Jus Naturalisme Et Positivisme

du « jus naturalism »). On peut aussi avoir une explication positiviste à partir de l’idée que l’Etat consent lui-même à une auto-limitation de son pouvoir en posant des règles qu’il accepte de s’appliquer à lui-même au nom du principe « on doit respecter la règle qu’on a soi-même posée ». Mais là encore plusieurs questions se posent encore : pourquoi cette règle serait bonne et surtout qu’elle garantie que l’Etat ne reviendra pas sur cette règle au nom de cette raison d’Etat. Le positivisme juridique

relations entre le droit positif et le droit naturel ? Il y a une hiérarchie entre le droit positif et le droit naturel. Le droit naturel est au-dessus du droit positif qui doit se conformer au droit naturel. Le positivisme se contente d’appliquer la loi alors que le jus naturalisme donne son opinion qui peut être contraire à la loi. Les plus radicaux estiment que toute règle de droit positif prise seule doit être conforme au droit naturel et les citoyens, les juges devraient ne pas appliquer

le droit. Une telle conception n’a pas disparu dans la mesure où la définition des droits naturels sont les droits de l’H. Il s’agit donc de penser à l’ordre mondial, de l’ordre juridique international. Le jus naturalisme, par opposition au jus positivisme. On utilise le jus positivisme dans la mesure où on s’intéresse au droit non pas tel qu’il devrait l’être mais tel qu’il est. Un troisième présupposé est que les deux notions sont distinctes. Jusqu’à 1997, ce cours était dénommé libertés

Puis il va y avoir une procédure d’arbitrage. [L’ordalie = le jugement de dieu ; existe de différentes formes]. Texte n°13 : Aristote dit que la situation entre A et B est une situation d’équilibre. Chacun a sa part. On pense que l’étymologie « jus » vient de partage. Le droit crée ce partage. Ex : A vole B : la balance n’est plus équitable. Quand une personne essaye de tricher pour avoir plus que ce qu’elle devrait avoir, alors elle doit dédommager et, pour arriver à la situation d’équilibre

Cours 1 Ubi societas, ibi jus ; Ibi societas, ubi jus Il n’y a pas de société sans droit ; Il n’y a pas de droit sans société Dura lex, sed Lex La Loi est dure mais c’est la Loi Droit : « ensemble de règles de conduites socialement édictées et sanctionnées, qui s’imposent aux membres de la société. » Il cherche à prohiber les inégalités. Malgré les plusieurs religions, morales, savoir vivre, mœurs, équité, le Droit est le dénominateur commun dans une société. Le Droit repose sur une contrainte

justes, être conformes au droit naturel. Le droit naturel existe depuis longtemps  et trouve ses origines dans des philosophies très anciennes. Il a surtout connu ses heures de gloire au 17ème siècle, avec un courant de pensé très précis : Le Jus Naturalisme. 1. Les Origines Elles sont doubles. Le droit naturel a d’abord dominé la pensée antique. Il s’est un peu transformé, en se teintant de religion. A. Les philosophes grecs Les philosophes chrétiens ont repris en l’enrichissant

introduction générale. • Mais il est évident qu’on ne peut illustrer les sources du droit international sans citer la jurisprudence de la Cour internationale de justice ni évoquer le contenu du droit matériel. • Selon l’adage latin, ibi sociétas, ibi jus, toute société sécrète son propre droit. Un droit international existe, dans la mesure où une société internationale existe. • Mais ce simple contact d’existence n’empêche pas les interrogations sur l’essence du droit international. Pour mieux saisir

mobiliser pour résoudre un cas juridique, ou est-ce que l’on va puiser la réponse à un problème donné ? - Kelsen est le plus grand représentant du positivisme juridique c’est la croyance que le droit est seulement un droit posé, des règles données. On s’interroge sur la légitimité que quand à sa source formelle. - A l’inverse, Le jus naturalisme c’est ceux qui pensent qu’il y a des principes supérieurs au droit positif et que si le droit s’écarte de ses principes supérieurs, on ne doit pas l’appliquer

des tirants aux prescriptions médicales qui proviendraient de n’importe quelle assemblée. Une loi injuste, une loi mauvaise n’est pas une loi, autrement dit elle n’est pas du droit. Il y a la, une condamnation de ce qu’on appelle aujourd’hui le positivisme juridique. On y trouve aussi une condamnation implicite de ce qui deviendra un autre héritage de l’Europe marchande, de l’Europe du nord, l’utilitarisme. Pour Platon, le juriste n’est pas une sorte « d’ingénieur social » appliqué à trouver les lois

L'élaboration d'un modèle juridique commun en Europe : Le temps de ce modèle commun est le temps pré moderne Le Jus Europae est le droit de l'Europe qui s'est battis durant l'antiquité. Titre 1 : Genèse antique d'un Jus Europae : Au Moyen Age le droit va être commun a l'Europe savante. Dans la haute antiquité ce droit n'est pas encore commun mais déjà européen sous des facettes. Ce Jus Europae est une mentalité juridique qui remonte au premier écrit juridique sur le droit. Il nous faut donc remonter