Juvénal

Expression de la globalité (v .1, 2, 3, vingt, mille) v .32 - v . 35 - v .31 -> Allusion à la tour de Babel Métaphores des vers 28-30 T ermes d'escrime du vers 37 Conclusion : Boileau donne une vision de la ville qui vient de loin (Embarras de Rome de Juvénal) et qui perdure encore de nos jours.

Expression de la globalité (v.1, 2, 3, vingt, mille) v.32 - v. 35 - v.31 -> Allusion à la tour de Babel Métaphores des vers 28-30 Termes d'escrime du vers 37 Conclusion : Boileau donne une vision de la ville qui vient de loin (Embarras de Rome de Juvénal) et qui perdure encore de nos jours.

(grammaire, rhétorique et dialectique). Montrant un goût particulier pour la littérature[7], il acquiert une bonne connaissance de la Bible, des Pères de l'Église et de divers auteurs latins : Horace, Lucain, Sénèque (Lettres à Lucilius), Tacite, Juvénal, Perse, Stace, Térence et, surtout, Cicéron, Virgile et Ovide (y compris, de ce dernier, l'Art d'aimer)[8], ce qui fait de lui un parfait représentant des lettrés de son temps.

partie du « complexe » des thermes et offraient la possibilité de prolonger ce moment de détente agréable pour le corps et l'esprit. C'est sans doute de là que vient l'expression « un esprit sain dans un corps sain » , formule présente dans l'œuvre de Juvénal. On pouvait aussi y écouter des orateurs.

de toutes les provinces de l’Empire. 2. La femme savante La critique des femmes, venue de la poésie grecque, se double du goût romain pour la satire et donne naissance à la figure de la femme savante, que l’on retrouvera chez Martial ou Juvénal. - Le comique du texte réside dans l’effet de surprise : on s’attend, après le premier vers consacré aux femmes, à un éloge des femmes cultivées (rarissima turba). Mais l’éloge cède vite la place à la satire. - ici, Ovide fustige la mode

football relativement jeune. Montpellier possède néanmoins à son palmarès, deux coupes de France (1929 et 1990) qui sont à ce jour les seuls titres majeurs obtenus par les languedociens. Après avoir évolué au Parc des Sports de l'avenue du Pont Juvénal entre 1923 et 1967 puis au Stade Richter jusqu'en 1974, le club dépose définitivement ses valises au Stade de la Mosson en 1978, stade dans lequel il connaitra ses plus grandes heures de gloire. Le Montpellier HSC a connu un histoire plutôt mouvementée

s'assurer une vie décente, il s'installe dans la position de « client », ces clients dont aimaient s'entourer les grands personnages. Son rival le plus acharné sera le poète Stace. Peu à peu Martial devient l'ami de tous les écrivains de son temps : Juvénal, Quintilien, Pline le Jeune, Silius Italicus. Grâce à ses protecteurs, il parvient même à vivre dans un certain bien-être, et peut acquérir une petite ferme près de Nomentum, ce qui ne lui fait pourtant pas oublier la médiocrité de sa fortune. Nombreux

XVIIème siècle, Lafontaine s'est inspiré des fables grecques d'Ésope et latines de Phèdre. -La satire est un poème argumentatif qui dénonce des défauts sur un ton humoristique. Au XVIIème siècle, Boileau s'est inspiré notamment du poète latin Juvénal. III. Les formes libres Les poèmes en vers libres ont une structure très souple. Les vers, visibles par les retours à la ligne, sont de longueur variable et n'ont pas forcément de rimes. Des poètes comme Guillaume Apollinaire ont abandonné la

Des patrons inquiets observent la scène de leurs lunettes donnant l’impression que la politique du FP menace l’ordre établit, le capitalisme et la propriété privé des moyens de productions, tel de nouveau bolcheviques. On peut donc conclure que Juvénal est un journal hostile au FP et favorable aux patrons. 4) Les documents 4/5 /6 témoignent que les mesures prises ne sont pas seulement économique. Pour la première fois dans l’histoire, une classe sociale ; les masses populaires sont reconnus

nom signifie « Grande jument » en gaulois « epos » signifiant cheval. Son nom a donné « ebos » (poulain en gaulois). III) Sources Comme les gaulois avaient une plus grande culture orale qu’écrite, les seules sources existantes sont celle de Juvénal qui fournit le plus ancien renseignement sur cette divinité dans ses « Satires » : « solam Eponam et facies olida ad praesepia pictas » et celle Minucius Felix dans « Octavius » : « Nisi quod vos et totos asinos in stabulis cum vestro vel [sua] Epona