Juré

J'ai allaité, et je sais combien j'aime tendrement le petit qui me tète : eh bien ! au moment où il souriait à ma face, j'aurais arraché le bout de mon sein de ses gencives sans os, et lui aurais fait jaillir la cervelle, si je l'avais juré comme vous avez juré ceci. MACBETH. — Si nous allions échouer ? LADY MACBETH. — Nous, échouer ! Chevillez seulement votre courage au point résistant, et nous n'échouerons pas. Lorsque Duncan sera endormi (et le rude voyage d'aujourd'hui va l'inviter bien vite

une aventure avec ce dernier. Elle lui avait redonné gout à la vie. Pour être sûr de l’avoir sauvé, elle lui paya un billet de train pour se rendre à Nice et lui fait promettre de ne plus jamais retoucher à un jeu d’hasard ou de carte. « : Je jure, – je jure, répéta-t-il, puis je continuai : - que je ne prendrai jamais plus part à un jeu de hasard de quelque nature qu’il soit, et que je n’exposerai plus ma vie et mon honneur à cette passion. » Mais le jeune homme ne tient pas parole et retourna au

j'en désespère; et je crois que le Ciel, qui vous a souffert jusques ici, ne pourra souffrir du tout cette dernière horreur » Acte 5 Scène 4 ou encore la scène du pauvre où Sganarelle essai de minimiser l'horreur de la demande de Dom Juan. «  Va, va, jure un peu, il n'y a pas de mal » Acte 3 Scène 2. Dom Juan, le personnage principal de la pièce, a comme rôle principal, d'apporter le côté critique de la pièce, puisque c'est derrière ce personnage que Molière va faire sa dénonciation du parti Dévot

signe d'inquiétude pour sa femme, aucune preuve d'amour. Il parle simplement de ses activités (« j'ai tue six loups ») et du temps (« il fait grand vent »). 11)La reine demande à Don Guritan de partir à Neubourg, car celui-ci a juré de tout faire pour elle (« je le jure , ordonnez , j'obéis ou je meurs »). Donc la reine lui demande d'apporter une boite à son père qui habite à Neubourg . 12)Il s'est passé au moins six mois (« en 6 mois »L4) ou encore (« comme depuis 6 mois » L.13). 13)Ruy Blas

rattacher à l’événement de la mort de Drusilla » ce n’est pas cela » p 26 (l’amour est « peu de chose ») mais à la découverte d’une « vérité » il veut prouver que cette mort ne l’affecte pas, p49 : « Cette mort n’est rien, je te le jure. » + obligé de se justifier avec « jure » Modélisation p48 « Je crois me souvenir. » Recours au discours indirect libre p48 « Que d’histoires pour la mort d’une femme » C-La quête de l’impossible -> la lune A son retour on a un héros qui a un Besoin

si tu veux gagner un louis d'or ou non. En voici un que je te donne, si tu jures ; tiens ; il faut jurer. LE PAUVRE. - Monsieur ! DOM JUAN. - A moins de cela, tu ne l'auras pas SGANARELLE. - Va, va, jure un peu, il n'y a pas de mal. DOM JUAN. - Prends, le voilà ; prends, te dis-je, mais jure donc. LE PAUVRE. - Non, Monsieur, j'aime mieux mourir de faim. DOM JUAN. - Va, va je te le donne pour l'amour de l'humanité. Mais que vois-je là un homme attaqué par trois autres ? La partie est trop inégale

n’as qu’à voir si tu veux gagner un Louis d’or ou non, en voici un que je te donne si tu jures, tiens il faut jurer. LE PAUVRE. Monsieur. D. JUAN. A moins de cela tu ne l’auras pas. SGANARELLE. Va, va, jure un peu, il n’y a pas de mal. D. JUAN. Prends, le voila, prends te dis-je, mais jure donc. LE PAUVRE. Non Monsieur, j’aime mieux mourir de faim. D. JUAN. Va va,] je te le donne pour l’amour de l’humanité. Mais que vois-je là, un homme attaqué par trois autres ? la partie est trop inégale

affront entre « le bien » et  « mal », Sganarelle représente médiocrité qui apparaît à travers "va, va, jure un peu". Sganarelle qui avait présenté son maître comme un tyran auquel il n’obéissait que sous la contrainte trahi le fait qu’il est bel et bien tenté par l’impiété et le libertinage mais qu’il est trop pleutre pour aller jusqu’à de tels excès, c’est ce que nous laisse entendre le « jure un peu », comme s’il était possible de trouver un moyen de pécher mais pas au point de risquer un châtiment

azsk;qaszl;szkszapapapappaapapapappapapapapapapappap - Nous allons conclure un marché, veux-tu ? Toi, Joseph, tu feras semblant d'être chrétien, et moi je ferai semblant d'être juif. Ce sera notre secret, le plus grand des secrets. Toi et moi pourrions mourir de trahir ce secret. Juré ? - Juré. » Synopsis[modifier | modifier le code] En 1942 en Belgique, Joseph, 7 ans, est le fils unique d'une famille juive menacée de déportation. Pour sa protection, il est confié à la comtesse de Sully puis au père Pons, petit curé de campagne

cause la religion. Dans cet extrait, Dom Juan apparaît manipulateur : il fait du chantage au pauvre. En effet il lui propose un marché : s’il veut un Louis d’or, il doit jurer. C’est Dom Juan qui mène la danse, il utilise l’impératif (« prends », « jure donc ») mais se moque également du pauvre en utilisant l’ironie (« voilà qui est étrange »). Normalement, Dom Juan arrive toujours à ses fins : quand il veut il séduit une femme, pour la quitter au moment du mariage. Cependant, dans cette scène, Dom