Jurisconsulte

Catholicon. Ses collaborateurs furent : Jacques Gillot, conseiller au Parlement; Florent Chrestien, ancien précepteur d'Henri IV; Nicolas Rapin, grand prévôt de la connétablie; Passerat, professeur de philosophie au Collège de France; et Pierre Pithou, jurisconsulte éminent, qui défendit les libertés de l'Église gallicane. Passerat et Rapin passent pour avoir composé les vers latins et français qui sont à la suite de l'ouvrage; mais la plus grande part revient au premier.

Rappel de l'idée principale de la première partie du texte. Cette thèse correspond à la théorie politique dominante, celle présentée dans les "livres" par les autorités à la fois intellectuelles ("les savants") et juridico-politiques ("les jurisconsultes"). Cette première partie du texte est ironique. Rousseau présente non sa thèse, mais celle des théoriciens qui défendent le pouvoir et l'ordre établi. Rousseau ne partage pas leur opinion : il parle de "discours insinuants" c'est-à-dire trompeurs

Introduction : Jean-Étienne-Marie Portalis est un avocat, jurisconsulte et philosophe du droit français né le 1er avril 1746 et mort le 25 aout 1807. En décembre 1800 il publie le discours préliminaire du projet de code civil dont est extrait ce texte. Ce texte de Portalis vient précéder le code civil de Napoléon, de plus il vient poser les bases de ce code civil. Ces bases qui étaient valable en 1800 sont toujours d’actualité aujourd’hui, de nos jours le code civil, et plus particulièrement

La coutume est une source du droit qui tire son autorité de l'assentiment tacite de toute société (c’est-à-dire qui est considéré comme implicitement admis). Nous la trouvons en droit romain, puis au Moyen Âge. D’après Robert-Jospeh Pothier (jurisconsulte orléanais du XVème siècle), on appelle coutume des lois que l’usage a établies, et qui se sont conservées sans écrit par une longue tradition. La plupart des coutumes furent rédigées sous Louis XII (celle d'Orléans date de 1509, celle de Paris

à Rome qu’est né le juriste en tant que praticien du droit, c’est-à-dire un spécialiste, un expert que les particuliers vont venir consulter sur des questions pratiques. C’est à partir de l’an 200 avant J.-C. qu’on voit apparaître les premiers jurisconsultes laïcs. Ils sont au départ de purs praticiens, qui donnent des responsas sur des cas concrets et qui aident également le prêteur dans la rédaction des formules. Donc ces consultations (ces responsas) sont dépourvues de toute autorité officielle

piliers de l’islam financier. L’existence de contrats et donc de produits spécifiques à la Finance Islamique ainsi que la proscription de certaines méthodes classiques découlent ces piliers : * Prohibition du Riba : Il est admis par les jurisconsultes musulmans que le Riba prohibé en Islam ne se limite pas à l’usure mais qu’il inclut toute forme d’intérêt, quelques soient les caractéristiques du prêt en question (à la consommation / production ; taux élevé / faible ; échéance courte / longue

romains étaient à la foi des savants et des praticiens (pas de distinctions). On trouve dans les sources 2 termes pour les désigner : Soit on les désigne sous le terme de prudent (prudentes – théorie pure) soit on les désigne sous le terme de jurisconsultes (activité de consultation). Parmi les plus connus des juristes à l’origine on peut citer la famille des SCAEVOLA (premier exposé méthodique en matière de droit civil). Cette famille faisait parti des familles de pontifes, sacerdotales càd qu’ils

de ce que nous appelons la doctrine : une réflexion sur le droit menée par des "sages du droit", les jurisprudents (ou jurisconsultes). On les consulte pour régler un litige, et ils sont appelés à apporter des "réponses". Le collège pontifical perd ainsi son monopole juridique avec l'apparition de ces spécialistes du droit. Imprégnés par la philosophie grecque, les jurisconsultes dépassent l'approche pratique au profit d'une approche théorique. Ils publient leurs consultations commentées ainsi que

Mésopotamiens, ils ont su formuler les règles de leur droit et ont rédigé de vastes codifications. Sous la République, Rome a continué le droit public des Grecs. Mais surtout, les Romains ont créé la science du droit (juris prudentia) ; ce que les jurisconsultes romains des 2e et 3e siècles de notre ère ont écrit, l df ios c s f aos pi i se t oi j i qe q’sot l oé,ot e est e é n i , l si t n, r c e th r s u d us ui n é br t cl s i t n a ic i np é e ri l a s u a ecraj r’u lbs duem ot tpartie de notre système

considérait invariablement le plus certain (al-‘Asbahânî). Il était contre la transcription des hadiths et ne tolérait que les lettres du Prophète comme écrit. Il était décrit comme suit : « homme de confiance, de constance, sublime, ingénieux, jurisconsulte, imâm, homme de science et de scrupule » (Ibn Sa‘d, VII, p. 193). « Un Imam en exégèse, en jurisprudence, en interprétation onirocritique, un ascète et un vertueux avancé - al-muqaddam fî zuhd wa-l-wara » (Al-Nawawî). « C’était une autorité, un