Kaki

minimum, on trouve un lit avec des draps et des tentures. Sur cette peinture, on trouve des tons de verts ainsi que du blanc et du beige. La technique du clair-obscure est utilisée ; à droite des tons clairs (blanc), à gauche des tons foncés (vert kaki). Le visage de cette femme me paraît fuyant, on le voit de profil. Lorsque je regarde cette peinture, je reste pleine d'interrogation quant au visage de cette femme. Je me demande quelle est l'expression de son visage. Ainsi que sur l'aspect avant

premier plan. * Quelles sont les couleurs utilisées ? Les couleurs sont sombres, à l'exception de la lumière qui éclaire les trois personnages au premier plan. Leurs costumes sont ceux de l'armée allemande. L'artiste en reprend donc les couleurs (vert kaki pour les soldats, gris bleu pour les gradés). L'ensemble du tableau est plutôt sombre à l'exception des mutilés qui se détachent donc davantage. Interprétation de l’œuvre * Quel(s) message(s) ce tableau cherche t-il à faire passer ? Otto Dix, par ce

chambres à gaz et à droite le camp de travail surveillé par les SS. On peut aussi voir de la fumée qui sort des cheminée et qui dessine le signe SS. 3 Pour ce tableau David Olère a utiliser des couleurs triste comme le noir, le banc, le kaki et le gris ce qui renforce la tristesse. Dans ce tableau la lumière est importante car elle vient de la mort qui plane au dessus de la famille et met en valeur le sort de ce qui va arriver à la famille. Les formes sont courbée et pliée pour montrer

crabe trouva une boulette de riz. Le singe jaloux voulut trouver quelque chose à son tour mais ne trouva qu'une graine de kaki. Il proposa alors au crabe de l'échanger contre sa boulette de riz puisqu'il pourrait ainsi avoir des fruits tous les ans, alors que la boulette de riz une fois mangée de ne rien laisser derrière elle. Le crabe réfléchit et choisit la graine de kaki. Le singe avala alors d'une bouchée, le riz. Plus tard, de retour chez eux, le crabe planta la graine et sous la menace des

ce premier plan, on aperçoit dans l’ombre un homme vêtu d’un habit rouge faisant passer des vases précieux remplis d’eau. Une chaine humaine semble se former composée de deux femmes et d’un autre homme. Les habits sont de couleurs bleu, gris et vert kaki. Les personnes ne regardent pas l’incendie et ils ne se dirigent pas vers l’incendie. On peut aussi supposer qu’ils ne vont pas éteindre le feu avec les vases car ils sont très précieux et non fonctionnels.

fou jusqu’au petit matin Monte les basses et laisse-toi aller Laisse-toi aller ! Profites-en avant de mourir La vie est trop courte pour ne pas y aller à fond Donc que tout le monde se défoule Je suppose que c’est la façon dont je m’habille Pantalon kaki, des Nike à lacets Il n'y a pas que mon eau de Cologne qui a dû les faire tomber Je me suis ramené avec la plus cool des vestes Si l’amour est un jeu d’échec, échec et mat Ton corps est magnifique, laisse-moi bang bang Je pense la même chose que toi

sa position et ses couleurs on voit bien que c'est un personnage puissant et très important à la suite de l'action présente sous nos yeux ! Une des femmes vêtue de bleu, blanc et jaune nous inspire de la pitié contrairement à l'autre femme vêtue de kaki, ayant une peau assez pâle et verte ainsi qu'un air menaçant. Du côté de la cour du roi, nous avons plusieurs attitudes, notamment celle des femmes qui se cachent le visage avec leur mains et semblent pleurer en attendant la sentence. Les hommes

composée comme une page d’écriture sans marge. Il n’y a pas d’espace vide. Les masques dont en toile beige,avec deux cercles transparents pour les yeux,prolongée par un tuyau souple terminé par une capsulr filtrante en forme de bonbonnière de couleur kaki. Unde ces filtres est de couleur gris clair. Dans les deux rangées du bas les tuyaux flexibles des masques sont repliés et tordus.Au-dessus, les masques laissent pendre ces tuyaux et leur filtre vers le bas.La première rangée fait apparaître le partie

pas complètement oublier : de temps en temps le train stoppait dans de lépreuses petites gares, couleur de minerai de fer, qui s'accrochaient en remblai entre la rivière et la falaise : contre le bleu de guerre des vitres déjà délavé, des soldats en kaki somnolaient assis à califourchon sur les chariots de la poste — puis la vallée verte devenait un instant comme teigneuse : on dépassait de lugubres maisons jaunes, taillées dans l'ocre, qui semblaient secouer sur la verdure tout autour la poussière

Vladimir et Estragon se retrouvent, Pozzo et Lucky arrivent plus tard mais ils sortent avant. La scène n’est pas meublée, un arbre suspendu au plafond est la seul décoration. Vladimir et Estragon sont pauvres, Vladimir porte une grande veste de complet kaki et Estragon, un grand gilet bleu. Pozzo et Lucky sont plus chics que les deux vagabonds, ils portent des vêtements et des chaussures de style occidental. Chacun a un chapeau qui est l’accessoire plus importante. Avec le chapeau, Lucky, qui ne parle