Kammerspiel

du cinéma (1985) - La princesse aux Huitres Les araignées (1919) Différents des autres (1919) Madame du Barry (1919) « La Rue dans joie » (1925)(Die freudlose Gasse) Avec se film, on aborde un sous courant du cinéma allemand, « Le Kammerspiel » (Film de chambre) dont le scénariste et Karl Mayer et porte l’accent sur la réalité de la vie quotidienne, dans un esthétique qui emprunte lointain à l’expressionnisme allemand. « Pabst » avec les actrices Marlene Diedrich et Greta Garbo

l’expressionnisme[modifier] Le Kammerspiel Film[modifier]Le Kammerspiel film ou « théâtre de chambre » respecte la règle des trois unités : unité de lieu, de temps, d'action. Son représentant le plus notable est Carl Mayer. Alors que le cinéma expressionniste est le cinéma de l’extraordinaire, le Kammerspiel film est le cinéma de l’ordinaire. Ces deux mouvements sont opposés mais parlent tout de même d’une Allemagne contemporaine. L’expressionnisme est plus une métaphore alors que le cinéma Kammerspiel se montre plus

bons musiciens. En 1912 il entre à l’académie de musique de Munich ou il compose un opéra, Gisei inspiré d'une pièce japonaise et légèrement influencé par Claude Debussy. En 1916, il est nommé chef d'orchestre et directeur musical des Münchner Kammerspiele, un important théâtre situé dans la ville de Munich. En 1917, Carl Orff part à la guerre mais est démobilisé en raison d'une blessure. De retour du front, il est nommé directeur musical et chef d'orchestre des opéras de Mannheim et Darmstadt

tiré d'une pièce japonaise et légèrement influencé par Claude Debussy. Carrière musicale[modifier]En 1915, il prend encore des leçons d'interprétation avec Hermann Zilcher. En 1916, Il est nommé chef d'orchestre et directeur musical des Münchner Kammerspiele. Il prend part à la guerre en 1917, mais est démobilisé en raison d'une blessure. De retour du front, il est nommé directeur musical et chef d'orchestre des opéras de Mannheim et Darmstadt. Après la guerre, désireux d'associer le texte, la musique

japonaise. Orff est fortement influencé par Achille Claude Debussy ainsi que par Richard Strauss. En 1914, il prend encore des leçons d’interprétation avec Hermann Zilcher. En 1916, Il est nommé chef d’orchestre et directeur musical des Münchner Kammerspiele. Il prend part à la guerre en 1917 mais est démobilisé pour blessure. Après la guerre, désireux d’associer le texte, la musique et le mouvement, il se consacre à l’étude et à la composition. En 1920, il épouse Alice Solscher dont il aura une fille

mélodrame moralisateur que du réalisme français. Aucune critique sociale ou politique. B - Un courant qui influence des cinéastes étrangers • En Allemagne : le Kammerspiel et la Nouvelle Objectivité. Le réalisme français a influencé 2 courant dans les années 20, le Kammerspiel et la Nouvelle Objectivité. - Le Kammerspiel : « théâtre de chambre » mouvement cinématographique. Drame intimiste tournée en studio avec éclairage artificiel. Cinéma réalisé dès 1921 par Carl Mayer. Il est très

lui et se sacrifie à cause de pulsions profondes refoulées. Tout une lecture psychanalytique. Question de la différence esthétique entre le film qui semble totalement appartenir à l’expressionniste mais qui ne l’est pas. « Film de chambre » = Kammerspiel Autre genre du cinéma allemand. Inspirés par les expériences de Max Reinhardt. Représentant milieu bourgeois. Dimension irréaliste abandonnée au contraire on essaye de représenter certains évènements de la vie quotidienne. Pratique beaucoup

au conservatoire et étudier les techniques de l'écriture scénique auprès de Yaak Karsunke et Tankred Dorst. Très vite, il écrit ses premières pièces et notamment 'Feuergesight' (' Visage de feu') qui a été mise en scène par Jan Bosse au théâtre Kammerspiele de Munich. L'année suivante, c'est Thomas Ostermeier qui est inspiré par letexte et qui le monte à Hambourg. Cette même année 1999, la pièce obtient le prix Kleist et le prix de la Fondation des auteurs de Francfort. Le succès devient international

( CARNET DE LECTURE : Médée ) Présentation de l’œuvreMédée est une trajedie de Jean Anouilh écrite et publiée dans les Nouvelles pièces noires en 1946 et créée au Kammerspiele de Hambourg le 2 novembre 1948 dans une mise en scène de Robert Michael 2 . En France, sa création n'a eu lieu que quatre ans et demi plus tard, le 28 mars 1953, au Théâtre de l'Atelier, dans une mise en scène d'André Barsacq (la dernière

particulier dans la littérature et chez des réalisateurs comme Marcel Carné ou Jean Renoir qui trouvait son inspiration dans des oeuvres comme celle d’Émile Zola dont il tira La bête humaine en 1938. Il ne faut pas non plus négliger l’apport du Kammerspiel, mouvement artistique allemand des années 1920, qui donnait beaucoup d’importance aux sujets sociaux et avait cours autant au théâtre qu’au cinéma. Cependant, il existe un débat théorique autour du terme “néoréalisme” et de ses différentes