Kafka Le Livre Doit être Une Hache Mer Gelée

S'il y a un art de la revue, ceux qui font La mer gelée sont passés maîtres. "Un livre doit être la hache qui fend la mer gelée en nous" écrivait Kafka en 1904. Y a-t-il eu plus puissante injonction lancée au lecteur ? Il faut croire que cette revue bilingue franco-allemande s'y emploie deux fois par an à l'égal d'un livre. Tout y est remarquable : le papier, la typographie, la mise en page, les dessins, les thèmes et, le dernier mais pas le moindre, les textes. On dira que c'est plutôt avant-gardiste

dissertation : « La littérature : un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous. » Franz Kafka, écrivain tchèque, 1883-1924, nous décrit la littérature comme choquante et violente à travers son propos : ''La littérature: un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous." Il nous représente la littérature avec deux métaphores ; la première métaphore, "un coup de hache". Puis vient la seconde "dans la mer gelée qui est en nous". Ce coup de hache symboliserait la littérature, avec le pouvoir

vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous. » (KAFKA) La lecture est une activité pratiquée par beaucoup de personnes de nos jours. Pour certains, elle représente un acte anodin, banal. Tandis que pour d'autres elle est une véritable source de plaisir et de divertissement. Le livre permet de communiquer son savoir et de garder des traces du passé. D'après Kafka, célèbre auteur du XX ème siècle s’inspirant de descriptions

 Aujourd'hui ou la place et l'utilité du livre sont constamment revendiquées dans notre société avec l'omniprésence des écrans de télévisions, d'ordinateur, on peut s'interroger sur l'utilité du livre au XXI siècle. Franz Kafka, auteur tchèque et juif du XX ème siècle indique radicalement sa position par rapport à l'apport qu'un livre à sur la personne, Selon lui : «on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing

disait Kafka, que les livres qui vous mordent et qui vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d’un coup de poing sur le crâne, à quoi bon lire… Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous » Comment expliquez-vous cette conception de la lecture et de l’œuvre littéraire ? Introduction : La lecture est une activité de compréhension d’informations écrites. Et d’après Kafka, lire, doit en plus donner « un coup de poing sur le crâne » du lecteur. Doit-on lire

La littérature: Un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous (Franz Kafka, écrivain tchèque, 1883-1924) La littérature est l’œuvre écrite, dans la mesure où elle porte la marque des préoccupations esthétiques et parfois elle, d’après la métaphore de Kafka, entre dans notre vie comme un coup de hache parce qu’elle est capable d’être douloureuse et brutale avec nous et nos sentiments caché en nous qui étaient congelés en nous comme une mer gelée. On pourrait reformer sa phrase en disant que

Dissertation française. Franz Kafka « Un livre doit-être la hache qui brise la mer gelée en nous » Un livre nous permet d’ouvrir les yeux, d’éclaircir nos pensées et d’apprendre. L’écriture est un moyen de communication qui existe depuis des millénaires. Elle ne cesse de s’améliorer au fil des années. Tout a commencé par des dessins dans des cavernes pour en arriver aux livres qui sont devenus un moyen d’instruire les générations futures mais aussi un moyen de garder une trace du passé

L'écrivain Tchèque Franz Kafka écrit à un ami en 1904 '"on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent […]. Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous". Ma prof est très contente d'elle! En gros, elle pense que c'est un bon sujet et qu'on aura pas de corrigé sur internet parce qu'elle l'a inventé de toutes pièces... hmm En fait ma problématique c'est : Un roman n'a-t-il d'intérêt que s'il nous blesse et nous amène à une réflexion ou peut-il simplement nous

(12 points) « Il me semble d'ailleurs qu'on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un bon coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? (…) Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous. Voilà ce que je crois. » [Lettre de Kafka à son ami Oskar Pollak en 1904.] En quoi cette phrase de Kafka vous semble-t-elle s’appliquer aux Pensées de Pascal ? Sujet II Langage verbal et images – Littérature

Kafka, Franz née à Prague en 1883 mort en 1924 , écrivain tchèque d'expression allemande, dont les récits, empreints à la fois de réalisme et de fantastique, décrivent pour la plupart un monde absurde et angoissant.  En 1901, il se lance dans des études de droit. Son séjour à l'université allemande lui permet de rencontrer Max Brod. C'est grâce à cet ami que nous connaissons certaines de ses plus grande œuvres. A partir de 1907, il est employé dans une compagnie d'assurance et il commence à écrire