Jusnaturalisme Et Positivisme

Le positivisme juridique « De ce que quelque chose est, il ne peut pas s’ensuivre que quelque chose doit être ; non plus que, de ce que quelque chose doit être, il ne peut s’ensuivre que quelque chose est. La validité d’une norme ne peut avoir d’autre fondement que la validité d’une autre norme. En termes figurés, on qualifie la norme qui constitue le fondement de la validité d’une autre norme de norme supérieure par rapport à cette dernière, qui apparaît donc comme une norme inférieure à elle

de Platon à Husserl, se concentre sur l’articulation possible du juste et du légal. Ecole de H. Kelsem, du positivisme juridique, on ne réfléchissait plus le droit. Cette réflexion du droit à la philosophie, chez les modernes (Descartes, table rase de la tradition), se décline. Grotius (17e) puis Pufendorf jusqu’à Kant, la philo du droit est une réflexion sur le droit nature (jusnaturalisme), l’incarnation de ce mouvement est la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 aout 1789 « Les

le veut ? En réalité, l’homme n’est pas absolument libre il ne peut pas faire ce qu’il veut ! Le jusnaturalisme : c’est un courant de pensée qui dit que le droit existe au delà de la nature et des lois des hommes. Il est antérieur et supérieur aux hommes. Ce courant s’oppose au positivisme. Il y a différents types de jusnaturalisme : De la raison (par exemple : Cicéron) Religieux. Le positivisme ne reconnait de valeur qu’aux règles du droit positif. Normalise : on considère que es textes ont

théories du droit naturel : Pendant longtemps, les juristes ainsi que les philosophes ont tenté de déterminer l’origine de ce droit, c’est l’idéologie des ‘jusnaturalismes’(A) qui a permis de la définir, de plus ce droit naturel est ‘présent dans la vie quotidienne’(B). A) jusnaturalisme : 1)théorie  : Pour les jusnaturalismes, la désobéissance aux lois positives contraires aux lois naturelles deviendrait un devoir ; selon le mot célèbre de Calvin : ‘ lorsque les lois sont injustes

Etats-Unis (Langdell et Gray) Section 5. - Les caractères principaux de la science du droit au XIXè siècle. Le positivisme juridique naissant 1. Notion de théorie générale du droit 2. Le formalisme 3. Fermeture de la science du droit 4. La naissance du positivisme juridique 5. Continuité entre le jusnaturalisme moderne et le positivisme juridique 6. « Positivisme juridique » et « positivisme philosophique ». Chapitre 2. La critique du formalisme juridique. Fin du XIXè siècle/début du XXè siècle Section

La notion de hiérarchie des normes a d'abord été formulée par le théoricien du droit Hans Kelsen (1881-1973), auteur de la Théorie pure du droit, fondateur du positivisme juridique, qui tentait de fonder le droit sans faire appel à la morale et au jusnaturalisme, ceci afin d'élaborer une science véritable du droit (donc axiologiquement neutre, c'est-à-dire indépendante des présupposés subjectifs et des préjugés moraux de chacun). Selon Kelsen, toute norme juridique reçoit sa validité de sa conformité

qui serait le moins mauvais pour l'homme, un équilibre entre la liberté (valeur première) et l'égalité. Sources de sa pensée [modifier] Kelsen est souvent considéré comme le principal représentant du positivisme juridique, notamment par les tenants de théories rivales comme le jusnaturalisme. Bien qu'il revendique lui-même cette affiliation, quelques théoriciens notables la contestent. Ainsi Alf Ross décrit Kelsen comme un « quasi-positiviste ». Sa pensée est fortement influencée par Kant

- Variétés de scepticisme à l’égard de la nature des règles a) La critique du scepticisme conceptuel 2 b) La critique du scepticisme empirique c) L’analyse des décisions irrévocables des cours suprêmes Section 4. – La confrontation avec le jusnaturalisme. Droit et morale §1. - La reconnaissance de l’importance de la morale dans le droit a) L’influence de la morale dans l’action du législateur b) La référence à la morale et aux principes dans l’action du juge c) La reconnaissance de la « moralité

entre la norme : devoir-être (“sollen”) et la proposition : être (“sein”). Il existe 2 grandes philosophies du droit : positiviste et jusnaturaliste. - Positivisme : attaché à cette distinction entre droit et science du droit. Pas de jugement de valeur. Discours neutre. Pas de construction idéologique → seulement théorique. - Jusnaturalisme : n’est pas attaché à cette distinction, et la transgresse → la science du droit peut, sans perdre sa réalité, évaluer le droit positif. Il existerait un droit

théorique ou épistémologique, entre philosophie du droit des juristes et philosophie du droit des philosophes ou entre jusnaturalisme et positivisme juridique. Il faut les analyser avant d’examiner l’état actuel de la discipline. I. Philosophie du droit et théorie générale du droit L’expression « théorie générale du droit » est apparue à la fin du xixe siècle, sous l’influence du positivisme et de l’empirisme et en réaction contre la philosophie du droit qui se pratiquait jusqu’alors. Les tenants de la