K2

haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut PRÊT-À-PORTER ENFANT CHILDREN’S CLOTHING e2 D2 e2 J2 D2 e2 J2 K2 D2 D2 D2 i2 D2 D2 G2 F2 F2 J2 58 27 36 37 38 39 40 Z Catimini Compagnie des Petits Du Pareil Au Même Okaïdi Obaïbi Petit Bateau Sergent Major Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut Niveau haut CHAUSSURES - MAROQUINERIE

thermistance en fonction de la température. On réalise le protocole suivant : Le condensateur est initialement déchargé et les interrupteurs K1 et K2 sont ouverts. À t = 0, on ferme K1 et on enregistre l’évolution de la tension uC jusqu’à la fin de la charge du condensateur. Ensuite, on ouvre K1 et on ferme K2 : le condensateur se décharge complètement. On ouvre enfin K2. On modifie la température de l’enceinte et on recommence le protocole précédent. On opère pour plusieurs valeurs de température et on obtient

[Ba2+]0 = C1 C1 V1 = C2 Ve1 C1 = C2 Ve1 V1 A.2.1.7 La deuxième réaction de dosage est celle faisant intervenir les ions dichromate restant : Cr2O72-(aq) + 2 HO-(aq) = 2 CrO42-(aq) + H2O(ℓ) K Ke2 10-14,7 AN : = -14 . 2 10 K2 = 2,0.1013 On peut calculer la constante de réaction : K2 = Page 8/27 Capes externe de physique chimie 2010 Ce qui confirme qu’il s’agit de la réaction de dosage. C2 Ve1 V1 6,00.10-2 . 10,1.10-3 = 20,0.10-3 Ccalculée = 3,03.10-2 mol.L-1 A.2.1.8 On a pour Ccalculée : Ccalculée

1.2 - Choisir, parmi les configurations électroniques suivantes, celle qui correspond à la configuration électronique de l'atome de sodium et celle qui correspond à la configuration électronique de l'atome de fluor. Justifier. a) K2, L8, M1 b) K2, L8, M2 c) K2, L7 d)K2, L8, M8 22.1- Expliquer la formation de l’ion de sodium stable à partir de l’atome de sodium. 2.2- Calculer la charge de l’ion de sodium. 3 - Ecrire la représentation de Lewis de chacun des atomes de fluor et de sodium. 4 - Donner

photodiodes capturent un pourcentage du flux lumineux émit par la LED. Le flux lumineux ainsi capté créé un courant qui traverse les photodiodes, avec un rapport K1 ou K2 suivant la photodiode utilisée. Détermination de K1, K2 et K3 : Dans un premier temps il est important de connaitre la valeur exacte des coefficients K1, K2 et K3 de l’opto-coupleur que nous avons à notre disposition car chaque opto-coupleur à des coefficients différent. Pour mesurer avec exactitude les valeurs des coefficients

réaction (1). 4) Dans une deuxième expérience on effectue, dans les conditions appropriées, l’étude cinétique de la réaction (2) suivante (solvant H2O ; T = 298 K) : (2) Cr2+(aq) +O2(aq) k2−−−→ CrO2+ 2(aq) Les conditions initiales sont : [Cr2+]0 = [O2]0 = 1, 5.10−4 mol.L−1. La réaction, a pour constante de vitesse k2 = 1, 6.108 mol−1.L.s−1. → Déterminer l’ordre global de cette réaction, ainsi que son temps de demi-réaction τ1/2, en secondes. 5) En supposant que les ordres partiels en Cr2+ et O2 sont

Exercice 1 Question 1 : 1.2. (attention : si les trois faisceaux n’ont pas même intensité !) ; 1.3. (1,5 pt) Question 2 : 2.4. (1 pt) Question 3 : 3.1. (1 pt) Question 4 : 4.4. (1,5 pt) Question 5 : 5.1. et 5.2. (1 pt) Exercice 2 1. C : K2 L4 ; O : K2 L6 ; Cℓ : K2 L8 M7 (1,5 pt). 2. C apporte 4 e− périphériques, O en apporte 6 et chaque Cℓ en apporte 7 ; soit un total de 4 + 6 + 2×7 = 24 e− périphériques. Ce qui correspond donc à 12 doublets (liants et non liants) (1,5 pt). 3. C doit engager 4 e−

charpente. Cependant cette expérience n’a fais que confirmer mon choix d’étude et donc mon goût pour la menuiserie. Je ressors de ce stage très content, car j’ai découvert de nouvelles méthodes de travail, de nouveaux outils de travail (machine : K2), le sens du travail en équipe et la vie en entreprise. Une expérience qui ma beaucoup marquer c’est cette rencontre avec les plans de tous les travaux effectués par l’entreprise. J’ai pu voir la difficulté, la précision d’un plan et les connaissances

extérieur (K1) est utilisé pour le 1er rapport et pour la marche arrière, ainsi que pour les rapports 3 et 5. L’embrayage intérieur (K2) est utilisé pour les rapports 2,4 et 6. Lorsque K1 est fermé, le couple moteur est transmis par l’arbre intérieur d’entrée aux pignons des rapports 1, 3 et 5, ainsi qu’à l’arbre intermédiaire vers le pignon de marche arrière. L’embrayage K2, par le biais de l’arbre d’entrée extérieur, transmet quant à lui le couple moteur aux pignons des rapports 2, 4 et 6. Un troisième

| z − a| = k ⇐⇒ | z − a|2 = k2 | z − b|2 | z − b| ⇐⇒ (z − a)(z − a) = k2 (z − b)(z − b) ¯ ¯ ¯ ¯ ⇐⇒ (1 − k2 )z z − z(a − k2 b) − z(a − k2 b) + |a|2 − k2 | b|2 = 0 11 ¯ ¯ Donc si k = 1, on pose ω = a − k2 b et l’équation obtenue zω + zω = |a|2 − k2 | b|2 est bien celle d’une droite. Et bien sûr l’ensemble des points qui vérifient M A = MB est la médiatrice de [AB]. Si k = 1 on pose 2 2 + k2 2 ¯ ¯ ¯ ω = a−k 2b alors l’équation obtenue est z z − zω − zω = −|a|1−k2 |b| . C’est l’équation d’un cercle