Juxtaposition

facile à lire. Les transitions « parfois » et « pourtant » nous signalent des nouvelles idées. Ils sont assez clairs comme des transitions. Le sujet du poème est exposé de suite, puis observé, décrit, et découvert. Le style de Ponge exige la juxtaposition des mots, idées, et lettres similaires. Spécifiquement la récurrence de l’articulation de « o » donne le rythme du poème. Il utilise surtout l’allitération et rarement les rimes. Il y a des mots dans chaque paragraphe qui sont liés comme rugueuse

très longue maladie = le cancer. « Il est parti, il a fini. » (Guillevic, « Bretagne », Exécutoire) Gradation : Elle compose une succession de mots ou d’idées de sens proche, rangés dans un ordre croissant d’intensité ; coordination ou juxtaposition de plusieurs termes, de force croissante ou décroissante. Exemple : Va, cours, vole et nous venge ! (Corneille)

1) Un conte grivois / Comique fondé sur contrastes et oppositions. • La brutalité de l’action Rapidité : absence de coordination entre chaque phrase, alternance des sujets d’une phrase à l’autre, verbe « courir » dans titre du chapitre, juxtaposition action et réaction (ex :« cours et devient »). Structure du texte : action précède la réflexion. • Une scène grivoise Les décors : seul le lit est décrit. « Vertu mâle et intrépide » Référence à Hercule : le 13e des travaux d’Hercule

Exemple : plusieurs, beaucoup, tous, chaque… C) L’absence de déterminant devant les noms communs -après une préposition : un homme sans scrupules -en attribut : il est ingénieur -en apposition : le lion, animal cruel -en coordination ou en juxtaposition : il confond rêve et réalité / lièvres, lapins et perdrix s’ébattaient au petit matin -derrière un verbe : prendre peur, avoir faim, prendre connaissance… -après le présentatif « il y a » : il y avait foule -Lorsqu’un adjectif apporte une détermination

Ici, tout est concerté, travaillé, rien n’est le fruit du hasard. Proust, dans des pages célèbres des Plaisirs et les Jours, propose une analyse remarquable de sa prose. Une des caractéristiques du style de Flaubert, avec l’utilisation de la juxtaposition (parataxe) et l’usage de l’imparfait, c’est la façon particulière dont il se sert parfois de la conjonction de coordination " et ". Deux exemples ici : " et les plaques de lichen... " ; " et, assise sur le gazon... " Ainsi utilisée, cette conjonction

-Niveau : 4ème année moyenne - Séquence : n 1 Décrire pour inciter à la découverte. - Séance : Grammaire. - Titre : La juxtaposition et la coordination But : Distinguer la coordination de la juxtaposition. Identifier le rapport logique qui unit deux propositions Déroulement

appartement en vente, en effet elle emménage chez son ami. à Par coordination : la proposition est introduite par la conjonction de coordination car ou par l’adverbe de liaison en effet. Je n’ai pas envie de te parler, je t’en veux toujours. à Par juxtaposition : les deux propositions sont séparées par une pause marquée à l’écrit par une virgule, un point-virgule ou deux-points. La voiture a dérapé. Les pneus étaient crevés. à Dans deux phrases indépendantes, seul le sens nous permet de différencier la

mot à peine couvert (=> De manière implicite ) Les répliques de Orou sont beaucoup plus longues que celles de l’aumônier pafce qu’il développe une réelle argumentation. Devant la perplexité de l’aumônier, Orou reprends la parole et dis. Cette juxtaposition Exposer de français : Bougainville à Tahiti I] L’arrivé de Bougainville à Tahiti II] Comparaison Bougainville/Diderot III] Les raisons au supplément de Bougainville. I] Avril 1768 : Arrivé de Bougainville à Tahiti Ils avaient une de liberté

désacralise les tournures bibliques. L’accumulation diminue l’exception. • Antithèse ou rapprochement : sacralisation « oint du Seigneur » - trivialité « quatre cents bandits ». Le décalage disqualifie le mythe. • Parataxe (juxtaposition par un phénomène d’accumulation). Juxtaposition des faits pour induire une relation de cause à effet. Exemple : David vole Nabal, Nabal meurt, David épouse la veuve. On pourrait croire que ce fut David qui tua Nabal mais en fait, ce dernier fut puni par Dieu.  Voltaire

to assimilate metaphor to literal loose talk: metaphors depend on using one thing as a perspective for thinking about something else. I bring out the distinctive way that metaphor works by contrasting it with two other poetic uses of language, juxtapositions and “telling details,” that do fit the accounts of metaphor offered by non-cognitivists and contextualists, respectively. Consider the following literary metaphors: (1) (2) (3) Juliet is the sun.1 Life’s but a walking shadow, a poor player, that