Jurisconsulte

toutes les provinces ont des monuments de cette époque. Antonin s'est encore signalé par son activité législative. Le Digeste renferme un grand nombre de constitutions et de rescrits signés du nom de cet empereur, et préparés par les nombreux jurisconsultes, Vindius Verus, Salvius Valens, Volusius Maecianus, etc., qu'il avait fait entrer au Conseil impérial. Toutes les dispositions législatives d'Antonin portent les traces de l'esprit de justice qui le caractérisait; toutes sont faites dans le sens

1576 . On compare cet ouvrage à l' Esprit des lois de Montesquieu. Cette comparaison montre à quel degre le livre peut être fondateur dans son domaine du droit constitutionnel. Jean Bodin, né en 1529 à Angers et mort en 1596, à Laon, etait un jurisconsulte, philosophe et théoricien politique français, qui a influençe l’histoire intellectuelle de l’Europe par la formulation de ses théories économiques et de ses principes du « bon gouvernement ». Il est considéré comme l’introducteur du concept moderne

s’agisse d’une loi, d’un arrêt ou d’une œuvre doctrinale. Les méthodes d’interprétation juridique empruntent aux modes d’explication des textes religieux. Au demeurant, dans l’Antiquité romaine, sous la République (509-27 avant Jésus-Christ), les jurisconsultes appartenaient aux plus anciennes et illustres familles de pontifes. Au Moyen Age, lors de la renaissance de l’art juridique en Occident (mil. XIIe – déb. XIVe siècle), les papes avaient obtenu et le grade de docteur en théologie et le grade de

juridique avec des universitaires qui sont en même temps des praticiens et que l’on peut regrouper en 2 écoles de doctrine juridique : école historique accent sur le droit romain et celle de l’école du droit coutumier. Guy Coquille était un grand jurisconsulte du 16ème siècle né dans le nivernais, il fait des études de droit en latin, il acquiert une solide formation en droit romain et droit canonique, docteur « in utroque », il est avocat à Nevers, il est premier échevins (magistrat), il est procureur

pouvoir de vie et de mort »1 ne synthétisent ce vaste ensemble conceptuel. Cette absence de précédent notionnel est d'ailleurs mise en évidence par Jean Bodin : « Il est ici besoin de former la définition de la souveraineté, car il n'y a ici ni jurisconsulte, ni philosophe politique, qui l'ait définie »2. En tant qu'outil théorique nouveau, la Souveraineté témoigne des conditions intellectuelles et politique d'une époque déterminée : la Renaissance. La souveraineté cesse en effet progressivement de

les réflexions d’individus qui connaissent et enseignent le droit et que l’on désigne sous le nom de jurisconsulte. Sans cette jurisprudence le droit romain n’aurait pas pu être adapté aux nécessités postérieures du Moyen Age, car ce sont les jurisconsultes qui ont livré les documents les plus importants, documents transmis dans les époques. Cette jurisprudence prend deux formes car les jurisconsultes ont en réalité deux types d’activités : Ils font œuvre de doctrine, ils ont un pouvoir créateur de

duché ou conté. 3° Jurisprudence avec 24 parlements en France, et chaque parlement a une jurisprudence souveraine. 4° Commentaires avec problème particulier, devant un justiciable, un condamné pouvait s'appuyer sur une doctrine de tel ou tel jurisconsulte pour déjouer une décision. Droit connu dans recueils de Droit et d'Arrêts, il y avait des recueils qui étaient conformes aux textes du roi, mais les recueils de jurisprudence étaient d'un maniement difficile, car ne comportaient pas le texte

formuler les règles de leur droit et ont rédigé de vastes codifications à la fin de leur histoire. Sous la République, Rome a continué le droit public des Grecs. Mais surtout, les Romains ont créé la science du droit (juris prudentia) ; ce que les jurisconsultes romains des 2e et 3e siècles de notre ère ont écrit, les notions, définitions, classifications, principes et théories juridiques qu’ils ont élaborés, tout cela est encore aujourd’hui la base d’une importante partie de notre système juridique (cf

s’amuse à faire des références de notre monde : pays (Moscovie, Italie), personnes célèbres (Blaise Pascal, Lulli), des représentants religieux (le Muphti, des Jésuites). On l’appelle « Monsieur Micromégas ». Sur Saturne il y a des académies, un jurisconsulte. Cela peut faire rire mais aussi réfléchir. b) Le Muphti : la représentation de la bêtise et du fanatisme. Il est décrit avec des termes dépréciatifs : ignorant, vétillard. L’énumération des défauts concernant le livre de Micromégas est stupide

considéré par les musulmans comme une relation de cause à effet permettant la continuité des révélations ; et ainsi permettre aux musulmans d'agir en fonction des nombreux contextes sociaux auxquels ils feront face au cours de leur vie. L'imam et jurisconsulte, Nawawi, dit à ce sujet : " L’innocence d’Aïcha de l’accusation portée contre elle fait l’objet d’un texte catégorique du Coran. Quiconque nourrit le moindre doute à ce sujet devient renégat selon le consensus des musulmans." Aïcha rapporta