiques constituent le substratum pro- fond du Causse. Le socle n’apparaît que sur le versant occiden-tal : à Azrou par exemple, les schistes et les calcaires viséens, arasés puis soulevés en bloc affleurent jusqu’à 1600 m d’altitude. Ailleurs, ce n’est

calcaires en plaquettes rC1 : Crétacé inf.: Calcaires périrécifaux (SERJ) sC1 : Crétacé inf.: Marnes, memo-calcaires et alternances de grès (FACIES SILLON TUNISIEN) C : Crétacé inf.: Marnes, argiles, grès et dolomies (FACIES TUNISIE CENTRALE) J : Jurassique non subdivisé J3 Malm : Calcaires noduleux, marnes, calcaires à Calpionellesou bioconstruits J1-2 : Lias-Dogger : Calcaires massifs, à Algues, silex et filaments T Trias : Argiles, dolomies, grès et évaporites Pr-T : Permo-Trias Pélites, grès