Justice militaire

CODE DE JUSTICE MILITAIRE CAMEROUNAIS Loi modifiée du 09 mars 1928 DES CRIMES, DELITS CONTRE LE DEVOIR ET LA DISCIPLINE MILITAIRES COMMIS PAR DES MILITAIRES OU ASSIMILES EN TEMPS DE PAIX ET EN TEMPS DE GUERRE Section première Insoumission et désertion Article 193 : Tout individu coupable d’insoumission aux termes de la loi sur le recrutement de l’armée est puni, en temps de paix, d’un emprisonnement d’un mois à un an. (décret- L. 1er juin 1940). En temps de guerre, la peine est de deux ans

Persée http://www.persee.fr La Justice militaire sous l'ancien régime. Le tribunal de la connétablie de France du XIVe siècle à 1790, par le baron Gabriel le Barrots D'Orgeval. Paris, E. de Boccard, 1918. Bibliothèque de l'école des chartes, Année 1918, Volume 79, Numéro 1 p. 178 - 181 Voir l'article en ligne Avertissement L'éditeur du site « PERSEE » – le Ministère de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche, Direction de l'enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques

LA JUSTICE MILITAIRE [Intro] La justice militaire est une juridiction d’exception ayant pour objet de juger les faits et les actes relevant de l’armée. Elle est symbolisée par une instance de répression nommée « la cour martiale ». Celle-ci est un tribunal où les juges sont des militaires, rendant les verdicts selon le respect des normes de guerre édictées internationalement. La cour martiale est un tribunal dit exceptionnel car elle n’est utilisée qu’en temps de guerre. [Problématique] En

(10 novembre 1956) formant code de justice militaireBulletin Officiel n° : 2299-bis du 21/11/1956 - Page : Dahir n°1-56-270 du 6 rebia II 1376 (10 novembre 1956) formant code de justice militaire LOUANGE A DIEU SEUL ! (Grand sceau de Sidi Mohammed ben Youssef) Que l'on sache par les présentes — puisse Dieu en élever et en fortifier la teneur ! Que Notre Majesté Chérifienne A DECIDE CE QUI SUIT : Dispositions préliminaires Article 1 La justice pénale, pour les membres forces armées

Code de justice militaire Dahir N°1-56-270 MémorandumCode de justice militaire Dahir N°1-56-270 Mémorandum1 M E M O R A N D U M R E L A T I F A U DAhIR N°1-56-270 DU 6 REbIA II 1376 (10 NOvEMbRE 1956) formant code de justice militaire (tel qu’il a été modifié et complété) Exposé dEs motifs 1. En vertu du deuxième paragraphe de l’article 25 du Dahir N° 1-11-19 du 25 RabiiI 1432 (1er mars 2011) portant sa création, le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) contribue au «renforcement de

de son nom serait à l'effet que les cours militaires, en Angleterre, étaient, après la décapitation du dernier Lord Grand Connétable en 1521, administrées par le grand maréchal. La cour du grand maréchal, ou en anglais « Marshal's Court », était alors le nom de ce système de procès. Si le nom de la cour peut varier selon les pays, il s'agit avant tout d'une cour militaire, qui ne juge en général que des militaires et qui n'est composée que de militaires. Il arrive qu'une cour martiale juge des civils

> Si l'administration militaire était bien faite, il n'y aurait pas de soldat inconnu. > L'habitude des faits les plus violents use moins le coeur que les abstractions : les militaires valent mieux que les avocats. |   | [Napoléon Bonaparte | > Il y a trois sortes d'intelligence : l'intelligence humaine, l'intelligence animale et l'intelligence militaire. |   | [Aldous Huxley] | | | | > On n'est pas d'accord avec la vie tant qu'on n'est pas d'accord avec la mort. |  

563 fusillés pour « désobéissance militaire ». Et 136 l’ont été pour des affaires de « droit commun » et 126 pour espionnage. Au total, le nombre de fusillés s’élève à 825. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le nombre de combattants fusillés pour désobéissance militaire n’est pas le plus important en 1916 (Verdun) ou 1917 (Chemin des Dames) mais en 1915, avec 237 cas. De août 1914 à décembre 1915, l’on compte ainsi 362 fusillés pour désobéissance militaire, ce qui confirme les propos du

de l’Alsace Lorraine, déchirure qui alimente tous les nationalismes les plus extrêmes. Patriotisme, glorification de l’armée et espoir de revanche deviennent alors les valeurs nationales. Elle occupe de ce fait, et par les contraintes du service militaire obligatoire, une place incontournable et controversée dans la nation, d’autant plus qu’elle est souvent utilisée pour réprimer des mouvements ouvriers. La course aux armements amène le développement du contre-espionnage français à partir de 1890

la légalité dans un arrêt du 19 octobre 1962 (l'arrêt Canal). Certains parlent d’un possible contrôle d’opportunité de la part du juge administratif : en effet, le Conseil d’État annule ici une ordonnance du 1er juin 1962 instituant une cour militaire de justice, en justifiant sa décision autrement que par des éléments juridiques, en justifiant cet écart par « des considérations pratiques ».